Mon compte
    Le Cerveau d'acier
    Note moyenne
    3,5
    68 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Cerveau d'acier ?

    20 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    6 critiques
    3
    5 critiques
    2
    2 critiques
    1
    1 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Pierre Crescenzo
    Pierre Crescenzo

    30 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    Ce film est un must incontournable de la science-fiction. L'avènement de Colossus qui y est présenté résonne avec force des dizaines d'années plus tard. Mon intérêt pour la psychologie des êtres artificiels y trouve des échos passionnants.
    albancinedvd63
    albancinedvd63

    16 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2023
    Le suspense monte en puissance tout au long du film, avec malgré ses 50 ans, des sujets qui restent actuels, une très bonne mise en scène et des acteurs concernés. Très bien.
    Caine78
    Caine78

    6 712 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2021
    Ah, c'est sûr que cinquante ans plus tard, la technologie a pour le moins évolué, ce côté très « futuriste hyper avancé dans le domaine » pouvant faire sourire, mais on n'y prête finalement peu attention, le soin apporté aux décors étant assez bluffant, Joseph Sargent se montrant capable d'offrir de temps à autres quelques très beaux plans (à commencer par le premier, d'ailleurs). Parcours étrange que celui de ce film, production au départ ambitieuse avant d'être presque totalement sacrifiée par Universal au détriment de , alors qu'il avait beaucoup d'atouts pour devenir une référence du genre, statut qu'il mériterait presque aujourd'hui. Certes, le casting est peu prestigieux, mais ça ne l'empêche nullement d'être solide, investi, à l'image d'Eric Braden, qui a donc eu un autre rôle que celui de Victor Newman dans « Les Feux de l'amour ».

    Même s'il y a eu traitement plus brillant concernant le « combat » entre l'Homme et la Machine, « Le Cerveau d'acier » sait se saisir intelligemment des enjeux de son époque (« sosie » de JFK, Guerre froide, nucléaire) pour enrichir son scénario, montrant des personnages souvent impuissants face à la puissance grandissante de l'ordinateur. Un vrai duel, moins prenant par moments mais toujours pertinent, notamment lors d'une deuxième partie prenante, où l'élaboration, ingénieuse, du plan de notre héros, va avoir fort à faire face à la perspicacité implacable de Colossus... Jusqu'au dénouement, peut-être un peu brutal (ça ne m'a pas dérangé outre-mesure), à la fois spoiler: imparable et inattendu, faisant peu de cas de l'habituel « happy end »
    pour proposer, au contraire, une conclusion bien plus forte pour un titre de science-fiction digne de ce nom.

    Deux suites étaient prévues (le film est adapté du premier roman d'une trilogie), n'ayant jamais vu le jour suite au succès relatif de l'œuvre. C'est peut-être un mal pour un bien : sans doute aurait-on glissé vers des scénarii plus faciles, moins originaux, avec des humains qui auraient, enfin, trouvé la solution face à l'indestructible machine... Tel qu'il est, même sans réalisateur de génie derrière la caméra, « Le Cerveau d'acier » donne satisfaction : c'est bien là l'essentiel, et pourquoi il faut le redécouvrir maintenant que l'excellente collection ESC a eu la non moins excellente idée de le sortir en France (oui, j'avoue leur faire pas mal de pub en ce moment!).
    LeGlaude
    LeGlaude

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Ce film est vraiment excellent. Je ne sais pas quoi dire appart que le film aurait pu avoir une suite mais malheureusement il n'en a pas eu. Si vous avez aimé le film je vous invite a lire la Trilogie de Colossus.
    Nucleaire
    Nucleaire

