Avis sur Dark Shadows

L'univers visuel très personnel de Tim Burton est là ; la galerie de personnages promet d'être bien déjantée donc reconfirmation on est bien chez Burton ; Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee font acte de présence, on est bien bien chez le réalisateur ; les actrices sont parfaitement choisies, sexy et gothiques à souhait, on a envie de se les faire donc... ; et l'idée de départ promet un superbe mix entre comédie horrifique et conte gothique justement. Bon ben tout cela est formidable... ben pas tant que cela en fait. Burton a juste oublié un truc : un scénario à la hauteur. Celui-ci est paresseux ; penche trop vers le conte gothique et quand donc quand il se tourne enfin vers la comédie horrifique les effets tombent à plat. La galerie de personnages très prometteuse est totalement négligée sur l'autel de l'amoncellement de scènes d'action à effets spéciaux qui ne font pas vraiment avancer une quelconque intrigue. Bon il y a quand même une bonne nouvelle dans tout cela : Burton a retrouvé un peu de son âme d'antan par rapport au très décevant "Alice au Pays des Merveilles". Mais on est quand même loin des réussites dans le genre que sont "Beetlejuice" et surtout "Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête". Allez en espérant que le prochain film enregistrera une nette amélioration...

Tim Burton refait du Tim Burton et rien d’autre, ça devient lassant. Pour leur huitième collaboration, Johnny Depp ressort son fond de teint pour participer à une adaptation à une série très kitch des années 60 jamais diffusée en France. Mais au-delà de cet hommage c’est plus une impression que le réalisateur veut revenir sur son choix, il y a vingt ans, de refuser le projet d’adapter LA FAMILLE ADDAMS. Sans jamais sortir de son style de gothique absurde mais sans jamais retrouver la flamme poétique de ses plus belles œuvres, les seules bonnes surprises que parvient à nous offrir ce Burton enfermé dans son propre univers visuel sont les quelques caméos apparaissant dans ce soap-opéra.

Cette comédie fantastique est un peu fade lorsqu'on est un habitué de Tim Burton. Cela reste pas mal mais Depp semble toujours tenir le même jeu d'acteur, ce qui étouffe l'humour, pourtant bien présent du film. L'histoire n'est pas mauvaise mais sans surprise. L'ambiance est sombre et lumineuse, une allure d'au-delà moribonde. Le jeu d'Eva Green est encore moins convaincant, surtout sur la fin où malgré le bel effet de la coquille d’œuf, le final se montre carrément ennuyeux alors que le film n'avait pas mal commencé. J'apprécie l'actrice Chloé Moretz, mais son rôle final tient du grotesque. Comme si le final eut été bâclé.

Tout le long du film j'ai pensé au film de robert zemeckis "la mort vous va si bien"....IL semble avoir bien inspiré tim burton....Quant au film (la doublure française est elle ratée ?), je l'ai trouvé fade et pour tout dire plutot ennuyeuse...Le ou un des plus mauvais Tim Burton.....Pas de scénario pendant la première heure, à peine mieux pendant la seconde.....Le personnage de johnny depp occupe tout l'écran et les personnages secondaires sont à peine exploités, les histoires d'amour traitées sans aucune conviction....Vraiment dommage, c'est poussif, la bande annonce montre le meilleur, le plus consistant.....D'ailleurs nous n'étions que quatre dans la salle, l'humour est rarissime et les effets spéciaux ne surclassse pas un film des années 80....Alice cooper est là, pourquoi ?, il est coupé au bout de 10 secondes......Bref un film à la mise en scène dédaigneuse, assoupie......A vous de voir....

J'ai eu du mal a aller au bout de cette comédie fantastique. Comédie, un bien grand mot, peu d'humour, on esquisse que quelques sourires! La fin est une surenchère de monstres et de pouvoirs foireux digne d'une parodie de film fantastique. Un Johnny Deep qui interprète plus un Sparrow vampirisé qu'un compte Dracula! Une Eva Green qui, malgré son superbe physique, joue très mal la sorcière. Les confrontations entre Deep et Green sont en réalités les meilleurs passages du film...

