Mon compte
    L'Homme qui sauva le monde - Episode I
    Note moyenne
    2,6
    195 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme qui sauva le monde - Episode I ?

    55 critiques spectateurs

    5
    34 critiques
    4
    5 critiques
    3
    3 critiques
    2
    0 critique
    1
    4 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Audrey L
    Audrey L

    633 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juillet 2024
    Si vous n'êtes pas bourré comme un coing et/ou à la soirée Nanarland (les deux propositions ne sont pas incompatibles, ndlr), L'Homme qui sauva le monde (Turkish Star Wars) risque fort de vous ennuyer. Si vous arrivez à dépasser l'interminable présentation en ouverture de la voix-off qui déblatère pendant des plombes sur des concepts de SF qu'on ne verra finalement jamais (n'attendez pas de sabre laser, ou de vaisseaux spatiaux, en-dehors des images d'archives et du cockpit résumé à un fauteuil), dont le visuel de cette intro est encore plus corrosif pour notre patience : des extraits de Star Wars (le vrai) mis à la suite sans aucune logique, en boucle. Cette ouverture est déjà (très) fatigante, et la suite n'est guère mieux. On a deux gros machos à moustache et chemise ouverte qui craignent une planète peuplée de femmes (donc "bombe le torse, ça va les faire taire."), mais tombent plutôt sur une horde de gens déguisés avec des accessoires de chez La Foir'Fouille, et ça se tape, on ne sait pas trop pourquoi, puis il y a des scènes d'un grand manitou déguisé lui-même en porte-aiguilles (c'est censé être le Dark Vador de l'histoire) qui entrecoupe les combats, il y a des bruitages de cartoon ("chtoing" dès qu'un gars saute), il y a des cris de dinosaures, il y a le thème d'Indiana Jones en boucle, une grosse partie du film qui verse dans la guerre de religion (musulmans contre chrétiens), la scène de la Cantina (avec la petite mélodie qui va bien) qui est juste une longue baston en "un contre un" avec tous les mecs "La Foir'Fouille" qui sont déjà passés vingt fois à l'écran... L'Homme qui sauva le monde est réservé à un public de niche, et nous a plus que barbé, lui reconnaissant son statut de "nanar pur jus" (on ne peut pas décrire mieux le concept de nanar qu'en le regardant cinq minutes) mais incroyablement long, bavard dans son ouverture (un enfer), bordélique et répétitif dans le reste (de la baston en boucle avec la musique d'Indiana Jones), et assez porté sur les vols d'autres films (on enlève : le film dure trente minutes, et ce n'est que de la baston). Un film qui nécessite trois grammes dans le sang pour qu'on puisse l'apprécier.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Malgré les avertissements, j'étais loin d'être préparé à l'atrocité de « Turkish Star Wars », une fusion catastrophique de science-fiction et de comédie d'action. Avec son histoire incohérente, des performances douloureuses des acteurs et des costumes grotesques, ce film est un véritable supplice à regarder. Les scènes de combat sont maladroites, et l'utilisation flagrante de séquences et musiques d'autres films ne fait que souligner son caractère de farce cinématographique. Conçu plus pour choquer par son manque de qualité que pour divertir, ce film représente le nadir du cinéma, à un tel point que tout autre film semble supérieur en comparaison. Même pour un amateur nanars et de mauvais films, « Turkish Star Wars » reste une épreuve pénible, véritablement un des pires films que j'ai jamais vu. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    17 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Certainement le plus grand nanar de tous les temps mais aussi un moment purement jouissif devant ce spectacle aussi improbable qu’hilarant. Dès les premières minutes, on sait que cette heure trente sera culte avec une séquence introductive qui tente de nous expliquer un semblant d’histoire bancale au possible, le tout parsemer de plans issus des vrais épisodes de Star Wars. Sauf que les moyens ne sont pas les mêmes et faire un film de science-fiction sans moyen ni créativité ben c’est compliqué… De ce fait, le déluge de bidouillages et de scènes mythiques commence : simulation de pilotage de vaisseau devant une projection sur toile, héros qui font des bonds de 10 mètres et cassent des rochers à main nue, combats face à des peluches géantes ou des momies en papier toilettes, un dark vador version turc magistral, des chorégraphies de combats à base de bonds et de rebonds, une réalisation à l’épaule qui fait sortir certains acteurs du cadre, un montage épileptique, des faux raccords à foison (le cheval ???), une bande son mono-piste coupée par des effets sonores, les vaisseaux star wars incrustés au film sur la musique d’Indiana Jones… Bref, un pur régal qui nous permet aussi de découvrir le Alain Delon turc, Cuneyt Arkin, un acteur au charisme totalement absent mais qui fait super bien du trampoline !
