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    Les Proies
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    222 critiques spectateurs

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    Lightning_Mc_Queen
    Lightning_Mc_Queen

    23 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2008
    Traque impitoyable et haletante en terrain inconnu, LES PROIES atteint des sommets d'intensité dans son dernier tiers où propos et mise en scène ne font qu'un, sondant la noirceur de l'âme humaine avec une radicalité et une force qu'on ne retrouvait que dans le FUNNY GAMES d'Haneke. Fort, très fort !
    calamarboiteux
    calamarboiteux

    28 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2009
    Traversant des montagnes boisées pour rejoindre sa fiancée, Quim est la cible de tirs immobilisant sa voiture, puis devient le sujet d’une chasse à l’homme.
    Lopez-Gallego réalise une œuvre sobre, courte, presque muette, dans les forêts et les montagnes désertes de la région de Soria. Le héros et sa compagne d’infortune Béa sont en but à une violence gratuite, transformés malgré eux en gibier, avec pour postulat qu’ils ne sont en rien responsables de leur malheur.
    Il y a une originalité indiscutable, à la fois dans le sujet (très différent des chasses du Comte Zaroff), et dans la manière de le traiter (très différente également). La progression du suspens est adéquate, mais, peut-être de par la minceur du scénario, ou à cause de l’austérité volontaire de son traitement, le drame reste extérieur au spectateur, et une certaine lassitude gagne. La solution du rébus, pourtant hélas crédible et assez effrayante, ne parvient pas non plus à faire adhérer au projet, en faisant une sorte d’exercice de style intellectuel, oublieux du fait que le cinéma, c’est avant tout de l’émotion. Il y a là néanmoins des éléments prometteurs ; ce réalisateur, dont c’est le troisième film, a les capacités de réaliser de futurs opus séduisants.
    banana-joe
    banana-joe

    14 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2009
    Le cinéma ibérique est en forme ces temps-ci et ce film le confirme. Le scénario est simple mais c'est le traitement qui lui fait honneur; le réalisateur parvient à faire monter la tension, malgré quelques maladresses jusqu'à un dernier acte surprenant. Ajouter à cela une très belle mise en scène des décors naturels et vous obtenez un bon film.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2008
    Emprunt à "Délivrance", "Duel", "La colline a des yeux" et "Ils" , ce petit survival espagnol est une vraie perle de mise en scène doublée d'un véritable discours pacifiste. L'installation du film, pesante, intriguante, s'offre au début le luxe de créer l'inconfort. "Les proies" , et on le comprend dès les premières images, sera un film dérangeant. La mise en place du récit des poursuivants, ensuite, commence à prendre le dessus. La construction, trop motivique, opère par touches suggestives et contrastées, alternant les dialogues (pour l'approche psychologique des personnages) et la chasse à l'homme (pour l'adrénaline). Le défaut premier de ce film pourtant très adroit vient probablement de son héritage ; il y a tellement de références là-dessous, et au fond un manque de singularité qui font que "Les proies" n'est pas un film qui surprend et qui retourne comme s'il était le premier du genre. Ceci dit, on ne peut pas reprocher au réalisateur d'être né après les autres! Et malgré cela, ce petit thriller énergique contient une maturité assez étonnante. La caméra, virevoltante, souvent collée aux personnages, parvient à pénétrer le drame et l'absurde de la situation - dérisoire mais pourtant sans échappatoire - . Le plus intéressant arrive lorsque le cinéaste prend le risque du parti pris ; dans la deuxième moitié, la caméra, qui jusque-là cachait les coupables, commence à coller aux basques de ses derniers, oubliant la proie. Ce retournement de trajet, l'inversion du cadre de la caméra en somme, permet au cinéaste de renverser les codes établis ; il abolit ainsi la frontière entre victimisation et culpabilité. La proie, d'abord victime, devient un coupable innocent lors d'une fin brutale, tandis que les pourchasseurs, originellement coupables, deviennent les victimes exagérées d'une jeunesse nourrie au sein de l'ultra-violence (et la partie finale dans la bourgade en ruines, filmée en subjectif comme un jeu vidéo de guerre, confirme cette idée-là). Si la différence de
    marsjajan
    marsjajan

    56 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 septembre 2009
    Zarbe !! Ce film l'est! Ca commence par un scéne de B**** dans les toilettes d'une station service netre deux personnes qui se sont croisé dans cette station !! Bref aprés ca commence a se faire tirer dessus, tout cetet partie est bien ne fait, le gars retrouve la fille par des cinconstance que je ne dirais pas, puis ensuite on découvre qui sont ces snipers et là!!!!!!!!!C'est du n'imp , surtout lorsque le gars abandonne la fille, bref un film vraiment chelou ! Mais bien dans l'esprit espagnol!! Bien dans un sens mais qui peut derangé au final, ce qui est un peu mon cas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 février 2009
    Bon film malgré une fin un peu décevante! Les acteurs sont bien dans leurs rôle et la mise en scène est impeccable.
    7eme critique
    7eme critique