Sur dark shadows plane l'ombre de Tim Burton.Un Burton mal inspiré ou trop peu inspiré,qui mets les ingrédients de son savoir faire dans une recette qu'il ne maitrise plus et surtout a laquelle il ne croit plus.L'histoire n'a aucun intérêt narratif,tout comme le coté fantastique des personnages.Et tout ça est emballé avec un humour lourdaud et parfois gras.Si l'image reste belle,les cadrages ne sont plus référentiel au genre que Burton apprécie,mais de véritables clichés du genre digne du sucker punch de Zack Snyder.

Adapté d’une série télé des années 1960 jamais diffusée en France, ce "Dark Shadows" a certes une histoire originale (des morts vivants confrontés à la génération hippie) et de jolis décors, mais manque de peps.

Depuis le temps que les mauvaises langues annoncent l'appauvrissement de l'univers de Tim Burton, ce "Dark Shadows" décevant semble bien leur donner raison. Oh, il reste bien de formidables moments romantiques d'une force surprenante, des traits d'humour noir réjouissants, quelques belles ambiances gothiques, mais perdus dans un film peu consistant, entre un scénario qui ne convainc pas avec son mélange de genres un peu vain, et une fâcheuse tendance à sortir l'artillerie lourde comme dans n'importe quel "produit hollywoodien industriel". Burton aurait-il perdu sa fameuse sensibilité ? Depp n'est-il désormais plus qu'une sorte de représentation factice de lui-même, à l'image de son personnage cireux ? C'est en tout cas Eva Green qui tire le mieux son épingle du jeu, avec un personnage troublant de sorcière folle d'amour, qu'on n'oubliera pas aussi vite que ce "Dark Shadows" bien fade.

J'attendais plus et mieux d'un Burton avec Depp, d'autant plus quand on lit le synopsis qui annonçait du bon. Déjà le côté vampire qui rentre dans une famille "normale", et le choc des civilisations entre société moyen-ageuse et actuelle. Cela et le casting promettait du limite exceptionnel, malheureusement ça n'a pas été (assez) exploité.
L'ambiance dark de Burton pas de soucis, sa patte aussi est bien reconnaissable, le montage est typique, et l'équipe de tournage reste fidèle au réalisateur (Elfman à la musique, sa femme, Depp, Pfeiffer que des habitués), puis le fait de faire revenir Michelle alors qu'Hollywood lui tourne le dos c'est sympa. A noter d'ailleurs, les acteurs jouent tous très bien à mon sens, c'est pas mirobolant mais c'est juste, bons persos et bonne composition, ça devient rare. Évidemment la musique colle bien au thème, lequel va bien aux 2 compères (Burton-Depp), l'image est soignée, l'histoire respectée et innovante (dans un sens car les voyages dans le temps par contre et le décalage d'époque c'est pas nouveau), les FX et le maquillage sont bons.
Néanmoins il y a soucis, déjà que de longueurs, on décroche à la moitié du film, spoiler: les problèmes de poissonnerie cassent le rythme. Trop de coupes peut être mais on cerne mal tous les persos, puis on ne sait rien d'eux (Pfeiffer vit comment si elle a fait faillite ? Pourquoi la psy reste si elle ne fait rien ? Qu'est-il advenu des parents du petit surtout si le père sait qui est Barnabas ? Comment la sorcière garde ses 95% sur la pêche si les pêcheurs sont du côté de Barnabas ? Pourquoi veut-elle à tout prix ces 5% ? L’enquête sur le morts du réveil du vampire on s’en fout ?)...
Hormis ces faits peu passionnants on sent qu'on a affaire à un Tim Burton moyen. L'idée de départ est bonne, il la respecte, mais il n'améliore rien, trop peu de comique alors que les situations s'y prêtaient, les bastons sont plutôt anecdotiques, les relations entre les persos passées à l'as, la sorcière (Eva Green, très bonne dans tous les sens du terme) devient lassante car trop prévisible et trop présente. Même sans avoir vu la série on devine pas mal de choses trop rapidement. Pour finir justement la fin, limite navrante (comme l’ado rebelle typique, banale qui devient spoiler: un loup-garou nul et tellement moche que c’en est amusant)
, rien d'original, très plate, longue aussi, et surtout elle ne finit pas vraiment, sûrement pour ménager une suite mais du coup c'est chiant. Bref un film à voir si on est fan de Burton et Depp, mais pas à revoir.