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2019
    Un classique du genre, un merveilleux scénario qui fût précurseur du genre (Skynet dans Terminator).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    Tiré d’un roman haletant de D.F. Jones qui annonce le contemporain AutoMI de Google, Colossus traite du conflit entre l’homme et l’intelligence artificielle. Cette version technologique du mythe de Frankenstein traverse tout un pan de la littérature de SF et fut à plusieurs reprises abordée au cinéma (l’indépassable 2001, l’efficace Terminator, le passionnant Planête interdite). Il ne faut pas s’attendre ici à de tels sommets. Si l’argument est solide et sérieusement traité, si certains moments du film sont très réussis (la prise de pouvoir de Colossus est vraiment glaçante), la mise en scène de Joseph Sargent est par trop scolaire pour atteindre l’intensité visée. La faute à un scénario à la fois rigoureux (dans la mise en place du piège technologique et des ressources infinies de l’intelligence artificielle) et très maladroit (l’astuce trouvé par le savant pour déjouer l’attention de Colossus est risible ; le début de romance amorcée tombe complètement à plat). L’implacabilité de l’ordinateur est crédible et fait froid dans le dos, mais la réaction des humains est souvent ridicule (l’amusement du scientifique dans la première partie, son détachement ensuite). A cela s’ajoute un casting très faible, une rigidité générale des interprètes et des dialogues empruntés. Malgré plusieurs éclats (l’impressionnante scène d’ouverture ; le jeu avec les caméras de surveillance ; les coups de force de Colossus), le récit est trop poussif et le film vraiment daté. Pourtant, loin d’être honteux, Le Cerveau d’acier possède de vrais atouts qui ne trouvent malheureusement pas à s’épanouir complètement dans ce cadre étriqué.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 juillet 2019
    LE CERVEAU D'ACIER était, je dis bien, était un film d'anticipation à sa sortie en 1970.
    Le pitch ? Colossus, un super-méga ordinateur, reçoit de ses concepteurs, le gouvernement américain, la gestion du système militaire entier clé sur porte. Colossus prendra bien vite son indépendance pour verser dans le totalitarisme......
    Colossus voit, entend et devine tout......
    Un peu comme de nos jours, quand on regarde une série sur Netflix et que FB nous propose quelques jours plus tard des pubs pour des t-shirts à l'effigie de cette série.
    Anticipation.... on y est 50 ans plus tard. Les algorithmes nous épient, pensent pour nous, nous proposent, nous catégorisent...... pour en foutre plein les poches de leurs géniteurs à eux !
    Triste époque....
    Pour en revenir au film, cela a certes vieilli mais, comme je le signifiais, le sujet est toujours brûlant d'actualité. Le niveau est celui d'une série B de très bonne facture. C'est carré, concis, ça va droit au but et ça ne prend pas son spectateur pour un gogo !
    Pour amateurs de vieux films.....
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 avril 2019
    Ce n'est pas un mystère: chez nous, Jospeh Sargent est exclusivement connu pour être le réalisateur des "Pirates du métro", film qui, près de vingt ans plus tard, sera une source d'inspiration pour Quentin Tarantino. Ce "Cerveau d'acier", quant à lui, est une oeuvre que l'o n pourrait qualifier comme étant en avance sur son temps et, subséquemment, ambitieuse. Puisque reposant sur l'éventualité qu'un jour, la sûreté mondiale soit l'affaire d'un ordinateur aux facultés surpuissantes. Que l'idée était bonne. Au final, on est quand même vachement frustré. Le problème ne vient pas du fait que tout ça a bien vieilli, mais bien du fait que l'idée n'est jamais exploitée. On préfère rester dans la facilité plutôt qu'explorer toutes les possibilités.Comme qualités, on pourra dire que, même si on s'y attendait, que les passages où la machine prend le dessus sur son créateurs sont plutôt bien emmenés. Et que certaines séquences (l'envoi de missiles) rappellent fortement cette fameuse crise des missiles en 1962. Durant laquelle les soviétiques avaient placé leur missiles sur Cuba. Et les Américains avaient placé les leurs en Turquie. Dont on a cru un moment qu'elle allait être l'instigatrice d'un troisième conflit mondial. Et, la ressemblance, bien que lointaine de l'acteur jouant le président des USA avec Kennedy n'aura échappé à personne. Cependant, le film connaît un brusque arrêt lorsque l'idylle est montée de toutes pièces. Certes, ça faisait partie du plan pour tromper l'intelligence de la machine, mais elle dure trop longtemps et coupe l'élan du film. Qui ne se relève jamais de cette coupure. Et, on pourra ajouter que les échanges entre le créateur et sa création sont franchement relous au bout d'un moment. Ça aurait pu être mieux, bien mieux que ça.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2019
    Ce qu’il y a de très intéressant dans Le Cerveau d’Acier, c’est le pont culturel entre l’Amérique et la Russie tendue par la recherche scientifique et étouffée par la politique de leur chef d’Etat respectif. Si les scientifiques communiquent entre eux et s’émerveillent de l’intelligence d’une machine capable de résoudre les équations les plus complexes, les présidents, quant à eux, demeurent obsédés par le contrôle, par la notion de maîtrise, au point de conduire la machine à se retourner contre l’homme. S’ensuit une partie de bataille navale sur fond de menace nucléaire qui conduira à l’hypersurveillance et à l’aveu final – et très pessimiste – d’une mise à mort de la liberté au nom de la démilitarisation. Il y a des longueurs, surtout dans le segment conduisant à la clausule qui tente de tisser une intrigue amoureuse assez maladroite, mais le propos demeure pertinent, passionnant par instants, bénéficie de l’excellente composition musicale de Michel Colombier qui rappelle les créations électroniques de Jerry Goldsmith. En somme, Le Cerveau d’Acier mérite le coup d’œil pour la qualité de sa mise en scène et de ses décors qui vieillissent très bien, surtout pour son propos très sombre sur l’avenir de la technologie dont nous sommes héritiers et précurseurs.
    Redzing
    Redzing

