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Un visiteur
4,0
Publiée le 12 avril 2009
Qu y a t il de meilleur que de faire une pause dans ce monde effréné, quelque part en pleine nature. C est ce que propose ce tres beau documentaire, nous émerveillant a chaque minutes par ses images magnifiques. Il sait aussi se concentrer sur quelques phrases importantes pour nous laisser a notre propre réflexion. Pas de bourrage de crane, 80% des images de ce film sont accompagnées par de superbes musiques a base de percussions. Un tres tres bon moment donc, ou évidences et remise en question flotte dans la salle. A voir sans plus attendre ...
De superbes images avec un parti pris de ne pas les commenter, mais aussi et surtout des vérités percutantes. La presse devrait avoir honte de faire de telles critiques, c'est le genre de film que tout le monde devrait voir.
Bof... Simpliste, déjà vu... De plus, ce film tapageur et dans l'air du temps n'incite pas vraiment à un rapprochement entre les peuples à bien y réfléchir... Bref, un film minable et stupide.
magnifique, émouvant, très différent mais aussi complémentaire aux précédents films car il apporte de l'émotion et nous donne pas la mauvaise conscience. La musique est géniale. j'espère que ce film sera entendu et qu'on se bougera enfin le *** pour changer les choses !!
Bravo à Olivier Bourgeois de nous inciter à bouger pour sauver la planète en nous en mettant plein la vue. La musique est vraiment émouvante et électrisante :-) Encore Bravo !!!!
On a l'impression que les producteurs de ce film ont utilisé leur budget (qui a dû être colossal) pour aller se balader aux 4 coins du monde. Et le résultat : Soporifique. Creux. Affligeant. Sous un pseudo ethétisme photographique, déjà vu mille fois (en mieux), on ne trouve rien. On est loin de la qualité des images du Arthus Bertrand ou de la pertinence d'un Al Gore. Il ne suffit pas de surfer sur la thème du développement durable pour créer une oeuvre intelligente. Ce film est un repoussoir pour le Développement durable.... Je suis curieux de connaitre le nombre d'entrées !
Il faudrait discerner de la manière la plus objective qui soit la nécessité de voir un tel film, le besoin que l'on a d'être choqué par des images si édifiantes du monde et son évidente sincérité, à sa médiocrité. C'est chose faite. Il faut bien sûr admettre, car il n'en est pas autrement, qu'il y a derrière ce clip écolo une conviction colossale et un effort considérable ; images splendides (avec abus de travellings) tournées aux quatres coins du globe terrestre, centaines d'heures de montage au rendez-vous... on ne remet pas en cause la genèse de ce projet convaincant quand il s'agit de nous affoler et de nous faire prendre conscience de ce qui ne va plus (à ce sujet, la séquence du découpage des cochons en usine paraît essentielle même s'il est dur de la regarder en face). Les cinéastes, certainement des professionnels dans le domaine de la photographie, cadrent à merveille chaque décor, chaque mouvement, quitte parfois à forcer sur l'accélération. Le travail sur les perspectives et les effets de décuplement dans le cadre (milliers de pneus, milliers de poules, milliers de fleurs, milliers de vaches) ainsi que les choix judicieux des angles pour créer un effet optique remarquable sont l'essence même du graphisme élaboré de ce documentaire qui joue de la frontalité des images pour nous scotcher, nous montrer la mécanisation du monde par l'économie et le profit. Les images de ces travailleurs à la chaîne, filmés comme des prisonniers sans âmes, restent longtemps fixées en nous. Malheureusement, "Nous resterons sur Terre" loupe l'effet voulu ; la beauté choc des images se transforme en esthétisme. La question unique se pose alors ; peut-on rendre plus belle la Nature qu'elle ne l'est déjà? Si l'on comprend bien les intentions des cinéastes, qui veulent marquer à tout prix les spectateurs quitte à faire de leur travail de recherche un défilé de belles images, un catalogue de photos sur papier glacé, on se demande pourquoi avoir fixé durant 1h30 non-stop une musique
Images fortes mais une narration très vite redondante, heureusement que les musiques prennent le dessus. critique du 7eme art : http://le-7eme-art.over-blog.com/article-30017018.html
"L'essentiel a perdu sa place, au profit de l'immédiat". Je crois connaître bien le sujet, mais c'est vraiment un bel exercice, une performance encore inégalée que cette esthétique de notre horreur.