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Ykarpathakis157
4 541 abonnés
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1,0
Publiée le 26 août 2021
Personne n'y échappera la Terre est en danger et c'est loin d'être du cinéma. Le message est donc clair l'homme doit changer. C'est un objectif auquel s'accordent les quatre intervenants entrecoupés par des images d'illustration du sujet. Et c'est là qu'on est dérouté car s'il y a bien des séquences qui sont réellement parlantes mais d'autres paraissent bien plus superficielles et entravent la qualité du documentaire. Nous resterons sur Terre aurait gagné à être plus concentré et puis économiser de la bande musicale ça aurait été bénéfique à l'environnement aussi. Il y a de bonnes intentions et quelques images et quelque scènes qui marque le spectateur dans ce documentaire mais un ensemble trop inégal pour être vraiment passionnant et intéressant...
Documentaire environnementaliste dans le même style que Home ou Un Jour Sur Terre, en moins connu et moins bon, Nous Resterons sur Terre adopte les mêmes procédés mais ne parvient pas à faire de son message quelque chose d'inoubliable. Alors certes, les paysages sont autant beaux pour montrer les forces de Mère Nature, autant catastrophiques pour montrer les méfaits de l'Homme sur celui-ci. Mais là où Yann Arthus-Bertrand avait réussi, Olivier Bourgeois et Pierre Barougier ne se contentent que de montrer des images qui parlent pour essayer de moraliser ses spectateurs, en y casant de temps à autres les remarques défenseurs du développement durable. Dans le fond, c'est réussi. Dans la forme, c'est autre chose.
Juste un chef d'oeuvre. De magnifiques images, des guest impréssionantes et surtout, des images vraiment chocs avec un vrai message écologique, pas de "Vous êtes responsable du réchauffement hypothétique de la planète, vous allez tuer notre Terre" juste un "Arrêtez de consommer à outrance, la Terre est bien plus forte que vous pauvre petits humains, vous allez vers votre perte".
Joli clip de propagande qui nous plonge droit dans l'erreur. Ce film amateur à gros budget, lourd, très lourd, est fait pour abrutir les masses non éduquées - les vilains qui n'aiment pas l'Education Nationale - Une seule phrase qui tourne en boucle sur des images prises en hélico qui font pleurer, même ma grand-mère, avec fort renfort de FX et beaucoup de musique djeuns...la recette est bien connue - il n'y a qu'à comparer les publicités de Total pour le développement durable il y a 10 ans. Sauf que maintenant on veut toucher les jeunes en profitant qu'un jeune ne soit pas capable de réfléchir plus de 30 ". Donc il faut faire dans le Geek et dans l'Ipod pour faire passer le message et continuer à leur faire croire qu'ils sont coupables de la bêtise humaine sur l'environnement, pour enfin leur faire acheter du YABHULOT. Les jeunes sont le "coeur de cible" en termes marketing.
Il ne s'agit pas de toujours mieux contrôler la vie sur terre...l'Ecologie est une science douce qui montre que l'homme est à sa place dans la nature au même titre que les plantes, les animaux et l'air que nous respirons. Il s'agit de comprendre les rapports entre les uns et les autres et le milieu environnant; cela est très complexe et demande à l'évidence de la réflexion, et non un raccourci par quelque citation Lévi-Straussienne. L'homme n'est en rien supérieur et le durable n'existe pas dans la nature.
Le soi-disant parti-pris formel du film ne sert encore une fois qu'à masquer l'ignorance de son auteur sur son sujet par conséquent à assurer la promotion d'une bien-pensance sans savoir. De toute urgence il faut cesser de nous vendre du "durable" par la voix de stars du showbizz qui n'y connaissent rien, et décridibilisent le travail des scientifiques, au risque de voir disparaître l'Ecologie, donnant toute raison aux propos de Monsieur Allègre.
Enième documentaire sur l’écologie et le devenir de la planète, alors qu’y a t-il de nouveau ici ? Pas grand chose pour faire court, la plupart des images que vous verrez ont déjà été maintes fois vues dans divers documentaires que ce soit sur l’écologie, l’industrialisation ou l’agro-alimentaire comme Baraka (1994), We Feed the World (2007), Notre pain quotidien (2007) ou encore Paysages manufacturés (2007). Fort heureusement, les images (d’excellents plans séquences) et la B.O sont splendides et nous invitent au voyage et ce, même si la plupart des images présentées ici n’ont rien de nouveau, finalement, on ne sera peut être pas venu pour rien.
