Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Les héros ne meurent jamais : et même s’il a pris de l’âge et des rides, Sylvester Stallone a de beaux restes, et on a forcément plaisir à le retrouver dans ce qui devrait être le 5e et dernier épisode de la saga.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le réalisateur Adrian Grunberg et sa mise en scène fonctionnelle – ou sur-découpée dans l’action – ne tirent jamais vraiment parti de la montagne physique, émotionnelle, visuelle qu’est Sylvester Stallone.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Ça mitraille, ça castagne, ça explose, mais pour le scénario on repassera.
Ecran Large
par Simon Riaux
Z et fauché, ce "Rambo : Last Blood" enterrine les ambitions de la franchise, et se contente de réguler mollement la population du nord-Mexique. Mais dans les outrances gorasses de ce bon vieux Rambo, dans le spleen indéboulonnable de son héros, on trouve encore un peu de vie, un peu de sang, fut-il séché.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par J.J.
"Last Blood" promettait d'être le "Gran Torino" de Stallone. ce sera finalement son "Taken", d'une sauvagerie alléchante.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Râpeux, dur, linéaire, le cinquième volet de la saga réalisé par Adrian Grunberg est un petit film d’action simple mais diablement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film, pour amateurs de la saga, propose un trip régressif jouissif en s’appuyant sur un scénario balisé comme dans les années 1980 qui valorise évidemment Sylvester Stallone, plus déterminé que jamais dans la vengeance.
Ouest France
par Sylvestre Picard
(...) suffisamment sanglant et crépusculaire pour satisfaire les fans.
Première
par Sylvestre Picard
Stallone ne tente pas de faire autre chose que du Stallone. Ce n’est pas John Wick : par rapport aux autres films d’action contemporain, Last Blood est court (1h40, alors que John Wick 3 durait 2h11), direct, efficace. Il va droit au but : donner un épilogue à la saga Rambo.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Jessica Saval
Cinquième volet d’une des franchises les plus musclées de ses dernières années, Rambo: Last Blood ne brille peut-être pas par sa subtilité mais il n’en reste pas moins un divertissement efficace.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Une série B assumée faute de mieux et c'est bien ça le souci : Rambo valait mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le réalisateur du film apparaît, par surcroît, incapable de planter un décor, de saisir une ambiance, celle des basfonds de Tijuana par exemple. Une attention plus soutenue, un travail de caractérisation moins ouvertement bâclé auraient donné à cette cinquième mouture l’épaisseur tragique qui lui manque cruellement.
Le Parisien
par Michel Valentin
Soyons clairs : un film avec Rambo, c'est d'habitude l'occasion de voir une violence aussi graphique que décomplexée. (...) Ici, le film, qui ne dure pourtant qu'un peu plus d'une heure et demie, se traîne, n'affichant pratiquement aucune scène d'action avant la dernière demi-heure.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
On a beau aimer Stallone, ce Rambo de trop vire à la caricature. Beaucoup de sang, peu d’âme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clélia Cohen
[...] avec son visage boursouflé et sa carcasse qui semble peser mille vies, Stallone règne sur ce chaos artistique avec une profondeur abyssale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si le film, qu’il a coécrit, est violent et cousu de fil blanc (la symbolique appuyée de la frontière américano-mexicaine), il s’en dégage une ambiance crépusculaire presque touchante qui sauve le film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CNews
par La rédaction
Cette mission suscite surtout l’hilarité par ses effets spéciaux grotesques et sa mise en scène au rabais.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Au second degré, la pilule pourrait passer, comme dans une BD outrée, mais ce racisme primaire sert trop la soupe à la politique de Trump pour ne pas rester en travers de la gorge.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
En plus de flatter les bas instincts d’un public qui a déjà Trump pour s’en charger, le film est une infâme bouillie filmique, pas même digne d’un direct-to-video.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Plus d’une heure de mise en place paresseuse, sans grand relief et parfois mièvre (un comble !). Et pour terminer, un sadique quart d’heure de boucherie gore sans morceau de bravoure [...].
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
[L]a trame de ce cinquième volet s’avère un peu anecdotique et surtout mal dégrossie. Un énième récit de sauvetage à la fois trop petit (...) et trop grand.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
On ne sait ce qui est le plus atroce : le ratage cinématographique ou le propos raciste, sexiste, voire fascisant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’épopée, aussi grotesque que violente et signée Adrian Grunberg, se présente sous forme d’une longue vengeance remâchée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Nicolas Didier
Film d’action médiocre, “Last Blood” constitue le cinquième (et dernier) volet d’une saga qui aurait pu se conclure avec “John Rambo”, en 2008.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Dubois
Son script a beau être d’une sincérité absolue, il n’en porte pas moins la naïveté ringarde d’un revenge movie quelconque, monté à la truelle et tourné en moufles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
Les héros ne meurent jamais : et même s’il a pris de l’âge et des rides, Sylvester Stallone a de beaux restes, et on a forcément plaisir à le retrouver dans ce qui devrait être le 5e et dernier épisode de la saga.