    533 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 août 2012
    Cette réalisation fait très "premier essai", c'est un peu facile et on y trouvera pas grand chose d'intéressant. Le seul point qui change, est peut être certains effets de caméra (un peu façon jeu vidéo par moments). On a encore à faire à une traque dans les montagnes (scénario pas très original) avec une légère particularité cette fois, mais ça je vous laisse le découvrir. En résumé on s'ennuie pas mal.
    PS : Règle n°1 - Lorsque l'on est traqué dans la forêt, on évite de gueuler comme des débiles (à moins d'être suicidaire)...
    totoro35
    totoro35

    103 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 novembre 2009
    Tourné avec des bouts de ficelles, un survival efficace et tout à fait regardable mais qui ne s'avère jamais réellement prenant et qui souffre d'un final certes nerveux et bien torché mais faisant un amalgamme douteux avec les jeux vidéos (du moins c'est comme ca que je l'ai ressenti).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2014
    Le film s'annonce très bien, l'actrice principale est jolie, l'acteur est plutôt bon. Film surprenant dans la deuxième partie. J'espère que c'est pas issue d'une histoire vraie...
    Gonnard
    Gonnard

    241 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2009
    Comme d'habitude, on a un peu du mal à cerner pourquoi les méchants sont si méchants. Mais on entre vite dans le vif du sujet, on a peur, c'est haletant, et surtout la fin est réussie. En somme, une nouvelle perle espagnole.
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    Chasseurs de l’ombre

    On peut faire un film avec peu de moyens et une grosse intensité et c’est le cas.

    La chasse à l’homme est ouverte mais on ne voit pas les chasseurs. Quin et Bea vont courir pendant des heures sans connaître les agresseurs et c’est l’intérêt du film, l’instinct de survie.

    Leonardo Sbaraglia joue un anti-héros, lâche et trouillard mais prêt à tout pour sauver sa peau, il tient le rôle avec brio de bout en bout.

    María Valverde est Bea, elle est plus énigmatique, plus courageuse aussi, c’est une jeune actrice charismatique et talentueuse.

    On pense à Duel pour sa part de mystère, un film brutal sur le comportement humain, sans pathos et sans pitié.

    La fin est saisissante de cruauté. Gonzalo Lopez-Gallego est un jeune réalisateur de talent, mi homme mi-animal.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juillet 2009
    Quand vous tenez un sujet, mieux vaut se l'approprier entièrement, en se renseignant auprès des premiers concernés. Ce film se découpe en deux parties: deux gros tiers de très bonne facture, course-poursuite originale, dans des décors isolés et potentiellement mortels à chaque instant. Puis, le dernier tiers, plus court, marque heureusement et malheureusement un tournant à cent-quatre-vingt degrés. On nous révèle l'identité du mystérieux agresseur chasseur, on nous surprend, et c'est un des moments percutants du film. Mais... ça tourne mal. Sans réellement dénoncer irrémédiablement le jeu vidéo, le réalisateur prend néanmoins le parti pris politiquement correct. Le jeu vidéo n'est qu'un médium comme un autre, et si nos psychopathes en culottes courtes s'inspirent des jeux vidéos, certes, ceux-là seuls ne sauraient pas être à l'origine de leur état mental! On est psychopathes avant les jeux vidéos, et au même titre qu'une conduite au volant suicidaire, une bande organisée, etc... le jeu vidéo n'est qu'un biais pour exprimer sa violence. Et ces jeunes sont d'ailleurs chasseurs dans leurs prairies et montagnes avant le reste... L'amalgame, celui qui rassure tant nos concitoyen au lieu de se poser la vraie question de l'origine de la violence, l'amalgame donc, n'est pas évité. Etonnant de mener un si bon film jusqu'à une fin d'amateur!
    tixou0
    tixou0

    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2019
    Pour ne pas déflorer le sujet, disons seulement que Quim et Bea étaient bien loin de se douter que leur rencontre dans une station-service allait les entraîner dans des aventures effrayantes, version tristement contemporaine des "Chasses du comte Zaroff". Encore une réussite du cinéma espagnol d'angoisse : dans une grande économie de moyens et d'effets, une histoire haletante très bien filmée et interprétée avec talent par Leonardo Sbaraglia.
    Un "roi de la montagne" (rebaptisé pauvrement "les Proies") à découvrir, et dont le ressort dramatique final appelle la réflexion.
    orange1789
    orange1789

    32 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2008
    Même si les deux moitiés du film sont inégales, on s'identifie bien à Quim et la mise en scène est vraiment géniale.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juin 2010
    Ce qui surprendra encore, c'est la propension des Espagnols à faire des films sans beaucoup de thunes mais les surélever par rapport à la conccurence par un sens de la mise en scène barjo et une émotion omni-présente. Donc Survival au gun dans la montagne, porté par une mise en scène énormissime (le jeu sur les points de vue), un casting et un scénar' bien foutu, des lumières superbes. Bref, tout pour faire un chef d'oeuvre si ce n'est cette dernière partie un peu chiante avec la reflexion (mes fesses) sur le jeu vidéo (on n'est pas des assassins pck on kiffe les FPS merde)
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