Avis : Les Proies - Page 4

Meme si le début du film est très stéréotypé ( portable qui capte mal , voiture en panne , flics qui comprend que dalle , choix des personnages a l oppose de ce que l on ferait ) au fur et a mesure qu'il avance ce film devient prenant Grace au point fort du film la réalisation avec notamment des plan fps comme dans les jeux vidéo assez sympathique . La fin quant a elle assez surprenante s essaie a une forme de critique de l influence de la violence des jeux vidéos et de la société moderne sur certaines personnes . A voir .

Un film prenant, je comprend qu'il ai été récompensé, vraiment du début à la fin, il ma beaucoup surpris, la fin me laisse un peut mal...

L'idée de départ est très bonne mais malheureusement je trouve que cela ne fonctionne pas vraiment. Il manque quelque chose pour que l'on soit véritablement pris dans l'action. Je n'ai pas accroché. A vrai dire je me suis même un peu ennuyé. J'ai trouvé la mise en scène un peu plate pour ce genre de film. Ou alors c'est le scénario qui est trop faible. Je ne sais pas trop. Même quand les poursuivants sont révélés, cela n'apporte pas vraiment un intérêt ni un suspens supplémentaire. Ce qui est dommage pour un thriller horrifique, c'est que l'on a pas vraiment peur, on ne tremble pas, on est pas surpris. Les acteurs sont plutôt bien, aucun mérite ne leur ai retiré. Bref une petite déception pour cette production espagnole qui ne se détache pas spécialement du reste de ce que nos amis ibères nous proposent depuis quelques temps. On ne pas faire mouche à tous les coups !

Une bonne surprise provenant encore et encore d'Espagne! Un bon petit scénario qui tien bien la route pour ce "survival" à la réalisation sobrement efficace, avec des acteurs très convaincants et très bien dirigés de plus le twist dénonce une triste part de notre société... Mais chuuute ne dévoilons rien...

Issu de la nouvelle vague du fantastique espagnol,"Les Proies" jouent avec le spectateur tel un prédateur avec son futur gibier.Caméra à l'épaule,nombreuses vues subjectives,montage cut;ce "survival" emprunte les passages obligés du genre sous sa forme moderne.Un homme,trentenaire lambda,s'enfonçe dans une forêt vallonnée dont il ne connaît pas l'issue,et où il est rapidement menacé par des tirs de carabine venant des hauteurs.On ne connaît ni les tenants ni les aboutissants.Les motivations du personnage principal restent obscures tout comme celles de sa comparse.La nature verte menaçante instaure une certaine tension,malheureusement gâchée par des effets de style incessants,provenant plus du jeu vidéo(dont le réalisateur raffole)que du cinéma.Et si l'on déplore le rythme lent et quelque peu artificiel,on ne peut que louer le dernier tiers du film.Sans en dire trop,l'adoption d'un autre point de vue relançe l'intérêt moral sur l'abandon et la perte de conscience de la réalité.Fort.Mais pourquoi diable,tout le film n'a t-il pas été à l'avenant?

Le pire, c'est que ça commence pas trop mal. Plat, mais honnête. Et puis ça retombe, surtout à partir du moment où le film laisse le point de vue des "proies" pour s'intéresser à celui des "prédateurs", désamorçant ainsi toute tension et tout mystère. La mise en scène est un peu épuisante à la longue (les ralentis...) Et surtout, il y a ce discours aussi appuyé que vide sur les jeunes et la violence qui exaspère franchement. Ce n'est pas bon pour un petit film d'horreur comme celui-là de se prendre à ce point au sérieux... Oh, et j'oubliais : le film ne fait pas peur une seconde...

Même si ce film de genre ne le renouvelle pas. Nous sommes tout de même encore en présence d'un très bon cru ibérique. Les première et deuxième partie sont très bonnes mais très classiques, en revanche la troisième partie montre un retournement de situation audacieux et plutôt osé. Avec un discours pas dénué de sens et plutôt intéressant a propos des jeux vidéos et notamment des jeux de tirs subjectifs styles jeux de guerre. La caméra souvent subjective du point de vue des tueurs (d'ailleurs le suspense sur leur identité reste entier jusqu'à la dernière partie) est beaucoup utilisée ce qui rend le film plus dynamique. Le final est saisissant. Les acteurs jouent bien.
Que demander de plus ?

