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stallonefan62
285 abonnés
2 550 critiques
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0,5
Publiée le 8 août 2016
D'une nullité affligeante !! on voit pas où on veut nous emmener !! Les dialogues sont d'une vulgarité gratuite !! C'est surjoué , bref c'est pas bon ....
Des acteurs plutôt bons et des plans assez intéressant mais le rythme reste faible et est très très calme, on s'ennuie vite. Cependant les punchlines restent toujours aussi puissante même tant d'années après.
Très belle histoire qui raconte l'histoire de trois racailles de cité, chacune avec ces défauts et qualité. Un trio qui marche très bien, quelques moments humoristiques, c'est bien sympa! on a une vision très réel des banlieues parisiennes d'il y'a quelques années, c'est pas mal du tout. La fin est surprenante, on s'attend vraiment à ce que le personnage principal fasse ce qu'il a promis alors qu'au final il cède et abandonne, mais! Ce qui est vraiment surprenant c'est le fait que le mec qui depuis le début trouve que l'idée de "Vinz" est totalement absurde, le fasse a sa place, enfaite la fin est assez psychologique, il faut ce mettre à la place du personnage pour comprendre et c'est franchement bien joué tout comme le fait que le film est en noir & blanc pour montrer l'envergure et la haine de la banlieue en général durant tout le film ! À voir !
La Haine est la preuve en images de la critique social de notre société actuelle. Reprenant une journée quotidienne de petites racailles de banlieue heure par heure, ce film à su faire connaitre au grand jour le talent de Vincent Cassel qui est remarquable dans son rôle de Vinz. Ce film à su rester dans les mémoires pour plusieurs raison, celle de l'originalité d'avoir voulu réaliser le tout en noir et blanc et les dialogues qui sont savoureux au plus haut point. Ce film dénonce pas mal de points sombres autant dans les cités que dans les commissariats de police. Le final m'a laissé sur le cul, vraiment un bon suspens jusqu'au plan final.
Jusqu'ici tout va bien... C'est l'histoire d'une soiciété qui tombe en morceaux et qui se répète sans cesse jusqu'ici tout va bien ... jusqu'à l'atterrissage. Mathieu Kassovitz nous offre un chef d'oeuvre du cinéma Français, qui suit trois banlieusards paumés et vadrouilleurs, sans aucun espoird d'avenir. La haine est l'un de ces rares films de chez nous qui efface le clivage bon flic / méchants banlieusards. Le scénario est parfaitement filmé, les acteurs immenses, dont la découverte Vincent Cassel. La Haine est tourné façon documentaire, sans aucune musique. Le noir et blanc vient renforcer l'ambiance polard.Quand au cliffhanger final, il fait réfléchir sur bien des choses, qui sont encore d'actualités.
Film sur la vie de jeunes de banlieue, sujet compliqué à aborder tant ce milieu est peu connu pour ceux qui n'y vivent pas !
Il y a du cliché oui, comme tout film traitant sur ce sujet ! Je vous rassure, non ça ne se passe pas toujours de cette manière dans les cités. Il y a un part de vrai cependant.
Mais parlons de ce film, les acteurs sont bien dans leur rôle, et montre de l'envie dans leur jeu d'acteur : Cassel est tout simplement culte dans ce rôle tellement il incarne son personnage de haine. Il y a de l'humour, de la haine, de l'amitié, de la violence.
C'est un film marquant avec son noir et blanc, qui est et restera culte pour son sujet traité et pour la performance des acteurs (tous très bons au passage) et par le réalisme de la mise en scène. Et en plus, Kassovitz réussit parfaitement sa chute avec cette scène finale pesante..
Ce film est tout simplement grand dans son genre.
"L'important ce n'est pas la chute mais l'atterrissage" une phrase marquante qui a plusieurs sens selon moi.. Un premier sens tout au long du film et puis un seconde sens avec Kassovitz qui nous fait comprendre que l'important ce n'est pas de savoir qui meurt à la fin (ce qui représente la chute), car dans tous les cas il y a de la violence et de la mortalité (ce qui représente l’atterrissage, et ce qui est malheureusement important dans le cas présent).
