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Un visiteur
2,5
Publiée le 11 février 2010
Expurgée de toutes ses scènes douteuses (j'ai vu la version coupée), cette production italienne se révèle moins nulle que je ne m'y attendais. D'une part, le réalisateur Sergio Martino a le sens du cadre et a su mettre en valeur les superbes décors naturels. Ensuite, on a la bonne idée de s'éloigner un tantinet du film de cannibales "traditionnel" pour lorgner vers le film d'aventure. Le scénario ne surprend guère mais la présence en tête d'affiche de la belle Ursula Andress est une bonne excuse pour visionner cette pure série B d'exploitation.
Visionner dans sa version intégrale (du moins c’est ce qui est indiquer sur la jaquette du dvd que je possède), "la montagne du Dieu cannibale" est qui mélange astucieusement le genre horrifique (la dernière demi-heure est d’ailleurs assez gratinée ce niveau-là) et l’aventure exotique. La mise en scène de Sergio Martino est tout à fait appréciable et fait quelque peu oublier un scénario qui a tout de même ses limites. Côté casting, on ne peut évidemment oublier de citer la présence de la très belle Ursula Andress, même s’il fait reconnaître que sa prestation n’est pas toujours grandiose, à l’image d’ailleurs de l’ensemble du casting. On notera aussi la présence de très beaux paysages (le film a été tourné notamment en Malaisie et à Ceylan), et aussi des excellents effets spéciaux de Paolo Ricci, ce qui fait que l’ensemble de cette série B se suit agréablement.
Ruggero Deodato a grandement marqué les esprits avec son cultissime « Cannibal Holocaust », mais il n’a pas été le premier à s’exprimer en la matière, s’il est possible et juste d’utilises ce terme. Quelques années auparavant, Sergio Martino offrait aux aficionados de l’horreur un film certes conventionnel et pourtant très captivant. Il en ressort qu’après visionnage de « La Montagne du Dieu cannibale », le spectateur a le sentiment de ne rien avoir appris en la matière, sans pour autant avoir passé un mauvais moment. Ursula Andress, curieusement à côté de la plaque, n’apporte pas grand chose à cette fresque cannibale dans l’ensemble honorable.
"La montagne du dieu cannibale" reste un film d'horreur aventure très moyen, tout d'abord pour le jeu d'acteur très mauvais et les personnges loin d'etre attachant mais aussi pour les nombreuses scènes inutiles comme la fille indigène qui se masturbe ou encore un indigène violant un porc. Les innombrables scènes sanglantes ne sauvent pas la médiocrité du film qui contenant un grand potentiel pour être aussi bon que Cannibal Ferox, malheureusement on reste dans la jungle sans trop de rebondissement malgré les quelques scène gores qui nous réjoui pas plus que ça. Et ce n'est pas les seins de Ursula Andress qui nous aidera à aprecier encore plus le film. Plusieurs meurtre d'animaux auraient pu être evités (même si je ne suis pas contre) car on ne voit pas l'interet de certains malhreusement à part pour copier "Le Dernier Monde Cannibal" ou "Cannibal Holocaust/Ferox". Soft, à la limite de l'ennui, sexuellement inutile mais peu se laisser regarder pour completer votre collection de "Cannibal" sinon vous ne perdrez rien puisque la majorité des scènes gore ont été reprise dans l'exelent "La Secte des Cannibale". 2.5/5
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2,5
Publiée le 4 juillet 2013
Reconnue comme l'une des plus belles filles du monde à la suite de son apparition mythique dans "James Bond contre Dr. No", Ursula Andress mit sa beautè et son talent d'actrice au service d'une brillante carrière commerciale. "La montagna del dio cannibale" de Sergio Martino annonce plutôt une carrière exotique dans un genre mineur! Film et comèdienne valent mieux que la rèputation qu'on leur prête car cette sympathique sèrie B à l’italienne est distrayante et parvient même à faire sourire! Une affiche (et une posture) à la « Ashanti » ne nous feront pas oublier une Ursula Andress ligotèe et pratiquement nue, offerte à la consommation d'une redoutable tribu anthropophage! Dans les regards qu'elle jette à la camèra du père Martino, comme pour se persuader que tout cela n'est qu'une fiction! Qu'il faisait bon quand même d'être de la tribu des Pukas en 1978, ne serait-ce pour zieuter la plastique d’Ursula...
