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    La Baie Sanglante
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    51 critiques spectateurs

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    NicoMyers
    NicoMyers

    56 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2011
    La Baie Sanglante est l’une des oeuvres les plus marquante dans l’histoire du gore et de l’horreur. En effet, sous l’étiquetage "giallo" (qui est l’assassin aux mains gantées ?), Mario Bava nous invite à un jeu de massacre assez cruel : aucun protagoniste ne s’en sortira. Et la question n’est plus "Qui est le tueur ?" mais "Qui sera le prochain ?". Par cela, il annonce les futurs Vendredi 13 et consoeurs, par bien des indices : un meurtre toute les 5 minutes, le plus original possible, filmé en gros plan, sans ellipse, avec le plus de sang possible. Le passage (sans autre intérêt que de faire couler du sang, avouons-le) où la bande de jeunes vient s’amuser dans la baie avant de se faire assassiner est assez frappant sur ce point. La Baie Sanglante est donc l’un des tous premiers films où la violence est gratuite, où le dégoût et le gore remplacent le suspense et l’angoisse. L'intrigue et l'identité des tueurs n'a que peu d'intérêt, le plus important étant de voir le plus de meurtres possible (comme le montre la scène finale controversée). Mais la mise en scène de Bava est-elle à la hauteur de ses meilleures œuvres macabres ? Pas vraiment. Deux passages pour moi sont réellement du plus haut niveau et valent à elles seules le film entier : la première scène (esthétiquement sublime) et la dernière, toute deux inattendues et sadiques. Entre ces deux moments, Bava abuse du flou et du zoom, et le rendu est inégal, alternant entre suspense et ennui, mauvais goût et réussite esthétique.
    Ma note : 7/10
    Caine78
    Caine78

    6 683 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 novembre 2013
    Ah ba en voilà un film impossible à noter tant on ne sait par où commencer et passons notre temps à nous demander si c'est génial ou nullissime. Bon, pour être totalement honnête, j'opterais plutôt pour la deuxième possibilité, mais les choses sont plus compliquées que ça. Imaginez : si la première scène est un modèle d'efficacité et de maîtrise, voilà que l'on passe en quinze secondes à des dialogues à peine dignes d'un porno et à un immense n'importe quoi niveau montage, au point d'avoir l'impression qu'on a collé les images d'un autre titre à la suite ! D'ailleurs, il faut attendre un bon bout de temps pour qu'on ait également des informations sur le pourquoi du comment, tant l'ensemble s'apparente à un grand bordel à base de zooms et de comédiens pitoyables (on se demande s'ils le font exprès, c'est dire!), pas aidés par l'un des pires doublages que j'ai eu l'occasion d'entendre. Oui mais voilà : cela a beau être ridicule, avouons que ces meurtres en série plus « badass » les uns que les autres sont plutôt rigolos, d'autant qu'il y a de quoi être surpris à plusieurs moments. En effet, il est absolument impossible de savoir exactement ce qui va se passer la scène suivante tant « l'intrigue » multiplie les personnages et n'en suit jamais un en particulier, donnant à cette bizarrerie un aspect totalement déséquilibré et incohérent, mais donc au moins inattendu dans le déroulement. Et puis le massacre de gros rapaces par d'autres gros rapaces a quelque chose d'assez cynique permettant de se réjouir un minimum, à l'image d'un dénouement particulièrement savoureux. Bref, un étrange mélange de série B et Z « anar » ne ressemblant la plupart du temps à rien, mais vaguement inventif, capable de quelques fulgurances et même doté d'une certaine « poésie » morbide permettant de ne pas trop s'ennuyer : très loin toutefois des grands classiques de Maria Bava que sont « Le Masque du démon » et « La Fille qui en savait trop ».
    Redzing
    Redzing