J'ai hésité fortement à aller le voir parce que je n'y croyais pas. Et finalement, j'ai vu ce que je m'attendais à voir et je suis déçu. Aucune surprise, j'ai juste l'impression que Tim Burton se repose faiblement sur ses acquis, en proposant un film franchement attendu. Le réalisateur ne surprend pas avec Dark Shadows et nous ressort sa soupe habituelle, c'est ce qui me gêne. Toujours les mêmes ingrédients qui commencent peut-être à me lasser. Comme s'il devenait la caricature de lui-même. Premièrement, et même si je trouve Johnny Depp génial, j'ai trouvé Barnabas incroyablement prévisible. Tout comme Tim Burton fait du Tim Burton bien formaté, Johnny Depp reste égal à lui-même. En fait, je trouve que le duo Burton/Depp s'épuise lentement. Le cinéaste a tellement exploité l'acteur sur tant de domaines et de thèmes qu'il commence à tourner en rond. Pourtant, je suis sûr qu'avec plus d'inventivité, et connaissant l'éventail des talents de Depp, ils pourraient à eux deux sortir encore des tas d'histoires et de personnages étonnants. Je ne dirai pas que c'est la fin de Tim Burton. C'est extrêmement tendance de dire ça : "Burton c'est fini, blabla". Je n'aime pas tellement cette vision de certains critiques qui affirme qu'à partir d'un certain nombre de films, un réalisateur ne fait plus rien de bon. C'est quelque chose qui est souvent entendu (pour Shyamalan, Burton et bien d'autres), mais personnellement je ne vois pas le parcours d'un cinéaste de cette façon. Pour moi chaque réalisateur a des hauts et des bas dans sa carrière, et le fait d'enchaîner des films moyens ne permet pas de dire que le suivant sera faible. D'ailleurs, si on regarde le parcours de Burton, on voit bien qu'entre toutes ses perles cinématographiques pointent parfois quelques films moyens (La Planète des Singes, par exemple). Dark Shadows n'est pas raté à mon goût, en tout cas je le trouve au-dessus d'Alice au Pays des Merveilles. Le film est parsemé d'effets spéciaux sublimes, d'images grandioses auxquelles nous habitue toujours Burton. Pas mal d'humour également, des trouvailles très très drôles comme Barnabas au milieu des "peace and love", devant l'enseigne du MacDo ou prenant feu sans réagir. De manière générale, le personnage de Depp est réussi et fait mouche. Pour le reste des personnages, je n'ai clairement pas accroché. Mais alors pas du tout. A part Depp et Bella Heathcote, j'ai trouvé les acteurs et les personnages mauvais (Eva Green particulièrement, ou Chloe Moretz). La plupart des dialogues et les répliques ne m'ont vraiment pas plu, rendant le film quelquefois ennuyeux même s'il n'y a pas de réels temps morts. Le scénario est terriblement plat et attendu, les personnages ni passionnants ni originaux m'ont énervé dès le début (certains acteurs frôlent le pitoyable, je trouve). Le film alterne les scènes clichées au possible et parfois ridicules avec quelques passages brillants. C'est un concentré de fadeur (au niveau du scénario, pas de l'image) qui m'a agacé comme pas possible, avec des choses qui auraient franchement pu être évitées (le loup-garou, les histoires de fantômes...). Bref, je ne sais pas que penser de ce film parce qu'il est quand même assez divertissant. Je vais résumer ainsi : c'est un assez bon film si on le compare aux autres grosses productions actuelles, mais une cruelle déception si on le compare aux autres films de Burton.

