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Votre avis sur Un hiver à Central Park ?
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ferdinand75
Un film qui doit beaucoup à la très bonne interprétation de Nathalie Portman, qui sait jouer sur tous les registres. Mais le scénaio est faible,et donne parfois un air de "déjà vu". La réalisation est un peu poussive manque de souffle.
Un sujet rarement traité au cinéma (la mort d’un nouveau-né de 3 jours) mais pas franchement drôle et touchant surtout les femmes. C’est bien joué (Natalie PORTMAN joue la mère ayant perdu son bébé et devant apprivoiser son beau-fils, joué par un jeune acteur qui pourra aller loin, Charlie TAHAN) mais un peu moraliste avec le discours habituel (aux Etats-Unis) sur la famille.
RedArrow
Le deuil d'un nouveau-né et ses conséquences dévastatrices, un sujet difficile au cœur de cet "Hiver à Central Park".
En adaptant à l'écran le livre "Love and Other Impossible Pursuits" de Ayelet Waldman, Don Roos n'évite hélas pas l'écueil du pathos et quelques facilités (aïe, ces premiers flashbacks très mal amenés ou ces séquences montées sur des musiques tire-larmes) mais se rattrape toujours par des scènes finement écrites où la fragilité de cette jeune femme tellement emprisonnée dans son deuil qu'elle en a oublié la douleur ressentie par ses proches déteint à travers à l'écran.
Sa reconstruction passera par une nécessité de partager et de guérir son mal-être en s'ouvrant aux autres. Cela se traduira par la subtilité de sa relation avec son beau-fils sans cesse entravée par une mère blessée et psychorigide (Lisa Kudrow, excellente), la volonté de crever l'abcès des non-dits entre elle et son mari ou ses propres parents et surtout par se pardonner à elle-même cette irrépressible sentiment de culpabilité consécutif à la mort de sa fille qui la ronge un peu plus au fur à mesure qu'elle s'enfonce dans un mur de silence et de cynisme.
Malgré quelques grossières erreurs de parcours, "Un Hiver à Central Park" emporte l'adhésion grâce à une Natalie Portman absolument parfaite (également productrice) et à des séquences d'une sensibilité incroyable (la mise en scène très pudique et réaliste autour de la mort de l'enfant dont on ne sort forcément pas indemne ou bien ce face-à-face final entre l'héroïne et l'ex-femme d'une telle puissance émotionnelle).
Un film suffisamment fort pour un sujet qui l'est tout autant.
En adaptant à l'écran le livre "Love and Other Impossible Pursuits" de Ayelet Waldman, Don Roos n'évite hélas pas l'écueil du pathos et quelques facilités (aïe, ces premiers flashbacks très mal amenés ou ces séquences montées sur des musiques tire-larmes) mais se rattrape toujours par des scènes finement écrites où la fragilité de cette jeune femme tellement emprisonnée dans son deuil qu'elle en a oublié la douleur ressentie par ses proches déteint à travers à l'écran.
Sa reconstruction passera par une nécessité de partager et de guérir son mal-être en s'ouvrant aux autres. Cela se traduira par la subtilité de sa relation avec son beau-fils sans cesse entravée par une mère blessée et psychorigide (Lisa Kudrow, excellente), la volonté de crever l'abcès des non-dits entre elle et son mari ou ses propres parents et surtout par se pardonner à elle-même cette irrépressible sentiment de culpabilité consécutif à la mort de sa fille qui la ronge un peu plus au fur à mesure qu'elle s'enfonce dans un mur de silence et de cynisme.
Malgré quelques grossières erreurs de parcours, "Un Hiver à Central Park" emporte l'adhésion grâce à une Natalie Portman absolument parfaite (également productrice) et à des séquences d'une sensibilité incroyable (la mise en scène très pudique et réaliste autour de la mort de l'enfant dont on ne sort forcément pas indemne ou bien ce face-à-face final entre l'héroïne et l'ex-femme d'une telle puissance émotionnelle).
Un film suffisamment fort pour un sujet qui l'est tout autant.
un drame bien plus profond qu'il n'y parait où différents thèmes sont abordés. Natalie Portman y est exquise et très touchante
Je m'attendais en lisant le résumé du film à une comédie sentimentale qui traitait uniquement de la relation entre une jeune femme et sons beau fils de 8ans .. mais en réalité j'ai découvert un vrai drame profond qui m'a extrêmement bouleversé pendant ma grossesse.
Beau sujet traité ici de façon détournée ..
en revanche je le déconseille fortement aux femmes enceintes ou jeunes mamans car j'ai vraiment été tres marquée. Il m'a fallu plusieurs semaines pour relativiser un peu cette histoire, ce qui montre parfaitement la réalité des sentiments exprimés dans ce film.
chapeau aux acteurs, notamment nathaly portman ainsi qu'au réalisateur
Beau sujet traité ici de façon détournée ..
en revanche je le déconseille fortement aux femmes enceintes ou jeunes mamans car j'ai vraiment été tres marquée. Il m'a fallu plusieurs semaines pour relativiser un peu cette histoire, ce qui montre parfaitement la réalité des sentiments exprimés dans ce film.
chapeau aux acteurs, notamment nathaly portman ainsi qu'au réalisateur
Un film suffisant pour passer une soirée au chaud. La tendresse est à l'honneur et on ne peut pas s'attendre au rebondissement. Natalie Portman est touchante presque troublante de sincérité.
