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Votre avis sur Ghost in the Shell: Stand Alone Complex - Solid State Society ?
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Plus long que les précédents films et mini-séries, S.A.C. Solid State Society est très intéressant, 2 OAV de 2h40, en avance sur son temps, tous les sujets exposés sur la cybernétique sont passionnants, le scénario est précisément fourni en renseignement.
Les onze individuels et l’homme hilare fascine les fantômes dans la coquille, un objectif de la section 9, des cyberpoliciers à l’état actuel des choses, les thèmes sont de grands auteurs de science-fiction, il y a non seulement beaucoup de philosophie ancienne comme vestige mentor jusqu’à l’héritage vers sa modernité inspirée, c’est un chef-d’œuvre, ce n’est pas rien.
Le second attire l’attention comme puppet master, c’est l’ennemi d’Etat numéro 2, serait ce cyberpiratage créant des bug dans ce monde de cyborg à la destinée humaine.
Les onze individuels et l’homme hilare fascine les fantômes dans la coquille, un objectif de la section 9, des cyberpoliciers à l’état actuel des choses, les thèmes sont de grands auteurs de science-fiction, il y a non seulement beaucoup de philosophie ancienne comme vestige mentor jusqu’à l’héritage vers sa modernité inspirée, c’est un chef-d’œuvre, ce n’est pas rien.
Le second attire l’attention comme puppet master, c’est l’ennemi d’Etat numéro 2, serait ce cyberpiratage créant des bug dans ce monde de cyborg à la destinée humaine.
J'en ai vu qui étaient déçus, car ce troisième film de la franchise n'a pas grand chose à voir avec les deux premiers.
Il faut juste préciser que ce film est celui qui clôture, comme son nom l'indique, la série "Stand alone complex" qui est sans doute l'adaptation la plus respectueuse du manga original - scénaristiquement comme graphiquement. (Les films de Mamoru Oshii ont beau être de purs chefs d'œuvre - et être mes préférés, ils partent quand même un peu en sucette comparé à l'œuvre de Shirow.
Pour ceux qui se plaignent qu'il y a moins de gore et sois disant de sexe (je ne sais pas où vous avez vu du sexe dans les autres films, mais passons. Au passage, c'est dans S.A.C qu'on aura eu le plus de contenu sexuel que dans tout le reste...), et qu'il est "réservé aux ados"... Je facepalm.
En bref, ne regardez pas ce film - et encore moins écrire une critique dessus, si vous n'avez pas vu Stand alone complex.
Pour ma part, j'y met 3,5/5, car l'épilogue me laisse un peu sur ma faim.
Il faut juste préciser que ce film est celui qui clôture, comme son nom l'indique, la série "Stand alone complex" qui est sans doute l'adaptation la plus respectueuse du manga original - scénaristiquement comme graphiquement. (Les films de Mamoru Oshii ont beau être de purs chefs d'œuvre - et être mes préférés, ils partent quand même un peu en sucette comparé à l'œuvre de Shirow.
Pour ceux qui se plaignent qu'il y a moins de gore et sois disant de sexe (je ne sais pas où vous avez vu du sexe dans les autres films, mais passons. Au passage, c'est dans S.A.C qu'on aura eu le plus de contenu sexuel que dans tout le reste...), et qu'il est "réservé aux ados"... Je facepalm.
En bref, ne regardez pas ce film - et encore moins écrire une critique dessus, si vous n'avez pas vu Stand alone complex.
Pour ma part, j'y met 3,5/5, car l'épilogue me laisse un peu sur ma faim.
OAV à voir après la série, cet animé est sympathique puisqu'on y suit Togusa qui a prit la place de major suite au départ de Kusanagi. Le scénario est bien plus simpliste qu'à l'accoutumé puisqu'on y suit une enquête plutôt banale. Ceci n'empêche pas le film d'avoir une réflexion sur notre avenir, cette fois-ci d'un sujet plus sociétal. Techniquement, sans être excellent, il reste dans la moyenne haute de ce qui se fait en terme de japanimation. Pour les fans de GITS principalement ou de Cyberpunk.