L’exécution d’animaux "pour de vraie" va à l'encontre de ce qui signifie la notion même de cinéma. Ce procédé que je ne tolère pas, que je condamne même vivement, se retrouve dans l'oeuvre italienne "La montagne du Dieu cannibale". J'avais eu l'occasion de faire une critique équivalente à ce film, "Cannibale Holocauste" qui est à mon sens bien meilleur puisque plus brute et plus expérimental que cette pâle copie qui fait grise mine. En effet, la plupart du temps, on ne fait que voyager dans la jungle avec un panel de personnages qui ne sont guère intéressants, se trouvant dans des situations les plus ridicules et les plus incohérentes qu'il soit. L'ennui pointe alors rapidement le bout de son nez jusqu'à finalement être réveillé par la cruauté des hommes sur les animaux (effet plutôt négatif en tant que spectateur). La présence d'Ursula Andress ne change rien tant son jeu d'acteur est d'un ridicule sans nom. Finalement, pas grand chose à sauver sur ce film ! Très insuffisant !
Un pur nanard :D Je vous le conseille en anglais non sous titré, ce film vaut son pesant de cacahuètes ;) Un ramassis d'immondices dans la jungle, une source d'uranium dans la montagne, des cannibales qui se coupent le pénis, un homme embaumé vivant, que du bonheur ^^ Si vous n'avez pas grand chose à faire de votre soirée, regardez-le, ça peut aussi plaire à votre copine :p
Que de plan d'animaux inutiles et de randonnée forestière pour meubler le film. On a tendance a piquer du nez. Heureusement le final s'accélère un peu.
Je me souviens avoir vu ce film à la TV, sur M6, il y à bien 30 ans, peut-être un petit peu moins, mais pas beaucoup moins. J'avais été marqué par la brutalité du film, vu avec mes parents. Par la suite, bien des années plus tard, disons 20 ans plus tard, j'ai acheté le DVD. Et je me suis rendu compte que ce que j'avais vu autrefois, et dont pas mal d'images m'étaient restées en tête malgré le temps passé et l'absence de revisionnage, n'était qu'une version censurée du film, qui, dans sa version complète, est assez gore par moments, assez trash, pas autant que "Cannibal Holocaust" ou "Cannibal Ferox", mais à peu près du même ordre quand même. Si j'avais vu cette version enfant, j'aurais été littéralement traumatisé. Ce n'est pas immense du tout, mais j'aime bien ce film d'aventures trash quand même. spoiler: Rien que la vision d'Ursula Andress nue, le corps badigeonné de miel ou de je ne sais quoi... soupirs.
Par moment, c'est pas mal fait du tout à tel point que cela peut donner la nausée. L'aspect cannibale offre réellement une épouvante et la punition pour les violeurs fait très très mal. Il s'agit principalement d'horreur cannibale, attention les yeux ! C'est axé principalement sur la nourriture et du sexe qui passe par la zoophilie, ce qui ne me semblait pas nécessaire. Le film reste bien fait et plutôt réaliste même si certains effets spéciaux sont ratés. Il donne le frisson, on peut le dire, pas toujours pour les bonnes raisons et même si parfois on a l'impression d'être sur une chaîne animalière.
Le problème de ce film ce sont ses scènes additionnelles qui n'apportent rien à l'histoire, certaines relèvent de la cruauté animale et sont difficilement soutenables, d'autres sont totalement incongrues à l'instar de la scène de zoophilie simulée. Mais si on les enlève il reste une petite série B qui tient assez bien la route, qui bénéficie du charme de la très belle Ursula Andress et de l'attrait de magnifiques décors naturels
Ce film est parfait car il synthétise à lui tout seul tous les clichés et stéréotypes des nanars des années 80. Scénario et dialogues pourris, scènes mal tournées et mal articulées, suspens foireux, musique mal adaptée à l'action, effets spéciaux amateurs, sacrifices inutiles de pauvres bêtes qui n'ont rien demandé à personne. Le must, super reportage animalier qu'on a vu des milliers de fois à la télé. L'abonné des nanars, Stacy Keach est toujours aussi sympathique. Mention spéciale à Ursula Andress qui se la donne à fonds et dont la plastique (mal mise en valeur) est le seul vrai attrait du film (comme l'indique l'affiche). Incontournable pour les fans d'Ursula Andress.
Diantre ! En voila un film qui fiche les canni-boules. Et comme dit le proverbe italien, rien de tel qu'un film de cannibales pour faire un bon film alimentaire. Et Ursula Andress l'a compris ça. Surtout, que par chance, le film n'est pas trop Keach. L'ennui c'est que Stacey tombe de haut devant des révélations en cascades : le nain cannibale, son pote qui se fait "couper zézette", mais aussi le dantesque viol de l'ours. Enfin, c'est tout de même le minimum syndical après tout ce temps passé à marcher dans la jungle avec pour seule occupation de regarder les ouistitis se faire gober par des boas dodus et amorphes. Ah bein on arrive à la fin de la critique, qui est bien moins longue que le film, heureusement. Je pense qu'il est alors temps de citer un autre proverbe bien connu en Nouvelle-Guinée Cambodgienne : "Quand l'ours est en train de brouter, les cannibales dessus lui passe". Et franchement, c'est gros un ours.