Un bon film avec de bons acteurs et un bon scénario , je ne m'attendai pas à voir un film d'une telle qualité , superbe et on est tenu en haleine jusqu'à la derniere minute du film
Un chef d'oeuvre!!! un film engagé qui dépeint, non seulement le dilemme de la justice face aux conflits opposant très souvent l'exécutif et les médias, mais aussi la vie d'une femme fidèle à ses principes jusqu'aux bout... je recommande
Si le film démarre plutôt bien et paraît relativement accrocheur au premier abord, il s'essouffle trop rapidement une fois les éléments de l'histoire en place. Le scénario, beaucoup trop linéaire et manquant de rythme, patine déjà au bout d'une quarantaine de minutes, se perdant dans des méandres judiciaires rébarbatifs. Le dernier quart d'heure est laborieux et le dénouement, un peu tiré par les cheveux, décrédibilise l'ensemble. Nothing But The Truth ne propose en fin de compte qu'une suite balisée de scènes sans réelle saveur où les acteurs tentent de se démener tant bien que mal, Vera Farmiga et Matt Dillon tirant plus particulièrement leur épingle du jeu. La réalisation quant à elle, académique et ultra classique, accentue un peu plus la platitude qui ressort de ce drame qu'on oubliera finalement assez rapidement.
Un suspense épatant, durant tout le film je me suis demandée si oui ou non la source serait citée, que ce soit par révélation de la part de la journaliste, par la source elle-même, par enquête concluante au sein de la CIA, du FBI ou autre, ou uniquement pour nous, spectateurs. Le film réside sur le silence absolu, coûte que coûte, pour la protection d'un indic, et la fin est inattendue même si assez bête en soi et peu crédible. Un très bon moment en tout cas.
Bonne interprétation de l'actrice principale qui donne un peu de "corps" à cette histoire linéaire. La défense du principe ("ne pas révéler ses sources" quand on est journaliste) n'est pas aussi séduisante que d'autres causes plus populaires, mais l'idée du courage et de la détermination est bien développée ici. La dernière minute, contrairement à ce que j'ai pu lire ailleurs, est un peu la cerise sur le gâteau et le moment du sourire.
"Le prix du silence" est un film réalisé par Rod Lurie qui n'a pas rencontré beaucoup de succès lors de sa sortie. Ce drame, relatant le combat d'une journaliste contre les institutions gouvernementales en refusant de dévoiler la source de ses informations, est pourtant bien construit et bien rythmé. La distribution est également très bonne avec en tête d'affiche Kate Beckinsale, vraiment très bien. Matt Dillon est quant à lui très convaincant en procureur inflexible. Mention spéciale également à Alan Alda dans le rôle de l'avocat. On pourra juste regretter un excès de pathos dans les scènes familiales. Celles-ci contrastent en effet avec les scènes tendues montrant la journaliste confrontée avec ses accusateurs, et en particuliers dans les scènes de prétoire que les américains savent depuis longtemps filmer avec efficacité. Ce long métrage, même s'il ne possède pas la force de certains autres films politiques, mérite assurément une seconde chance.
Encore un film qui n’a d’attrayant que son casting tant son scénario creux et son absence d’idées de mise en scène sont de cruelles déceptions. Le film va effectivement s’embourber dans le sempiternel sujet du "secret d’Etat" et des rouages juridico-administratifs sans intérêt. En attendant que se dévoile enfin le rebondissement final prévisible dès les premières minutes, le réalisateur semble s’intéresser plus aux débats autour du thème de la liberté de la presse que du sort de ses personnages, un choix artistique tout à fait compréhensible mais qui est stupide quand, comme ici, le résultat est dénué de morale politique.
Rod Lurie signe encore un film basée sur des faits de société très engagés et permettant une reflexion de chacun. Super film ! A rater sous aucun prétexte.
Tout ça pour ça. Il ne se passe absolument rien dans ce film qu’on aurait pu tourner en un quart d’heures. Une journaliste intègre qui refuse de divulguer sa source et qui en paye le prix. La fin nous laisse songeurs.