Wow.. comment regarder un film dont on se fiche éperdument ? Et bien c'est ce que je viens de vivre. Ce film ne cherche à larmoyer que les femmes qui ont perdus un enfant ou qui ne savent pas gérer leurs relations amoureuses... pour ma part, tout cela c'est peanuts, non honnêtement qui se cogne de savoir comment elle a perdu son mioche, de savoir pourquoi elle en veut à son père et de connaître les relations entre femme/maîtresse et belle mère/beau-fils ? Puis cette fin à l'américaine trop écoeurante, genre tout va bien car tu as changé. Beurk !
Un très joli film decouvert un peu au hasard je m'attendais à une comédie sentimentale américaine et j'ai visionné un film traitant du couple dans toute sa complexité comment se construire entre l ex epouse et l'enfant né de cette union la situation est déjà complexe mais si on y rajoute un drame inexplicable qui inévitablement s'immisce et détruit... cela donne cette jolie oeuvre que je vous conseille de decouvrir au plus vite... seul bemol le titre original est bien mieux...
Ah les histoires de famille... Ouais... Plutôt bof le comportement d'une mère insupportable et cruelle (Lisa kudrow: je la préfère plutôt fofolle et extravagante dans la série Friends), une belle mère (Nathalie Portman: Femme fragile ! Après ça jai envie de voir du solide, genre Transfomers) Et un fils trop précoce pour son âge. Le film raconte l'histoire d'un garçon qui aide sans qu'il s'en rende compte son autre maman a travers leur relation. Plutôt mignon l'objet de la réconciliation qui vient de l'enfant. Dans un concept plus général, les enfants devraient avoir leur mot a dire lors de conflits dans une famille. Bref bon film. Nathalie Portman touchante et le petit garçon (je l'ai reconnu il jouait les 2 survivants dans je suis une légende)
Un très beau film, beaucoup d'émotions et de vérité
The Other Woman est de loin une histoire particulièrement touchante, mais le film tient sur trop de longueurs. Les personnages dont le rôle de Nathalie Portman sont attachants, mais la réalisation n'affirme pas ses convictions : trop pâle, trop américanisée, le film perd peu à peu du crédit, face à la méchante ex-femme. Pourtant, The Other Woman pouvait compter sur un scénario plutôt bien exploitable, et toucher le public. Mais, il n'en a rien été !
Une femme, dont le nourrisson est mort à l'âge de quelques semaines, tente de poursuivre sa vie avec son mari (et père du bébé) qu'elle a "volé" à son ancienne femme avec qui il a déjà un enfant surdoué de 8 ans.Un pitch plutôt banal qui va voir se confronter une multitude de sentiments entre tous ces personnages. Seulement ici, à la différence de la majorité des autres longs-métrages sur le sujet, les sentiments sus-cités ne sentent pas vraiment la guimauve mais plutôt la méchanceté pure et simple. En tout cas dans la première heure, on a l'impression que personne n'aime personne et que tout le monde cherche à blesser son prochain...Alors même si cela permet d'innover face à la concurrence, la cruauté ambiante du film n'apporte finalement qu'un climat malsain qui force malgré lui le spectateur à détester chaque personnage et donc à se sentir bien à l'écart de cette sombre histoire de deuil et de nouveau départ.Et sans prévenir, la dernière demi-heure fait basculer l'atmosphère pesante vers un happy-end hollywoodien tout en légèreté qui sied finalement assez mal à tout ce que le réalisateur Don Roos s'était évertué à retranscrire précédemment, comme s'il s'était soudainement rendu compte qu'un film antipathique ne pouvait réellement plaire...On a donc affaire à un film tiraillé entre tous ces sentiments opposés qui finalement ne trouvera jamais vraiment sa place.Dommage car Natalie Portman est comme à son habitude parfaitement craquante.
NeoLain
Belle prestation pour Natalie Portman. Une histoire touchante d'une femme en position de belle-mère. Elle à perdu son propre enfant et n'arrive pas à se défaire de cette perte. Elle traversera également des soucis avec l'ex-femme de son mari. Un hiver à Central Park s'agrémente de l'actrice Lisa Kudrow (Friends).
Film superbe qui traite d'un sujet assez original. Emotion garantie grâce à la superbe Natalie Portman qui joue ici très bien. Film très réaliste. Vous ne sortirez pas de ce film indemne, vous verserez même peut-être quelques larmes...
Partant d'un synopsis assez " court " bien que très plausible - une petite famille New-yorkaise recomposée perd un nouveau-né trois jours après sa naissance - l'histoire qui nous est racontée passe, sans que personnellement elle ne m'ait véritablement accroché. Dommage.
A moi point de vue, ce pourrait lié à l'absence de charisme de l'acteur Scott Cohen, dont le rôle est de plus assez nettement effacé. Sa présence "plombe" en bien des circonstances l'envie d'y croire que l'on porte en soi pendant la projection d'un film, quel qu'il soit.
Nathalie Portman, Lisa Cudrow et le petit Charlie Taha portent tant bien que mal le récit à bout de bras, mais arrivé au clap de fin, 02h00 de projection était le maximum que tout le monde - acteur et spectateurs - puissent tenir devant le déroulement de cette histoire qui n'arrive pas vraiment à décoller dans le "crédible" malgré tout le temps qui lui est imparti.
A moi point de vue, ce pourrait lié à l'absence de charisme de l'acteur Scott Cohen, dont le rôle est de plus assez nettement effacé. Sa présence "plombe" en bien des circonstances l'envie d'y croire que l'on porte en soi pendant la projection d'un film, quel qu'il soit.
Nathalie Portman, Lisa Cudrow et le petit Charlie Taha portent tant bien que mal le récit à bout de bras, mais arrivé au clap de fin, 02h00 de projection était le maximum que tout le monde - acteur et spectateurs - puissent tenir devant le déroulement de cette histoire qui n'arrive pas vraiment à décoller dans le "crédible" malgré tout le temps qui lui est imparti.
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