CinemaTeaser
Le réalisateur Adrian Grunberg et sa mise en scène fonctionnelle – ou sur-découpée dans l’action – ne tirent jamais vraiment parti de la montagne physique, émotionnelle, visuelle qu’est Sylvester Stallone.
Closer
Ça mitraille, ça castagne, ça explose, mais pour le scénario on repassera.
Ecran Large
Z et fauché, ce "Rambo : Last Blood" enterrine les ambitions de la franchise, et se contente de réguler mollement la population du nord-Mexique. Mais dans les outrances gorasses de ce bon vieux Rambo, dans le spleen indéboulonnable de son héros, on trouve encore un peu de vie, un peu de sang, fut-il séché.
L'Express
"Last Blood" promettait d'être le "Gran Torino" de Stallone. ce sera finalement son "Taken", d'une sauvagerie alléchante.
Le Figaro
Râpeux, dur, linéaire, le cinquième volet de la saga réalisé par Adrian Grunberg est un petit film d’action simple mais diablement émouvant.
Le Journal du Dimanche
Le film, pour amateurs de la saga, propose un trip régressif jouissif en s’appuyant sur un scénario balisé comme dans les années 1980 qui valorise évidemment Sylvester Stallone, plus déterminé que jamais dans la vengeance.
Ouest France
(...) suffisamment sanglant et crépusculaire pour satisfaire les fans.
Première
Stallone ne tente pas de faire autre chose que du Stallone. Ce n’est pas John Wick : par rapport aux autres films d’action contemporain, Last Blood est court (1h40, alors que John Wick 3 durait 2h11), direct, efficace. Il va droit au but : donner un épilogue à la saga Rambo.
Rolling Stone
Cinquième volet d’une des franchises les plus musclées de ses dernières années, Rambo: Last Blood ne brille peut-être pas par sa subtilité mais il n’en reste pas moins un divertissement efficace.
Le Journal du Geek
Une série B assumée faute de mieux et c'est bien ça le souci : Rambo valait mieux.
Le Monde
Le réalisateur du film apparaît, par surcroît, incapable de planter un décor, de saisir une ambiance, celle des basfonds de Tijuana par exemple. Une attention plus soutenue, un travail de caractérisation moins ouvertement bâclé auraient donné à cette cinquième mouture l’épaisseur tragique qui lui manque cruellement.
Le Parisien
Soyons clairs : un film avec Rambo, c'est d'habitude l'occasion de voir une violence aussi graphique que décomplexée. (...) Ici, le film, qui ne dure pourtant qu'un peu plus d'une heure et demie, se traîne, n'affichant pratiquement aucune scène d'action avant la dernière demi-heure.
Les Fiches du Cinéma
On a beau aimer Stallone, ce Rambo de trop vire à la caricature. Beaucoup de sang, peu d’âme.
Libération
[...] avec son visage boursouflé et sa carcasse qui semble peser mille vies, Stallone règne sur ce chaos artistique avec une profondeur abyssale.
Paris Match
Si le film, qu’il a coécrit, est violent et cousu de fil blanc (la symbolique appuyée de la frontière américano-mexicaine), il s’en dégage une ambiance crépusculaire presque touchante qui sauve le film.
CNews
Cette mission suscite surtout l’hilarité par ses effets spéciaux grotesques et sa mise en scène au rabais.
Culturopoing.com
Au second degré, la pilule pourrait passer, comme dans une BD outrée, mais ce racisme primaire sert trop la soupe à la politique de Trump pour ne pas rester en travers de la gorge.
L'Obs
En plus de flatter les bas instincts d’un public qui a déjà Trump pour s’en charger, le film est une infâme bouillie filmique, pas même digne d’un direct-to-video.
La Voix du Nord
Plus d’une heure de mise en place paresseuse, sans grand relief et parfois mièvre (un comble !). Et pour terminer, un sadique quart d’heure de boucherie gore sans morceau de bravoure [...].
Les Inrockuptibles
[L]a trame de ce cinquième volet s’avère un peu anecdotique et surtout mal dégrossie. Un énième récit de sauvetage à la fois trop petit (...) et trop grand.
Positif
On ne sait ce qui est le plus atroce : le ratage cinématographique ou le propos raciste, sexiste, voire fascisant.
Sud Ouest
L’épopée, aussi grotesque que violente et signée Adrian Grunberg, se présente sous forme d’une longue vengeance remâchée.
Télérama
Film d’action médiocre, “Last Blood” constitue le cinquième (et dernier) volet d’une saga qui aurait pu se conclure avec “John Rambo”, en 2008.
aVoir-aLire.com
Son script a beau être d’une sincérité absolue, il n’en porte pas moins la naïveté ringarde d’un revenge movie quelconque, monté à la truelle et tourné en moufles.