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 mars 2016
    Le méga-nanar qui ferait passer "plan 8 from outer space" pour un chef d'oeuvre du 7eme art. Pensez à un délire filmique d'amateurs qui s'emmerdent le week-end du type "les bitoman", hé bien vous êtes encore très loin du compte, Turkish Star Wars repousse encore bien plus loin les limites de l'anti-professionnalisme et du foutage de gueule, il faut l'avoir vu une fois pour la culture, ces choses existent ! Ils ont du bien se fendre la gueule à tourner cette blague.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2016
    La Turquie est un pays réputé pour ses plagiats fauchés de films hollywoodiens (allant de E.T. à L'Exorciste). Le plus connu est bien évidemment l'ersatz de la saga spatiale de George Lucas, L'Homme qui sauva le monde, qui semble finalement plus s'inspirer de Star Wars Holiday Special que de l'épisode IV. Une chose est sûre, le film n'essaye pas de nous tromper sur la marchandise, puisqu'au bout de cinq minutes c'est déjà le foutoir le plus complet. La séquence introductive proprement indigeste tente tant bien que mal d'exposer un scénario totalement abscons tout en réutilisant continuellement une poignée de plans issus de la bataille finale d'Un Nouvel Espoir. On décroche bien vite de ce flot d'informations inutiles, ce qui permet de se concentrer sur les acteurs jouant les pilotes. Placés devant une toile sur laquelle est projetée des images de vaisseau, ils miment le mouvement de leur vaisseau, faisant eux-même les esquives de lasers ainsi que les plongées, comme les enfants imitant des avions dans la cour de récréation. Cela permet d'avoir un petit aperçu des capacités de jeu de Cuneyt Arkin, apparemment réputé comme étant le Alain Delon turc (même si ses expressions grimaçantes me rappellent plutôt Jacquouille la Fripouille). L'acteur, manifestement impliqué, nous fait part d'intenses regards bovins remettant en cause le travail de Koulechov et agrémente ses exploits physiques de petits cris étouffés, censés dynamiser les combats. En réalité, ils n'en n'ont pas besoin puisqu'ils sont déjà rendus fascinants par un montage épileptique (au propre comme au figuré) et des accélérés aussi soudain que ridicules. De plus, Cuneyt Arkin fait appel à son passé de champion du monde de saut trampoline pour multiplier les cabrioles aériennes, si nombreuses que les séquences d'action en deviennent interminables (mais genre vraiment, c'était un supplice vers la fin). Heureusement, après avoir démembré une armée de peluches/momies en papier toilette/figurants avec un masque de fête foraine, le héros peut retrouver sa greluche, une blonde au sourire aussi crispé que le visage de Donald Trump. Turkish Star Wars est donc un ratage complet, pour le plus grand plaisir des fans de nanars. Ce festival du n'importe quoi ne reprend que quelques éléments de l’œuvre originale et ajoute des séquences complètement hors-propos, notamment un tout un passage ahurissant sur l'Islam. Le résultat n'est qu'une suite d'événements sans queue ni tête. Et quand je vois que les héros sont à la recherche d'un cerveau, je ne peux pas m'empêcher d'avoir une petite pensée pour le scénariste, qui voulait juste déverser un peu de lui-même dans ses personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    Un pur nanar dans les règle de l'art! Des décors en carton, les musique d'Indiana Jones, tout ce qui manquait au star wars original!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 septembre 2014
    S'il devait en avoir qu'un seul, alors ce serait celui-ci. Considéré à raison comme le plus fantastique de tous les nanars jamais produits, ce film est une référence incontournable du cinéma qu'il faut avoir vu une fois dans sa vie!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 novembre 2013
    J'ai appris à dire "Humains" en turque. (c'était la petite chose utile du film)
    Je … ce film est … "L'homme qui sauva …" … je crois qu'on pourrait le résumer par un "POURQUOI" ou par un grand point d'interrogation, alors évidemment, en notation nanar, je pense que ce film mérite l'oscar du meilleur réalisateur, meilleur bande-son, meilleur acteur dans une comédie dramatique, meilleur second rôle, meilleur actrice, meilleur film et tout le tsoin-tsoin, mais je ne peux pas mettre 10 alors que j'ai mis un 10 à "Le Bon, la Brute et le Truand", non ! Et puis j'ai pris mon pied à regarder le film de Sergio, tandis qu'en visionnant "Turkish Star Wars", j'avais plutôt une nauséeuse impression que l'on m'a forcé à vomir une tchoutchouka par tous mes orifices faciaux que l'on m'a préalablement forcé à ingurgiter par un endroit que la morale réprouve.