    1 118 abonnés 4 470 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2017
    Les USA décident de confier la gestion de leur arsenal nucléaire à un superordinateur autonome. Jusqu'à ce que celui-ci prenne conscience de son existence, et commence à imposer ses propres règles... Non content d'être sorti bien avant "Terminator" ou "Wargames" qui traitent de thèmes similaires, "Colossus : The Forbin Project" anticipe beaucoup de questions que l'on se pose aujourd'hui sur l'intelligence artificielle et l’hyper-connectivité (évolution exponentielle des IA, auto-prise de conscience, esclavage des hommes par la perte de vie privée...). Le scénario traite ces questions en finesse, tout en y ajoutant un zeste de paranoïa et de pessimisme typique des 70's. En revanche, si le film démarre très bien, avec pas mal de suspens dans sa première moitié, la seconde est un peu plus en berne. Côté réalisation, Joseph Sargent livre un travail sans génie mais très professionnel. "Colossus : The Forbin Project" est donc un film de SF très intéressant, sans doute sorti trop tôt, ce qui l'a rendu injustement oublié.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Un film de S.F de qualité mais qui déroutera ceux qui n'aiment pas le genre (pas d'action, pas d'humour) : une idée sur une évolution possible de la société et ses conséquences. Si les appareillages on vieilli la réflexion sur les implications d'une intelligence artificielle fondée sur la pure logique dans une contexte de guerre froide vaut le coup. Elle pose au spectateur la question de ce qu'est l'humain et de ce qu'il veut vraiment par de là les belles déclarations.

    Le film fait un peu penser "2001 l'odyssée de l'espace" bien sûr et mais surtout à "Wargames" (1983). Ces deux œuvres lui étant complémentaires.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2012
    Une perle de ces films de SF des années 60/70.
    Évidemment, il vaut mieux l'avoir vu dans ces années-là - comme moi - pour mieux l'apprécier. Le cinéma étant devenu ce qu'on sait - un gros "machin commercial" - les films à thèse, sans pléthore d'effets spéciaux, risquent de décevoir ceux qui "en attendent trop". C'est le cas d'autres perles comme "le choc des mondes" ou "planète interdite"... pour ne citer que ceux-là.
    Mis à par ces futurs déçus qui ne sauront pas voir ce film pour ce qu'il est, on est devant un réel bon film d'anticipation, basé sur le thème du "despote éclairé" mixé à la Guerre Froide et au mythe de l"ordinateur - pardon, du calculateur - qui va devenir plus intelligent - et plus sage - que nous. Un critique qui a donné injustement 1 étoile, à oublié de citer "Wargames" dans cette soi-disant galaxie de films sur les super-calculateurs géniaux... en fait, si on regarde bien, il n'y a pas pléthore de films sur ce sujet.
    L'intensité dramatique est vraiment respectée, et si l'ambiance et les décors peuvent paraître aujourd'hui "kitch", force est de constater que la réflexion, elle, est toujours de mise... pour peut qu'on veuille se donner la peine de bien vouloir réfléchir un peu sur l'espèce humaine et sa propension à l'auto-destruction et de ne pas s'arrêter aux films creux avec de beaux effets spéciaux genre Star Wars, le Seigneur des Anneaux ou autre soap-fantasico-spatio-opéras ! :)
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 août 2012
    Adapté d'un roman de Dennis Feltham Jones (publié en 1966), Joseph Sargent (Les pirates du métro - 1974 & Les dents de la mer 4 : La revanche - 1987) en restitue un film d’anticipation, véritable OFNI atypique, entre un scientifique et un ordinateur.
    Colossus est un superordinateur chargé de contrôler l'arsenal nucléaire des États-Unis (afin d'éviter toute erreur humaine), lors de sa mise en fonction, Colossus détecte la présence d'un autre ordinateur basé en U.R.S.S, du nom de Guardian. Il prend alors conscience de lui-même et décide de prendre le contrôle de la planète. Avec une histoire aussi intéressante que celle-ci, il est regrettable de constater que le film à très mal vieillit. Les films mettant en scène des superordinateurs dotés d’une conscience et de la parole sont légion, on pourra notamment citer Hal (2001 : L'Odyssée de l'espace - 1968) & Gerty (Moon - 2009), sauf qu'ici, on s’ennuie ferme, bien que le film ne dure que 90 minutes, les échanges incessant entre le scientifique et Colossus (son nom fait référence au tout premier ordinateur fondé sur le système binaire pendant la Seconde Guerre Mondiale) finissent rapidement par tourner en rond. Voir le Président des Etats-Unis ou des scientifiques échanger avec un ordinateur, ça peut rapidement devenir lassant si il n’y a pas de contenu. A noter tout de même, la participation en tête d’affiche d’Eric Braeden (Les feux de l'amour - 1980/2012). Sans doute pour mieux apprécier ce film aurait-il mieux valut le découvrir dans les années 60 lorsque les technologies (et les ordinateurs) n’en étaient qu’à leurs débuts.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2011
    Un trés bon film de science fiction qui fait froid dans le dos. La suprématie de la machine sur la race humaine est un sujet aussi effroyable qu'intéressant et celui-ci est trés bien exploité dans ce long métrage. Un sentiment de tension est omniprésent quasiment tout le long et seule une fin un peu trop brutale et insastifaisante ternit légèrement le tableau. A noter que le contexte de guerre froide n'entache en rien l'actualité d'un tel thème.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2011
    Difficile de voir ce film aujourd'hui tant il est daté et encré dans une époque,il n’empêche que l'idée de cette machine hors de contrôle,reste intéressante mais le film n'est pas excellent.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top