    1 108 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2024
    Vous êtes héritiers potentiels d'une villa située en bord de mer. Après la mort pas vraiment accidentelle de sa propriétaire, vous voilà donc en lice pour la succession. Que faire ? Aller chez le notaire, et causer data temporis et codicille suspensionné ? Que nenni ! Massacrer les autres héritiers, c'est bien plus simple !
    Je dois avouer qu'il m'aura fallu 3 visionnages (!) de "La Baie Sanglante" (connu également sous d'innombrables titres anglais et italien) pour commencer à l'apprécier... sans pour autant le considérer comme un vrai bon film. Ce sera peut-être pour le 4ème visionnage ?
    Initialement je n'y ai vu qu'un vile slasher maladroit et mal fichu. Depuis, j'ai eu l'occasion de voir une dizaine de films de Mario Bava, et de (re)voir une grosse quarantaine de gialli, de quoi le resituer.
    Impossible toutefois de gommer ses défauts. Des dialogues de bas étage, des acteurs moyen. Et l'on sent l'écriture opportuniste, où l'objectif était d'enquiller les meurtres, au mépris d'une cohérence narrative. Ainsi, les interactions entre personnages sont très artificielles, jusqu'à certains qui débarquent dans le récit purement pour servir de chair à couteau (les étudiants, sortis de nul part).
    On ressent également le budget très faible. Si Mario Bava livre une photographie correcte pour les intérieurs, usant même de grands angles à l'occasion et d'ombres inquiétantes, pour les extérieurs c'est plus compliqué. Pour cause, la forêt où se déroule une grosse partie de l'histoire n'existait pas, ils ont du faire ce qu'ils pouvaient avec quelques arbres et des branchettes achetées chez un fleuriste !
    La mise en scène en devient très contrainte et cela s'en ressent. La conséquence immédiate c'est qu'au lieu de pouvoir changer de plan, Bava passe son temps à enchaîner les zooms/dézooms, ce qui devient vite ridicule une fois qu'on a compris le truc.
    Restent évidemment les fameux trucages de Carlo Rambaldi. Avec des séquences gore très convaincantes. Dont plusieurs seront repompées par les Américains, lorsqu'ils s'inspireront du giallo, et de ce film en particulier, pour créer le slasher. En tête, la célèbre scène du couple au lit.
    Enfin, il y a le scénario, misanthrope et nihiliste. Dans cette histoire, aucun personnage n'a une once de bonté ou de vertu. Ce sont tous des pourris, qui courent après l'héritage. Difficile donc de s'attacher à eux... mais c'est finalement dans la tradition du giallo où des bourgeois vicieux s'échangent des coups fourrés (ou plutôt hachés ici...). Si l'on se met dans la bonne ambiance, ces règlements de compte peuvent devenir amusants. Jusqu'à un final inattendu et très cynique, avec une musique en décalage total avec la conclusion !
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 janvier 2013
    J'avais un assez bon souvenie de ce film....je l'ai revu,ca a quand meme un peu vieilli.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 septembre 2007
    Un giallo mythique.Cette histoire de propriété de luxe convoitée par une horde de coyotes tous plus pourris les uns que les autres prets a s'entre-tuer fait froid dans le dos.
    L'ambiance de ce film est inimitable,unique, a la limite du malsain.Les scenes de meurtres sont particulierement ingenieuses et sanglantes, surtout pour l'epoque.On se souviendra surtou de cette femme se faisant trancher la gorge a la faux pendant qu'elle court pour regagner la maison.
    Anoter enfin une belle partition musicale, de beaux decors, une claudine auger bien sadique et un final d'humour noir memorable.Une perle pour de fins connaisseurs.
    Tedy
    Tedy

    247 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 août 2008
    Comme d'habitude avec les films d'horreur de Mario Bava, on rigole plus qu'on ne sursaute tellement c'est ridicule.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2018
    La Baie est une superbe propriété convoitée de plusieurs individus prêts à tout pour l'obtenir. Dès lors, elle va être le théâtre d'une belle hécatombe, les mises à mort ne manquant pas. En 1971, quand Mario Bava réalise "La Baie sanglante", il est loin de se douter qu'il va influencer une bonne partie des slashers des années 80 (impossible de ne pas penser à "Vendredi 13"). Une chose est sûre cependant c'est que Bava s'éclate et que les meurtres sont aussi joyeusement gores qu'inventifs. Le cinéaste n'a d'ailleurs pas son pareil pour plonger ses films dans une atmosphère étrange un brin mortifère, ici aidé par un très beau décor naturel. Problème cependant, c'est que l'ami Bava a oublié de soigner le scénario au passage, celui-ci se perdant dans tous ses personnages et ses conflits, rendant l'ensemble un brin confus même si on comprend à peu près où il veut en venir, décrivant des personnages corrompus par l'appât du gain, prêt à tuer sans sourciller pour arriver à leurs fins. On regrettera aussi - et c'est une chose récurrente chez le cinéaste - une mise en scène sacrément bancale, capable de très beaux moments de tension comme d'autres beaucoup plus plats frôlant le ridicule. Difficile d'ailleurs de savoir comment prendre le film. Au premier degré, il peine à fonctionner devant la bêtise de certaines scènes (ce final, mon dieu !) mais réjouira les amateurs du genre au second degré. Dans tous les cas, on ne pourra pas nier la générosité du cinéaste, s'évertuant à nous choquer à travers un film bien gore dans lequel on appréciera la présence de Claudine Auger.
    Shawn777
    Shawn777