    Outre que ce soit un immense plagiat bien sale d'un peu plein de films (je n'en n'ai reconnu que trois, aidez moi !) aussi dégueulasse que les plagiats "Youtube" fait par des décérébrés d'adolescents qui prennent d'autres vidéos avec des logiciels à la con du genre "Camstudio", on a à faire ici à un mélange entre Star Wars et Indiana Jones, et en prime une belle balade en cheval avec des lances, je vois pas pourquoi on s'emmerde encore avec les "Seigneur des anneaux" après ça" car il devient tellement sans goût après le visionnage de ce film … d'ailleurs tout devient plus ou moins fade après l'avoir vu. C'est le seul film qui m'a donné l'illusion d'entendre pendant 1h30 la recette sacrée du Lokum qui me ferait voyager dans un monde parallèle où le héro serait un Olivier de Kersauson crado turquanisé, où il aimerait son meilleur ami au point de se foutre de la jouli blonde, où son charisme serait tel que je n'eusse jamais ressenti autant d'émotion dans la voix et le jeu de cet acteur. Et dans ce voyage intergalactique, je prie pour que la musique soit tellement hach(i)é menu que mes oreilles en fondent.

    Cher ami, je te dévoile mon journal intime, jour après jour, pas de secret entre nous pour un tel film, car je dois te l'admettre mon amour, je n'ai pas pu le regarder d'un trait en étant totalement sobre :

    JOUR 1 : Je vois Star Wars, j'entends Indiana Jones, je ressens le machisme local, un combat incroyable, je le vois casser un rocher à coup de poing, je me dis qu'il ne pourra rien faire de pire quand il s'attache deux énormes caillasses aux mollets et je me dis "oh merde, cet enfoiré est en train de faire des bons de trois mètres avec. Bordel.

    JOUR 2 : J'ai regardé le lendemain la scène du combat avec le … ce … cette chose … Bordel !

    JOUR 3 : Suis-je en train de regarder un reportage sur l'Islam ? Bordeeeel.

    JOUR 4 : Maintenant, il se bat contre des moines Shaolins qui portent des écumoires sur le crâne : BORDEL !

    JOUR 5 : Il castagne son ami qui se transforme en … ? : BORDEL ! Les décors changent toutes les secondes, BORDEL !

    JOUR 6 : Le gentil se transforme en méchant, ce fut un leurre, la caméra filme le ciel, le méchant disparaît dans un nuage de fumée rougeâtre; le gars meurt et le héro n'en n'a rien à faire, épée en bois + cerveau + eau portée à ébullition + une pincée de sel e une cuiller à café de safran = gant en or aux supers pouvoirs … BORDEEEL !

    JOUR 7 : spoiler: Le héro fracasse des peluches, des squelettes, entre temps nouveau plagiat inexplicable et inexpliqué de Star Wars, il décapite des dindons géants, puis des momies explosives, puis un aspirateur à pied, pis des manifestants masqués, puis des chevaliers du futur, le méchant transforme sa lance en assiette en carton qui explosent et sous des bruitages de NES, le combat ultime a lieu alors le méchant se fait couper en deux dans le sens de la longueur, puis ça explose, et les gens disent "Au revoir homme de la Terre", ce qui est en soit un phrase complètement conne car l'homme vient forcément de la Terre.


    Après ça, certaines questions restent en suspend comme la femme verte qui apparaît, la femme qui saute du haut d'un caillou, la femme qui se transforme en araignée et la plupart des plans qui sont répétés 3 fois. Pourquoi, pourquoi, pourquoi … Après cette indigestion infâme allongée sur plusieurs jours, je n'ai jusqu'un seul conseil à donner à tout ceux qui veulent faire disparaître un corps : quand on enterre un être humain de taille normal, il faudrait veiller à mettre un peu plus qu'une pèle de terre.

