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Gonnard
248 abonnés
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5,0
Publiée le 11 novembre 2009
Une sorte de clone de « Comment se faire larguer en dix leçons ». L’actrice principale est d’ailleurs la même. Eh bien je trouve le clone bien supérieur à l’original. On n’est pas forcément mort de rire, c’est souvent lourd voire vulgaire, le déroulement est ultra conventionnel. Mais c’est vif, plaisant, sans tabou. Donc oui, j’ai bien conscience de donner ma bénédiction à une sous-merde hollywoodienne, mais je le fais avec allégresse car j’ai passé un bon moment.
Une comédie anti-romantique vulgaire à peine drôle dont l'histoire n'est guère plaisante et peu inspirée à l'image du personnage de Jason Biggs qui est un copié-collé de son rôle dans American Pie.
Pourquoi suis-je allé voir ce film? Je pense que c'est la présence de Jason Biggs, le seul avec John Cho et Eddie Kaye Thomas à sauver American Wedding de la catastrophe qui m'a poussé à aller voir cette excellente surprise.
Dane Cook étant mauvais comme jamais dans Mr. Brooks, l'affiche française hideuse, la bande-annonce au même niveau que l'affiche me donnait des raisons de ne pas y aller. Mais le fait d'avoir un Alec Baldwin en période comique m'a définitivement conquis. Et le film est juste excellent dans son genre. Le film est en lui même pas forcément excellent mais on revient de loin avec un réalisateur aussi mauvais qu'est Howard Deutch (vu son dernier film, une bouse ultime). Alec Baldwin se fait attendre alors on se réconforte avec les interprétations parfaites de Dane Cook, Jason Biggs et Lizzie Caplan, Kate Hudson étant vraiment pas mal. Quand aux seconds rôles, on tire son chapeau à Alec Baldwin excellent, dans la lignée de Jack Donaghy, et à Riki Lindhorme et Malcolm Barrett. Les gags, quoique vulgaires sont très souvent hilarants comme celui de "Pop That Pussy" des 2 Live Crew.
La scène qui m'a conquis serait celle de présentation de Tank, une scène que l'on retrouve dans les trois quarts des films de ce genre, mais souvent une scène hilarante où, là on a le droit à des ralentis toujours bien pensés et non fortuits. Le film est quand même un peu long mais bon, c'est rare de voir un film aussi bon dans ce genre, ça le renouvelle. Et la fin, le happy end qui n'en est pas un est pour moi la cerise sur le gâteau, la cerise du 16.
Ca faisait des lustres que la vulgarité n'avait pas atteint de tels sommets! Le pire, me direz-vous, c'est que malgré la culpabilité qui nous ronge, qu'est-ce qu'on se marre! Alors oui je comprendrai que l'on m'en veuille de sacrifier le beau cinéma d'auteur pour encenser cette honteuse comédie indigne pour certains de sortir en salles tant elle est extrêmement sale et commerciale. Mais voilà, la rigolade a elle aussi droit à sa gloire, et pour ça, "La copine de mon meilleur ami" est sur le droit chemin, à moins que vous ne blâmiez toute forme de vulgarité auquel cas ce film est un blasphème. D'une pizzéria Jesus aux potacheries sexuelles en plein mariage, le film ose le tout pour le tout, même s'il s'étale parallèlement dans une vraie histoire d'amour aux clichés gros comme ça. Mais pour l'audace des dialoguistes et l'hénaurme personnage campé par Dane Cook, cette comédie immorale mérite d'être vue, d'autant qu'une pointe d'originalité se fait sentir et les personnages secondaires (à condition qu'ils ne soient pas féminins) sont irrésistibles ; du père obsédé sexuel au meilleur pote timide à en perdre un sourcil (l'un des meilleurs gags de l'année!), le film frappe fort. Il y a du phrasé culte, du dégoupillage de tabous et une sauce pas trop moralisatrice pour nous faire passer un sale moment... de bonheur!
Une comédie assez basique, sans grande originalité (comme toutes les comédies romantiques américaines) mais avec laquelle on passe, néanmoins, un assez bon moment.
Grossier, parfois trash, une comédie pas si romantique que ça. Même si l'historiette ne vaut pas tripette, on se laisse prendre au jeu de Hudson et Biggs (hilarant dans son rôle de "faible").
Certaines scènes sont drôles, d'autres moins. Certaines répliques sont surprenantes, d'autres sont convenues et malheureuses. Du bon et du moins bon mais on évite au moins la niaiserie à outrance. A voir par curiosité.
Le point fort de cette comédie réside principalement sur la force de soncasting,car il faut avouer que le scénario est pour le moins banal. Cependant quelques gags présentés sont originaux et plaisants, et en font un film sympathique à découvrir.
Je ne suis pas resté plus de 10 mn à ce film où un Bigard américain (en moins sympa), nous explique en détails et en images comment être un sale con et se faire des nanas en chaleur. Une sorte de "lâcher de salopes" mais pas marrante du tout. Mais que fait Kate Hudson dans ce navet ? Elle devrait mieux choisir ses films.
On s’en doutait avant même de la voir, cette comédie possède tous les ingrédients de base des comédies romantiques US, sauf que celle-ci est tellement grossière qu’il faut réellement se creuser la tête pour la trouver romantique ! « Un tue l’amour » est chargé de faire vivre un enfer à des jeunes femmes qui viennent de larguer leurs hommes afin que ces dernières reviennent en courant vers leurs ex petit ami, suite à leur mauvaise rencontre d’un soir. Le pitch est idiot, le dénouement et le final atteignent des summums du ridicule, le charme de Kate Hudson ne parvient pas à sauver le film de la casse, passez votre chemin, c’est préférable !