Mathieu kassovitz signe ici son meilleur film et le meilleur film français de tout les temps.La haine est un film qui a fait beaucoup parler de lui car en parlant d un sujet sensible "la cité".A travers trois jeunes de trois différente origines et porte par ses acteur excellent qui nous montre les premier grand pas du grand Vincent Cassel.Vinz lui veut venger un mec de la cité blessé et finalement tué pendant les émeutes,Hubert qui tente de lui faire comprendre que c est une bêtise et said qui tient un peu la chandelle.Pendant une journée on suit ses trois attachant personnage pour arrivé à la fin culte du filmer surtout sa réplique"C est l histoire d une société qui tombe et qui au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassuré .Jusqu ici tout va bien x3 mais l important c est pas la chute c est l aterrissage"Cette chute est vraiment une bombe rien pour sa ce film doit être vu.De plus sa nous pensée ce qu on veut sur qui Meurt.A cette fin magistral Mathieu kassovitz conclut son chef d œuvre avec brio.La haine est un peu dans le même style qu un américain history x .Un chef d œuvre, un classique à voir absolument.5/5
Mathieu kassovitz réalise un long métrage improssionnant doté d'une très bonne mise en scène qui correspond parfaitement au film que ce soit quand les jeunes sont dans les banlieues ou dans Paris et les acteurs joues tous à la perfection que ce soit pour Vincent Cassel et qui avait déjà quelques idées des cités et le traitement des personnages est très bien foutus et les music sont devenus culte et plusieurs extrait et la relation entre la benlieu est très bien travaillé. Le film qui dévoila Vincent Cassel
Ceux qui n'ont jamais mit les pieds dans une banlieue croient ce film réaliste. Ou cela doit faire bien qu'un festival de nantis et d'intellos comme celui de Cannes encense un tel film. En définitif ça cabotine à mort, c'est caricatural au possible, manichéen, partial et cliché. Scénario aussi plus que limite, aucun fil rouge à part la thématique de la loi du talion amenée comme un cheveux dans la soupe et sans aucune subtilité ni nuance Débarrassé de toute considération esthétique rien que dans le jeu d'acteur je ne comprend pas comment on ose nier le fait que ce ne soit pas une grosse caricature bien grasse ce film....Et je ne parle pas de situations sans liant, des dialogues.... Seul la réalisation est à retenir, le fond...
Simplement magistral! Le montage fait au début est excellent pour poser l'ambiance du film, le noir et blanc amène également une certaine ambiance. De manière manichéenne on sait que le blanc représente le bon à l'inverse du noir qui représente le mauvais, d'où la haine. Mais la haine de qui la haine de quoi? Du jeune de banlieue révolutionnaire? Ou du flic qui enchaîne les bavures? A vous d'en juger, de vous laisser faire la part des choses... Kassovitz à, je pense, fait exprès de ne pas vouloir influencé l'opinion des personnes, il expose simplement des faits. Certains crient ici à la caricature, à la représentation manichéenne! Sauf que le film est basé sur des fait se déroulant de la fin des années 80 jusqu'au milieu des années 90, et sans jeté la pierre à personne il y a eu des bavures et des émeutes dans les banlieues française à cette époque. Le film ne peut plus vraiment être retranscrit aujourd'hui comme la dit récemment Kassovitz, alors pour apprécier le film, voyer comme un documentaire. Ce film n'est pas la pour stigmatiser les forces de l'ordre ou les banlieusards... Mais pour faire un constat amer. Antonin GUILLON
Malgré des défauts évidents, on se laisse porter par les divagations des ces 3 jeunes de cité avec attention, dans un contexte on ne peut plus crédible. J'ai aimé le contraste entre l'esthétisme de la photographie, et la vie des personnages. Une scene: la scène finale
Un film dur , portrait de son époque. Le film retrace le périple de trois jeunes de banlieues perdus dans une société dure et injuste. Kassovitz , caméra au poing , confère un certain esthétisme à ce portrait social filmé en noir et blanc et doté d'une photographie soignée. Le film mené par l'excellent Vincent Cassel est puissant, désormais culte grâce au message qu'il délivre et par la force de jugement avec laquelle il dénonce la société française ou personne n'est blanc. Défi remporté par Kassovitz !
Quel délice ce film...Rien ne pouvait être plus vrai que l'interprétation des acteurs, tout est à sa place. Le tempo Urgence de vivre et peur de mourir nous met en haleine jusqu'à la fin. Son noir blanc ne laisse aucune place aux rêves mais à une réalité bien réelle...Ne jamais passer à côté de ce film ! Le meilleur de Kassovitz avec "Assassins".
Film rendu culte par la masse populaire, scénario plat, insultes à gogo, stéréotypes sur les "banlieusards" tout est réunis pour creusé encore plus le fossé entre les gens. Dommage il y avais un message à faire passer, mais de mon point de vue c'est totalement foiré!!
A l'époque, je fus scotché par la haine. Violent, drôle, irrévérencieux à souhait; dans ma campagne, ce film me montrait les banlieues, leurs langages, leurs codes, leurs musiques. Bref la haine fut un choc, voir même un de mes premiers coups de coeur cinématographique. Maintenant, je revois la haine avec le même sourire concernant les dialogues pétillants de ces banlieusards qui s'ennuient et se chamaillent. Mais le projet authentique et rebelle que je voyais à l'époque s'est transformé en un produit de cinéma bien dans les normes. Par exemple, le nombre de seconds roles et apparitions d'acteurs connu. Le clochard fut depuis toujours un certain Vincent Lindon et le flic tortionnaire est un acteur très connu ( désolé j'ai oublié le nom ). Mais la réalisation fourmille d'idées. La vache, le rêve de Vinz, le monologue des wc et j'en passe. Mathieu Kassovitz réalise un grand film par ses idées , défendant les banlieues , en n'hésitant pas à montrer les mauvais cotés, et signe en meme temps une comédie chaleureuse sur la camaraderie.
Objectivement, un film à voir car il n'a pas son pareil dans le paysage cinématographique francais.