    Bon Film :)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mai 2013
    Ca y est! Mon âme de nanardeur amateur a enfin vu ce monument du cinéma turc, ce nanar intergalactique, et il dépasse toutes mes attentes les plus folles! La grande interrogation qui vient à mes neurones laissés intacts par cette violente attaque cérébrale est POURQUOI?
    spoiler: Pourquoi avoir dans la séquence d'introduction avoir passé plus de cinq fois le même plan, et tous les plans piqués à Star Wars? Pourquoi la Terre envoie "ses deux meilleurs pilotes turcs" pour contrer une attaque extraterrestre? Pourquoi le réalisateur n'a-t-il pas vu que ses arrière plans changeaient dans les batailles spatiales? Pourquoi la civilisation Egyptienne avait "sans doute découvert l'arme nucléaire"? Pourquoi avoir choisi une actrice ne sachant faire tout au plus que deux expressions (sourire content/mode normal)? Pourquoi avoir monté ce film avec une tronçonneuse au point de rendre les combats épileptiques? Pourquoi avoir gratté la pellicule (ou autre procédé étrange) pour faire croire à des rayons laser? Pourquoi ce plagiat de la musique d'Indiana Jones? Pourquoi la musique doit elle systématiquement se couper lors des explosions? Pourquoi ne pas avoir pris la peine de bien raccorder les combats, de telle sorte que les adversaires se téléportent? Pourquoi les rochers explosent ils systématiquement, sans raison apparente? Pourquoi cette épée en carton? Et encore, j'en suis qu'à la moitié du film ici, mais je cesse les interrogations, je n'arriverai jamais à faire le tour.

    Visiblement, ce Turkish Star Wars est vraiment une référence en matière de nanars, à voir absolument. Sur ce, je vais essayer de trouver un Plan 9 from outer Space ou alors White Fire/Le Diamant/Vivre pour survivre, ma culture nanardesque ne demande qu'à s'enrichir. Pas trop violement quand même, je dois avouer que cette première experience fut violente (mais non moins marrante).
    Dark Taylor
    Dark Taylor

    46 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mai 2013
    Alors ce film, que dire... j'en demanderais bien encore!! Effets spéciaux miteux, qualité visuelle pathétique (notamment les stock-shots piqués à Star Wars, mais LOLEEEU!!), les costumes pitoyables (notamment les méchants serviteurs du vilain empereur, avec mention spéciale à la coiffe de ce dernier, et la palme d'or aux momies en papiers toilettes), les acteurs vraiment... convaincants (surtout Cuynet Arkin et ses prises de karaté, ses mimiques, ses cris et tout et tout: le Bruce Lee Turque quoi), les violations du copyright (du genre Idianna Jones à l'assaut des troupes du maléfique Empire, mais encore LOLEEEU!!)
    La liste est fort longue et un amateur de nanars ne peut guère porter ce titre s'il n'a pas vu ce monument du cinéma, de Turquie et d'au delà.
    Avec des trucs pareils, je suis sûr que même Georges Lucas a dû pardonner aux turcs s'il a visionné le monstre en question. La palme revenant d'ailleurs à Cuynet Arkin pour sa meilleur prestations dans ces fameuses turkisheries.
    Enfin bref, un nanar culte, à regarder un soir entre potes amateurs, ou bien seul après une journée de travail particulièrement éprouvante, ce qui vous requinquera comme pas possible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 avril 2013
    Cette contribution turque à l'art cinématographique est tellement gigantesque que l'on pardonnerait aux Ottomans d'avoir perpétré le génocide arménien. Elle mériterait aussi une intégration immédiate de la Turquie dans l'Union européenne sans la moindre négociation préalable. Franchement, il y aurait beaucoup d'avantages à avoir les Turcs à ses côtés au sein de l'Europe des vingt-sept. T'imagines un peu si tous les habitants de ce pays sont capables de donner de violents coups de poings sur des rochers sans broncher, de jouer avec de grands morceaux de pierre comme avec un vulgaire ballon de plage et de se déplacer en faisant des bonds de dix mètres de haut ?
    Le Vieux Continent s'en trouverait renforcé.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 décembre 2012
    difficile de noter ce film : 5 étoiles parce que plus grande merde de tout les temps (?), 0.5 parce que c'est la plus grande merde de tout les temps (?). D'ailleurs désolé mais Turkish Starwars se fait laminer par "Camping 2" qui rafle tout les awards !
    Pour résumé : image dégueulasse, méchants en carton, musique pillée sur Indiana Jones, pierres en polystyrène, fonds bleus pillés sur Star Wars, supers sauts avec trampoline... En fait à regarder ce film on s'ennuie rapidement mais la nullité nous tient éveillée... 1.5 étoiles, à voir uniquement par curiosité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Turkish Star Wars est le meilleur nanar existant à ce jour, à voir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mai 2012
    Alors là, autant le dire tout de suite, c'est du hard. LE nanar par excellence, le genre même de film pourri sur tous les tableaux, il n'y a pas un élément dans ce film qui ne soit pas foireux, et rarement le manque de moyens ne se sera autant vu à l'écran, mais c'est tellement fendard qu'on en redemande, et on n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer. Cüneyt, on t'adore !
    Jean Desanlis
    Jean Desanlis

    13 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2012
    Tout simplement le plus grand nanar de tous les temps ! Comme dirai Cartman, j'ai pété mon gène du rire ! A voir entre potes, autour d'une pizza !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top