    581 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 novembre 2020
    Ce film, réalisé par Mario Bava et sorti en 1971, n'est pas mal du tout ! Hybride entre le giallo et le slasher, le film nous présente une série de personnages se disputant une baie (en gros) et se faisant tuer les uns après les autres. Bon, c'est très grossièrement résumé mais en gros, le principal de l'histoire est là. Considéré par beaucoup comme étant le film qui posa les bases du slasher, ou en tout cas du slasher en tant que teenage horror movie (car sinon, il y a déjà eu avant "Le Voyeur" de Michael Powell et bien-sûr "Psychose" d’Hitchcock), il garde néanmoins un aspect giallo assez identifiable, même si j'avoue avoir quelques problèmes avec ce terme. Effectivement, l’appellation giallo désigne en réalité beaucoup de choses, que même les spécialistes se disputent encore (par exemple, l'éternel débat autour de "Suspiria", est-ce un giallo ou non, bref) même si ici, nous pouvons l'identifier grâce au côté gore et à l'aspect policier et thriller du film. L'aspect slasher du film ne représente en réalité qu'une petite partie, lorsque les jeunes entrent par effraction dans la maison et se font tuer un à un (dont un des meurtres d'ailleurs, assez original, sera reprit plus tard, ainsi que d'autres éléments, dans le deuxième chapitre de "Vendredi 13"). Ensuite, c'est réellement une sorte d'enquête policière qui se remet en place, avec ce côté thriller un peu à la Agatha Christie, tout en gardant ces meurtres assez gores, et c'est, à mon sens du moins, cette partie-là qui se rapproche le plus du giallo. Bon voilà, en dehors des aspects techniques, le film ne reste dans l'ensemble plutôt pas mal même s'il a de gros problèmes de rythme. Je trouve en effet que certaines scènes sont assez longues et que l'intrigue est un peu trop complexe et tirée par les cheveux (même si la toute fin est drôle et très surprenante). On remarque bien que le film n'avait pas beaucoup de budget mais les meurtres, même s'ils ont évidemment vieillis, restent jouissifs et très bien mis en scène ! Du côté du casting, nous avons la James Bond girl Claudine Auger, Claudio Camaso, Luigi Pistilli etc. qui jouent relativement bien. "La Baie sanglante" n'est donc pas extraordinaire mais reste un classique du cinéma de genre assez intéressant.
    Ricco92
    Ricco92

    221 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2018
    Malgré sa qualité très moyenne, L’Île de l’épouvante peut être vu comme assez important car il ressemble à une sorte de précurseur du slasher. Son autre intérêt est également le fait qu’il sert de brouillon à une œuvre tournée l’année suivante : La Baie sanglante. En effet, dès les premières minutes, on se rend compte que la mise en scène de Mario Bava est nettement plus maîtrisée que dans son modèle. Cette fois, les personnages sont beaucoup mieux croqués et le scénario est nettement plus intéressant en particulier grâce à l’enchaînement de retournements de situation de la dernière demi-heure et l’accumulation de tueurs : Bava s’amuse à surprendre son spectateur (dès les premières minutes où le meurtrier… se fait tuer) et à le choquer (là où L’Île de l’épouvante ne montrait pas les meurtres, La Baie sanglante n’hésite à le faire et à verser dans le sanguinolent, ce qui en fait encore plus une influence pour le slasher). En outre, Bava bénéficie d’une musique assez subtile et angoissante signée Stelvio Cipriani. La Baie sanglante fait donc partie des belles réussites de Mario Bava et possède une forte importance sur l’avenir du cinéma d’exploitation par son influence sur le slasher quelques années plus tard.
    AMCHI
    AMCHI

    5 780 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2008
    La Baie Sanglante est un slasher qui a très mal vieilli ; de nos jours ce film d'épouvante est même ridicule. Quant au gore il est quasiment inexistant. Médiocre et sans intérêt.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    289 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2014
    Que l'on aime ou pas les thrillers italiens des années 1970, et à fortiori le genre si particulier du giallo, il faut reconnaître que ces films là ont du style et une âme. Cadavres empilés, morts plus ou moins sanglantes, intrigue tordue et couleurs criardes sont au menu de ce classique de Mario Bava. Et le réalisateur italien n'est pas là pour perdre du temps, ce qui se ressent dans la mise en scène comme dans la durée du film.
    Davidhem
    Davidhem