Une serie de 5 films cyberpunk S.F d'animation ultra complexes et exigeants , ce qui les rends impérissables...
Aux commandes des 2 premiers, l'immense Mamoru Oshii, le pendant Sci Fi de Miyazaki, accompagné de la musique hallucinante de Kenji Kawai.
La première fois, si on manque un peu d'expérience, il faut se contenter de l'ambiance, car l'intrigue est réellement tortueuse : des polars métaphysico-technologique teintés de philosophie existentialiste ( Asimov, le cerveau positronique, l'ame robot, le fantome dans la machine, l'immensité du web engendrant des formes de vie autonomes, l'intelligence artificielle, les cyborgs... ).
Ca se corse encore plus dans les 3 suivants issus de la serie Stand alone complex avec, cette fois la musique de yoko kanno ( Cowboy bebop ).
Finalement, des films pratiquant une forme de suranalyse, vieillissant particulièrement bien ou pas du tout...
A voir du meme auteur, "Avalon" et le sublime "Skycrawlers"..........
GLOBAL JAZZALIST sur ton moteur de recherche
Aux commandes des 2 premiers, l'immense Mamoru Oshii, le pendant Sci Fi de Miyazaki, accompagné de la musique hallucinante de Kenji Kawai.
La première fois, si on manque un peu d'expérience, il faut se contenter de l'ambiance, car l'intrigue est réellement tortueuse : des polars métaphysico-technologique teintés de philosophie existentialiste ( Asimov, le cerveau positronique, l'ame robot, le fantome dans la machine, l'immensité du web engendrant des formes de vie autonomes, l'intelligence artificielle, les cyborgs... ).
Ca se corse encore plus dans les 3 suivants issus de la serie Stand alone complex avec, cette fois la musique de yoko kanno ( Cowboy bebop ).
Finalement, des films pratiquant une forme de suranalyse, vieillissant particulièrement bien ou pas du tout...
A voir du meme auteur, "Avalon" et le sublime "Skycrawlers"..........
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Le troisième opus de Ghost in the shell s'avère plus long, plus
complexe que ses prédecesseurs, mais aussi plus coloré, plus
énergique... Dans une ambiance d'enquête policière mêlée à
un vaste complot politique, les membres de la section 9 vont
devoir se réfugier dans leur ultimes retranchements pour
faire éclater la vérité. Les réflexions philosophiques sont très
poussées et omniprésentes, et nous amène à une conclusion
finale, celle que les cyborgs ne sont pas tellements différents
des humains, derrière leur enveloppe de technologie et de
sophistication, il pensent et expriment des sentiments, en fait
ils sont terriblement humains...
complexe que ses prédecesseurs, mais aussi plus coloré, plus
énergique... Dans une ambiance d'enquête policière mêlée à
un vaste complot politique, les membres de la section 9 vont
devoir se réfugier dans leur ultimes retranchements pour
faire éclater la vérité. Les réflexions philosophiques sont très
poussées et omniprésentes, et nous amène à une conclusion
finale, celle que les cyborgs ne sont pas tellements différents
des humains, derrière leur enveloppe de technologie et de
sophistication, il pensent et expriment des sentiments, en fait
ils sont terriblement humains...
Pour la plupart des films existants, lorsque une suite est décidée elle est très souvent largement en dessous de ce qu'on a pu voir avant...mais pour ce troisième opus de Ghost in the shell ce n'est pas le cas et il est important de le souligner. Bien plus long que les deux autres films(2:40 environ) il n'en est pas moins prenant et passionant avec toujours le lot de réflexions sur la robotique et le progrès...un vrai plaisir pour les innitiés, les autres risquent de se perdre assez rapidement dans l'histoire, assez complexe..comme d'habitude.
Encore un excellent opus de Ghost in the Shell. Visuellement magnifique, le style reste inchangé. L'histoire reste relativement complexe et laissera plus d'un profane dans le brouillard. A voir !
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