Ce film n'est pas seulement un ratage artistique, c'est d'abord un documentaire honteux. Comment en effet utiliser un thème aussi essentiel, aussi grave que notre perte de lien à la nature pour en faire un clip prétentieux et ennuyeux? Ce film pue par sa volonté permanente d'épater la galerie en multipliant les effets : ralentis, accélérés, images par images etc..., ou en utilisant des alibis aussi prestigieux que sont Morin, Gorbatchev ou Mathai. Ces derniers ne penvent jamais élaborer la moindre pensée, puisqu'on leur fait réciter des fragments épars de leur discours, devenus par ce dispositif de vagues slogans publicitaires. Les images, superbes, ne font que mettre en évidence sa propre vacuité. Ce documentaire ne peut pas être sincère et glisse sur la vague écolo pour faire bien, pour s'inventer une place au soleil : il ne mérite que l'ombre et l'anonymat. D'une ambition démeusurée, il n'accouche de strictement rien et surtout pas d'un auteur.
Documentaire poignant, à voir d'urgence, car il nous ouvre les yeux et nous montre à l'aide d'exemples multiples le rapport complètement dénaturé et dominant que nous avons avec notre planète terre et les conséquences qui en découlent.
Malheureusement, peu de salles en France le diffusent alors qu'il faut qu'on prenne conscience de nos dégats qui ont et qui vont avoir des conséquences dramatiques puisque nous sommes maintenant 6 milliards sur terre.
Un long clip de superbes photos qui s'enchaînent. Jamais ces photos ne sont situées, ni dans le temps ni dans l'espace, elles sont entrecoupées de quelques minutes de personnages médiatiques qui parlent sous forme de slogans. Très décevant. Cela semble manquer d'un réel travail. Une arnaque !
Des contrastes saisissants entre le monde naturel et le monde industriel. Les propos forts d'Edgar Morin, Mikhaïl Gorbatchev, Wangari Maathai, James Lovelock pour sonner le tocsin et essayer de nous sortir de notre narcose autodestructrice. La caméra lucide d'Olivier Bourgeois et Pierre Barougier nous livre sans concession les images de cette planète que nous transformons en une hideuse termitière. Et on finit par préférer à l'humanité les termites, qui eux, ne menacent pas tout le globe...
Il faut toujours montrer ces décors magnifiques et détruits par l'homme pour que les générations d'aujourd'hui et de demain stoppent les dégats de la Nature pour le profit,faute aux politiques corrompus.
J'ai beaucoup aimé ce film : contraste saisissant des images, approche globale des questions liées à notre environnement et toujours en lien avec l'homme. C'est un regard précieux sur notre monde qui peut éclairer chacun. Merci aux producteurs pour cette très belle initiative !
Nous resterons sur terre ..... nous disparaitrons sur terre et la terre avec nous! Voici le propos de ce documentaire sur l'écologie catastrophisme. Mais l'image tue l'image. En effet, c'est une succession de courts, très courts extraits de reportages aux 4 coins du monde de préférence dans des endroits littéralement détruits écologiquement ou en passe de l'être par une exploitation agricole comme industrielle intensive ou par notre simple frénésie de consommation, de sur-consommation et des déchets qui en résultent. Malheureusement, aucune indication de lieux, aucune date, aucune réelle explication scientifique ou économique pour souligner le propos. Les images catastrophes sont accompagnées d'une musique assourdissante, sur un rythme effréné. Les pays principalement pollueurs ne sont pas désignés mais nous comprenons rapidement que ce sont les npi ou nouveaux pays industrialisés comme la Chine, bien sur!, l'Inde. Les Etats-Unis sont sous-entendus par Gorbatchev ..... ce qui est le comble de l'ironie alors qu'il fait partie des hommes politiques qui ont avalisé la destruction de la Mer d'Aral, une des plus grandes catastrophes éclogiques du 20ème siècle (avec Tchernobyl!). Quelques images de paysages radieux et non pollués accompagnés d'une douce musique apparaissent de temps à autre sans doute pour redonner de l'espoir aux spectateurs! 4 témoins interviennent à intervalles réguliers mais qu'apportent-ils vraiment? Des commentaires, très pessimistes et trop généraux, pour nous pousser à agir ou réagir et nous culpabiliser en tant que citoyen. En conclusion, moi qui suis sensible à la cause écologiste, je suis sortie de la projection frustrée par le manque d'informations et surtout de solutions envisagées. Ce documentaire dessert la cause écologique : beaucoup d'images, beaucoup de paroles mais peu d'actions ..... à part les 8 engagements énoncés dans le générique de fin!