    108 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mai 2014
    Le film du renommé Mario Bava surnommé parfois le successeur d'Hitchcock nous pond comme à son habitude un film qui possède une ambiance glauque et terrifiante. Les critiques ont jugé que le final était discutable pour des raisons que l'on peut tous comprendre étant données les circonstances. Mais ce qui importe c'est le contenu et le réalisateur italien nous fiche une trouille qui collait bien avec un de ses meilleurs amis, Dario Argento. Le film est un fantastique thriller horrifique aux rebondissements multiples et aux défauts humains les plus courants: la méfiance, l'opportunisme, le meurtre. L'intrigue se corse, se mêle à beaucoup de situations car ici il ne s'agit pas d'un giallo dans le sens où l'on sait qui tue qui et pourquoi, le long-métrage veut en réalité nous montrer la face sombre de l'être humain dans un endroit paradisiaque, une baie où l'on peut se baigner et se reposer. Tout part d'une question d'héritage et se complique avec une demande de rachat de la baie pour la transformer en station balnéaire. On y trouve également la tromperie chez l'homme avec sa secrétaire comme l'obsession d'un scientifique pour étudier des insectes. Ce film brillant à la profondeur psychologique intense et au scénario riche et dense nous transporte au fur et à mesure vers d'atroces aveux et par cela par des meurtres finalement commis par toutes les personnes qui figurent sur cette île chacun pour arriver à leur objectif unique et partagé: la possession de la baie. Au casting, on trouve Claudine Auger, la femme passionnée de "Un peu de soleil dans l'eau froide" de Jacques Deray et Luigi Pistilli, ce dernier ayant notamment joué dans "Le bon, la brute et le truand" de Sergio Leone. Un film sombre, un film aux multiples facettes, des surprises à chaque moment, des moment de suspense terrifiants bref Mario Bava ne déroge pas à sa règle, montrer tout que ce soit agréable ou répugnant. Les seules vraies victimes sont un groupe de hippies qui n'imaginaient pas tomber dans un lieu où la cupidité domine, peuplée par des meurtriers fous et sans scrupules. La fin du film sans la révéler est "Ne parlez pas trop de vos projets et ne laissez pas des armes à proximité de vos progénitures" . Au final, Mario Bava rédige et réalise un thriller horrifique en diable et révèle la face sombre de l'humain avec une immoralité dérangeante. Ames sensibles, s'abstenir absolument!
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 668 abonnés 12 406 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2012
    "La baie", charmante propriètè d'une vieille comtesse paralytique, pourrait fort bien servir de cadre à une juteuse opèration immobilière! Un bord de mer donc, rèsidentiel, sauvage et vraiment trop calme! Heureusement il y a treize meurtres dans le film! Longtemps avant la sèrie des "Vendredi 13", Mario Bava signe ici un vèritable opèra de l'arme blanche: serpe, hache, ciseaux, poignard, javelot...Le cinèaste, pur esthète, a atteint avec "La baie sanglante" je ne sais quoi de nouveau qui n'est pas sans provoquer un malaise! Le mètrage peut paraître dèmodè en 2012 mais les meurtres aux corps transpercès sont tout à fait rèjouissants...
    benoitparis
    benoitparis

    109 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2009
    C'est une sorte de Grand Guignol froid et sophistiqué, avec scénario tordu et mise en scène virtuose (qui vaut largement à mon avis celle d'un Hitchcock). A la limite de la gratuité, mais tendant bien vers une représentation in-abstracto de l'instinct criminel. J'ai préféré d'autres Bava pour leur scénario plus vénéneux, mais c'est vrai que c'est du grand cinoche.
    Estonius
    Estonius

    3 315 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2014
    On peut le voir comme un précurseur du slascher en se foutant pas mal du scénario, et là on est assez bien servi (Vendredi 13 ne fera que copier). On peut le voir comme un polar sanglant et essayer de raccommoder le scénario et là, je vous conseille l'aspirine… On peut aussi le voir comme un film bancal où le meilleur côtoie le pire, le meilleur étant la magnifique scène d'introduction, l'étonnante scène finale et dans un genre différent les péripéties aquatiques et naturistes de la très pulpeuse Brigitte Skay, le pire étant sans doute la prestation calamiteuse de Claudine Auger.
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