Avec une telle idée de départ, le talent de Tim BURTON pouvait donner lieu à un résultat intéressant. Mais malgré de beaux décors, ce long-métrage comprend trop de défauts.
Les premières minutes du film révèlent une mise en scène hasardeuse : Barnabas est-il vraiment amoureux de sa dulcinée, Josette ? Pourquoi présenter une famille stéréotypée et sans véritable enjeu ?
De façon générale, le célèbre cinéaste semble totalement se désintéresser de ses personnages. Outre, Barnabas (campé par un excellent Johnny DEPP), les autres acteurs semblent jouer les guests stars : quel est l’intérêt du personnage joué par Michelle PFEIFFER ?
La seule grande satisfaction de "Dark Shadows" repose sur l’excellent duo DEPP-GREEN. Si le film parvient à être distrayant, c’est avant tout grâce à ces deux protagonistes.

Autant le dire d'emblée : Dark Shadows n'est pas mauvais, mais il ne m'a fait ni chaud ni froid. Et autant préciser tout de suite aussi que je ne suis pas de ceux qui voient en Tim Burton « ze » réalisateur trop cool avec son univers « trop ouf et trop original » qui a tout compris à la vie et au cinéma etc. Disons que j'apprécie Tim Burton, surtout son Edward aux mains d'argent, son Big Fish ou son Sweeney Todd, mais que je ne suis pas une inconditionnelle qui a vu ses films 78 fois, vous n'avez donc pas là affaire à une spécialiste comme beaucoup peuvent (prétendre) l'être. Et de mon point de vue, assez objectif je pense puisque je n'attendais pas grand chose du film étant donné que Burton m'est sympathique sans être mon idole, j'ai trouvé le film d'une grande platitude. L'histoire est trop touffue, on la suit comme on suivrait n'importe quel autre film banal, mais on n'éprouve aucun intérêt ou attrait particulier pour ce que l'on est en train de regarder. L'idée est bonne, mais les scènes sont à la fois beaucoup trop développées pour certaines, à la fois trop élucidées pour d'autres. En fait il y a un problème de fluidité. Le montage n'est pourtant pas mauvais, mais le film a de véritables temps morts qui empêchent que l'on se prenne dedans et que l'on décolle de notre siège. Ici, on n'oublie jamais que l'on regarde un film, on reste beaucoup trop conscient de notre extériorité. On ne s'évade pas. Je suis trop exigeante parce que c'est Burton ? Je ne pense pas justement. Des films avec un scénario bien plus basique et un découpage beaucoup plus classique peuvent être milles fois plus prenants, pas besoin de faire un drame pour faire décoller le spectateur. Mais alors où est véritablement le problème ? Peut-être le montage donc, peut-être le côté succession d'histoires parallèles et de gags intéressants mais trop nombreux et pas assez développés... Et pourtant, au milieu de ce film au demeurant très moyen, « bon mais pas génial », il y a des scènes qui font véritablement mouche. Je pense surtout à cette scène entre Eva Green et Johnny Depp où les acrobaties sensuelles s'enchainent avec un rythme grandiose, des plans originaux et percutants, et sur fond de Barry White pour rendre le tout complètement hallucinatoire. Là, Burton touche à ce que l'on aurait aimé voir tout du long : une stylisation géniale et prenante qui nous cloue le nez à l'écran. Car oui, dans un film pareil, on s'attend à ce que les scènes soient toutes parfaitement stylisées à défaut de quoi on risque de tomber dans l'ennui ou la banalité. L'autre gros défaut du film, c'est la fin. Elle est lourde et excessive. J'ai retrouvé dans cette fin exactement ce que j'avais détesté dans la fin du -plutôt mauvais- dernier film de Burton (Alice au pays des merveilles) : l'affrontement quasi interminable entre les gentils et les méchants. Je me doute que c'est une parodie, un clin d'œil, et que le manichéisme de la situation est assumé. Mais cela n'enlève en rien l'aspect profondément barbant de cette scène. C'est lourd, le combat n'est même pas prenant, ça traine, on sait comment ça va se terminer... Bref, fin comme du poivre en grain. En fin de compte on ne peut pas dire que Dark shadows est mauvais. Car si on ne ressent rien de particulier en le regardant, on passe quand même un bon moment et on prend plein les mirettes. Mais c'est hélas un film plat, que l'on n'a pas envie de commenter en sortant, non pas parce que l'on est ému ou plongé dans l'ambiance, mais parce que l'on n'a strictement rien à en dire. Et un film qui n'inspire mot, un film qui n'inspire aucune réflexion (même intérieure), c'est pour moi un film qui a raté son coup.

