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laurence l
139 abonnés
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4,5
Publiée le 26 mars 2011
Quelle belle histoire on nous raconte là, des personnages qui s'entremèlent pour mieux nous emmener dans ce troubillon de sentiments. Dommage que l'on oubli de nous donner plus de renseignements sur certains personnage qui on leur importance. Les acteurs sont tous formidables y compris ce petit nouveau qui ne va pas le rester longtemps.
Le genre de film qui ne me touche pas, tous ces personnages gesticulant sans apporter aucunes émotions, des scènes passant du coq à l'âne et pour qu'à la fin tout ce petit monde se retrouve et me laisse de marbre. Rien de neuf à l'horizon.
A voir pour deux comédiennes exceptionnelles : Géraldine Pailhas pleine de sincérité dans un rôle de fille-mère devenue mère tardivement et qui a du mal à être fille de sa mère, et Marina Foïs généreuse et sensible en mère d'un enfant sur le point de quitter le nid familial. Sinon, n'est pas Almodovar qui veut, et les histoires parallèles pleines de coïncidences improbables comme dans un roman de Marc Lévy s'embrouillent un peu sans qu'on y trouve la cohérence minimum d'un bon thriller.
C'est un mélo, vraiment. Je vois pas le rapport avec Almodovar... à part les femmes omniprésentes et de pouvoir... c'est à prendre à la légère, je pense que ce n'est pas psychologique, juste mélodramatique...
Une belle distribution et des thèmes interessants à exploiter : les relations mère-fille, la vis d'une star du journal télévisé, la recherche de l'enfant abndonné, la recherche d'une mère trop tôt partie, les fouilles merde journaleux, etc.... Mais finalement les certains acteurs ne collent pas à leurs personnages : Deneuve n'est pas credible en Claire Chazal; Duvauchelle ne nous emporte dans aucun registre de son rôle. Seule Geraldine Pailhas est dans le ton et credible en danseuse, et le jeune Lafarge tient bien son personnage. Trop inégal pour ressortir enthousiasmé.Ni même content d'avoir passé un bon moment. Dommage.
l'idée d'aborder de nombreux sujets est très judicieux mais encore faut il ne pas tout mélanger. Le scénario aussi incohérent qu'improbable ne creuse aucun des thèmes qu'il explore et on reste vraiment sur sa faim. Que de situations abracadabrandesques et farfelues. Les acteurs surjouent, Duvauchelle fait dépressif, Deneuve devrait enfin arrêter, Paiilhas dance bien mais c'est tout. on peut vraiment se passer d'un tel film...
Thierry Klifa mais Christopher Thomson aussi, qui lui même est le compagnon de Gérladine Pailhas qui elle adore catherine deneuve, elles ont d'ailleurs tourné ensemble le héros de la famille écrit par ces mêmes scénaristes cités plus haut. Une famille le cinéma. Quelquefois de nouveaux venus comme Duvauchelle qui joue une fois de plus le pourri...même si on se doute qu'il manque à son âme un repère maternel, le vrai nouveau venu est la révélation de ce film, tout le monde s'accorde à le dire, moi aussi, l'adopté, le "pas désiré", le "mal aimé biologique mais sur protégé par sa famille adoptive"... Catherine Deneuve et je m'excuse de le dire ne me convainc pas mais je crois que mon avis elle s'en moque vu sa carrière, elle joue toujours de la même façon ça en devient drôle, marisa paredes est là pour redonner quelques couleurs espagnoles et nous démontrer qu'almodovar, du moins son fantôme, traînait quelque part sur le tournage mais où ? Le film ne dépasse pas les clichés du genre, les bons sentiments, résultat il décolle trop tard à la façon des petits mouchoirs, mais je suis ravie d'apprendre que géraldine pailhas a pu danser de nouveau, vraiment. Marina Fois et Jean marc barr sont trop absents mais néanmoins excellents et démontrent qu'ils forment un couple harmonieux à l'écran. Pas mauvais film mais le fil doré a trop pris le dessus en oubliant les bases de la couture....
Les yeux de sa mère est un mélo-drame empli d'émotion, de suspens... pas toujours facile à suivre amis superbement interprêté. Ce qui donne un drame sentimental choral.
Une belle distribution pour ce film très Almodovar,mais Klifa n'est pas Pedro et la sauce retombe souvent , reste les acteurs (Marisa Parèdes et Nicolas Duchauvelle en tête ) ,quelques très belles scènes et un beau clin d'oeil à Almodovar .
Apres un debut assez prenant et des acteurs tres interressant, le film tombe un peu au bout d'une heure paradoxalement apres une scene qui nous fait penser que le film va devenir tres bien. Dommage, la fin est un peu ratee.
j'ai trouvé ça plutôt long et désincarné pendant la première heure, et puis brusquement, pourquoi, je n'en sais rien, la sauce à pris, les acteurs ont semblé prendre vie, tout s'est imbriqué, et de froid j'ai fini par trouver ça incandescent ! j'en suis sorti troublé, et j'avoue devoir de grandes excuses à Géraldine Pailhas à qui je n'ai jamais tellement fait attention avant...elle est lumineuse, belle, et excellente actrice qui la révèle. Quant à Nicolas Duvauchelle, il serait vraiment tellement meilleur s'il avait une diction audible...
J'ai passé les 3/4 du film à m'accrocher à mon siège pour ne pas partir. Rien ne fonctionne, Deneuve serait plus crédible en archevêque de Canterbury qu'en Chazal-PPDA-Chabot. Duvauchelle clame à longueur d'interview qu'il tient là un rôle d'écrivain intériorisé loin de ses habituels rôles cogneurs, alors que son rôle est juste celui d'une petite ordure qui viole la vie privée des people par n'importe quel moyen. Pailhas se fait plaisir en se montrant en train de danser. Bon bon mais tout ça ne donne pas un film. Puis arrive le moment où Jean-Baptiste Lafarge apparait. Et là ça se met à ressembler à un film. Le jeune Lafarge a une présence qui dépasse toutes les autres et le seul rôle d'adulte. Marina Fois et le trop rare Jean-Marc Barr ne sont pas mal non plus. L'attirance de la mère, la fille et le petit-fils pour le même homme est une piste intéressante du film mais elle n'est pas très bien menée. Idem pour le fait que Matthieu cherche surement une famille à travers ces trois personnes. En résumé ça ne doit pas être mal de voir ce film en dormant pendant une bonne heure et en en voyant la fin.