L'affiche intrigante et la bande-annonce alléchante m'ont donné envie de voir ce survival provenant de la prolifique Espagne... Je dois dire que j'en suis ressorti un poil déçu. Après s'être (sexuellement)rencontré dans une station service, un homme et une femme vont devenir les cibles de curieux chasseurs dans un paysage rugueux et fantomatique. Traqué dans la forêt et les montagnes, le couple va devoir se soutenir face à l'inexplicable situation dans laquelle il se trouve jusqu'au moment où... en dire plus sans ne rien dévoiler ne serait pas correct. Ainsi, le réalisateur nous propose un survival correct mais qui manque légèrement de rythme pour nous tenir en haleine sur toute sa durée. Le film reprend un peu d'intérêt dans sa dernière partie quand il nous dévoile le visage des chasseurs et leur motivation. Le réalisateur, fan de jeux vidéos, prend alors le partie de filmer ostensiblement certaines scènes en plans subjectifs à la "Doom", donnant au spectateur le point de vue direct des snipers. En sortant du cinéma, je me suis dit que c'était pas trop mal, mais que tout ça n'était pas non plus transcendant, un mélange de "Delivrance" et de "Ils" en quelques sorte, les frissons en moins. Mais malgré tout, le film se suit tout de même avec plaisir et devrait satisfaire les plus curieux. A voir donc, mais pas indispensable.

Comme d'habitude pour les films du genre "survival", le scénario se résume à bien peu de choses. Et pourtant, quand on voit "Délivrance" de John Boorman, on est en droit de se dire que ce n'est pourtant pas une fatalité. Alors devrait-on parler de solution de facilité ? Ici la seule "originalité" sont les jeunes chasseurs qui confondent jeux vidéos et réalité. L'assimilation est faite par l'insertion de quelques paroles échangées et de plans façon FPS. Ceci dit, le film fonctionne plutôt bien et évite de tomber dans le grotesque sanguinolent habituel. Précis et réaliste, bien interprété, le décor naturel est aussi très bien exploité, ce qui fait qu'au final ce n'est pas si mal.

Je descends de la montagne en entendant siffler les balles. Je descends de la montagne en entendant siffler les balles. Le film, en deux parties, nous entraîne dans la tranche de vie franchement pas drôle de la vie de quelques personnages. Pris aux pièges au milieu de nulle part par des "hommes" un peu trop épris de chasse, ils vont franchement en bavé pour s'en sortir. Un survival qui suit les règles et les détourne avec habilité. Au début, la menace est invisible et donc constante. Le danger peut surgir de nulle part et le champ d'action des assaillants étant énorme, on reste vigilant au moindre bruit comme nos pauvres proies. Et lorsque le diable prend un visage. C'est une autre tournure que prend le film, s'orientant visuellement vers le monde du jeu vidéo par des séquences de promiscuité haletantes.Une dénonciation un peu lourde qui permet au film de finir sur une note sombre et pleine de malaise. Et les questions de société à ce moment là pourraient pleuvoir. A ceux qui disent que c'est un film sans tenants ni aboutissants, je réponds qu'au contraire il est d'actualité et que malheureusement, c'est notre quotidien qui pousse vers cette folie. Un très bon survival qui se rapproche d'Eden Lake et qui porte en plus un message, certes mal délivré. Mais quand même, quelle intensité!

le début commençait pourtant bien mais alors quelle déception pour la fin!! complètement crétin et impossible!! très mauvais film totalement incrédible!!

Si "Les proies" n'est pas un film sans défauts, loin de là, c'est malgré tout une oeuvre prenante par son scénario étrange et sa révélation stupéfiante sur la nature des poursuivants de ces innocents pris pour cible...

Film espagnol rondement mené. Acteurs charismatiques, mais qui ne s'imposent pas vraiment. Suspense qui se découvre pour un film qui ne fait pas peur (on est juste sous tension pendant la première partie). Une fois le voile levé, Gonzalo Lopez-Gallego s'empresse de se rabaisser aux acteurs (qui jouent de plus en plus mal) en oubliant le scénario (damn !).
Creux et insipide, cette virée ensanglantée vous laissera de marbre car il manque l'originalité (surtout !) et la qualité (acteurs, musique, ambiance) : le réalisateur semble avoir déserté sa place.
A calme plat, à calme plat et demi...
Interdit aux moins de 12 ans et accord parental souhaitable.

Ce long-métrage espagnol marque une étape cruciale dans la volonté des cinéastes péninsulaires à réinventer un imaginaire, trop longtemps figé concernant l'enfant et son rapport au monde. Loin d'être naïf, Lopez-Gallego transcende les clichés plus qu'il ne les transgresse, pour retourner le spectateur devant ce spectacle serein et violent à la fois.

Un thriller en forme de chasse à l'homme qui laisse à désirer.
La réalisation plutot rythmée et efficace grace à des plans sérrés ou camera à l'épaule,donne un peu de suspens.
Le scénario, assez basique pour un film de la sorte reste poussif et lent,truffé d'incohérences et d'incomprehension.
Les dialogues sont vraiment simplistes,evidemment ce n'est pas se qu'on recherche dans ce cinéma là.
Un film moyen