Ce n’est pas parce qu’on adapte une sitcom, toute gothique soit elle, que l’on doit en adopter les codes narratifs. En effet, « Dark shadows » se perd assez vite dans des sous intrigues inutiles, donnant trop d’importance à des personnages secondaires qui ne le mérite pas. Tout cela nous éloignant de l’intrigue principale, la lutte et l’histoire d’amour entre Barnabas le vampire et Angélique la sorcière. D’où l’impression d’un récit décousu et confus. C’est d’autant plus dommage que les passages mettant en scène les protagonistes principaux sont bien sympathiques, Eva Green et Johnny Depp se livrant à une compétition de cabotinage plutôt réjouissante. Bref après ce mitigé « Dark shadows » et le ratage complet de « Abraham Lincoln chasseur de vampires » on est en droit de se demander si Seth Graham Smith est réellement un bon scénariste.

Je n'ai pas suivi mon vieil adage : "Trois semaines avant Cannes au ciné, rien que des navets", je m'en suis allé voir le nouveau Tim Burton. Tim Burton, tout de même, celui qui a croulé voici trois mois sous les éloges, suite à l'expo fââââbuleuse à la cinémathèque. Pas né de la dernière pluie, je me doutais bien qu'un grand cinéaste pas sélectionné pour la course à la palme, obligé de sortir sa dernière réalisation à cette période, ça sentait la daube... J'aurai du parier quelque chose, j'aurai gagné...
Adapté d'une vieille série télé que les américains se sont bien gardés d'exporter de peur de perdre quelques juteux marchés, "Dark shadows" conte une vague histoire de vengeance entre une sorcière et un riche industriel spécialisé dans le poisson qui ne veut pas d'elle. A la fin du 18ème, elle l'a transformé en vampire, enfermé dans un cercueil et enterré vivant. En 1972, il sera déterré par hasard et retrouvera ses descendants, ruinés par une arrière, arrière, arrière petite fille de la sorcière qui règne dorénavant sur l'industrie poissonnière locale. Le vampire va traîner sa dégaine gothique au milieu des hippies et des fans des Carpenters ou d'Alice Cooper avec l'espoir de redevenir le roi du thon en boîte.
Malgré un beau travail de transformation, la composition de Johnny Depp, au bord de l'autoparodie est un peu vaine et même lassante. Il n'arrive pas à sauver de l'ennui cette situation mille fois vue au cinéma du décalage temporel. Le scénario hésite entre parodie (mal) assumée et gags lourds comme un triple bigmac avec supplément mayo (le vampire croit voir dans le m de Mac donald, le signe de Méphistophéles).
Eva Green, la sorcière, n'est absolument pas crédible en méchante. Elle a beau rouler des yeux et avancer par grandes enjambées, il n'y a que ses talons aiguilles qui tremblent.
Si la première moitié du film pouvait encore faire de l'effet grâce aux sublimes décors et à une mise en scène nerveuse, jouant efficacement avec l'apparence de vampire du héros, il n'en est rien de la suite.
La fin sur le blog
http://sansconnivence.blogspot.fr/2012/05/dark-shadows-de-tim-burton.html

L'univers glauque et l'humour cynique colle tout à fait à cette famille Collins ressemblant à la famille Addams.