difficile de noter ce film : 5 étoiles parce que plus grande merde de tout les temps (?), 0.5 parce que c'est la plus grande merde de tout les temps (?). D'ailleurs désolé mais Turkish Starwars se fait laminer par "Camping 2" qui rafle tout les awards ! Pour résumé : image dégueulasse, méchants en carton, musique pillée sur Indiana Jones, pierres en polystyrène, fonds bleus pillés sur Star Wars, supers sauts avec trampoline... En fait à regarder ce film on s'ennuie rapidement mais la nullité nous tient éveillée... 1.5 étoiles, à voir uniquement par curiosité.
Si vous n'êtes pas bourré comme un coing et/ou à la soirée Nanarland (les deux propositions ne sont pas incompatibles, ndlr), L'Homme qui sauva le monde (Turkish Star Wars) risque fort de vous ennuyer. Si vous arrivez à dépasser l'interminable présentation en ouverture de la voix-off qui déblatère pendant des plombes sur des concepts de SF qu'on ne verra finalement jamais (n'attendez pas de sabre laser, ou de vaisseaux spatiaux, en-dehors des images d'archives et du cockpit résumé à un fauteuil), dont le visuel de cette intro est encore plus corrosif pour notre patience : des extraits de Star Wars (le vrai) mis à la suite sans aucune logique, en boucle. Cette ouverture est déjà (très) fatigante, et la suite n'est guère mieux. On a deux gros machos à moustache et chemise ouverte qui craignent une planète peuplée de femmes (donc "bombe le torse, ça va les faire taire."), mais tombent plutôt sur une horde de gens déguisés avec des accessoires de chez La Foir'Fouille, et ça se tape, on ne sait pas trop pourquoi, puis il y a des scènes d'un grand manitou déguisé lui-même en porte-aiguilles (c'est censé être le Dark Vador de l'histoire) qui entrecoupe les combats, il y a des bruitages de cartoon ("chtoing" dès qu'un gars saute), il y a des cris de dinosaures, il y a le thème d'Indiana Jones en boucle, une grosse partie du film qui verse dans la guerre de religion (musulmans contre chrétiens), la scène de la Cantina (avec la petite mélodie qui va bien) qui est juste une longue baston en "un contre un" avec tous les mecs "La Foir'Fouille" qui sont déjà passés vingt fois à l'écran... L'Homme qui sauva le monde est réservé à un public de niche, et nous a plus que barbé, lui reconnaissant son statut de "nanar pur jus" (on ne peut pas décrire mieux le concept de nanar qu'en le regardant cinq minutes) mais incroyablement long, bavard dans son ouverture (un enfer), bordélique et répétitif dans le reste (de la baston en boucle avec la musique d'Indiana Jones), et assez porté sur les vols d'autres films (on enlève : le film dure trente minutes, et ce n'est que de la baston). Un film qui nécessite trois grammes dans le sang pour qu'on puisse l'apprécier.
Le plus grand nanar de tous les temps, également appelé Turkish Star Wars. Effets horribles, montage et qualité d'image pathétique ( les stock-shots du début ), jeu d'acteurs risibles, histoire invraisemblable . . . Le film dépasse même ceux d'Ed Wood. Il faut remercier la Turquie pour nous avoir livré le nanard suprême.
J'ai quand même rarement vu aussi nul. Le néant artistique total! Mon incompréhension aussi été totale devant ce "film". Pour la première fois de ma vie j'ai du mal à appeler un film un film car là en l'occurence c'en est même pas un, c'est une succession de scènes incohérentes, avec en prime d'incroyable plagiats et des séquences épiques de nanardises. Ce bon Cuneyt Arkin qui fait des sauts de trampoline qui servent à rien sous fond de musique d'Indy, ces pilotes du dimanche installés devant des stock-shots de Star Wars, ces séquences romantico-nanardes toujours sous fond de musique d'Indy... Et j'en passe, et j'en passe. Sans compter ce montage incohérent qui nous montre un monstre en plein milieu d'une scène sans que ça ait de rapport avec la suite directe de l'histoire... C'est difficile de parler de ce "film" (Désolé vraiment, j'y arrive pas!), à vrai dire j'ai même pas ri énormément. J'étais plus là à me tenir la tête en me disant "C'est pas vrai, ils l'ont fait! Ils l'ont fait!". Je suis peut-être méchant avec ce film qui pourrait presque passer pour un film expérimental tant on voit des choses nouvelles, que l'on n'osait soupçonner, c'est quand même quelque chose de magique. Mais non, non et non, ce film reste objectivement le pire que j'ai vu. Rien que d'y penser j'en frissonne, brrrrh. Deux semaines que je l'ai vu et j'en suis encore traumatisé, j'ai bien du perdre la moitié de mes neurones devant ce machin. A éviter de montrer à des enfants à tout prix!
on ne peut pas avoir un conversation sur les nanars sans evoquer ce monument du genre : l homme qui sauva le monde , une catastrophe en TOUT point , a ceux qui cherche un bon film minable mais drole a regarder , et bien c cette chose est faite pour vous ! c est pour nanarland "le saint graal nanarifique" et franchement c est peut dire , turkish star wars est tout simplement un des pires films au monde ...
Ultraculte, ce film l'est sans aucun doute. Il est surtout le moyen de se convaincre que rien n'est automatique dans la réalisation d'un film, qui, sans argent ni talent, atteint des profondeurs de nullité incommensurables. A vrai dire j'ignore si ce film est une parodie ou pas, je ne connais pas les rumeurs à son sujet. En tout cas, avec sa resucée sans vergogne des bandes sons de Star Wars et Indiana Jones (pour faire original et connaisseur!), l'amateurisme semble de rigueur. Alors, Turkish star wars, drôle? Il faut avouer que certains passages sont à hurler de rire (l'entraînement, le réveil des momies, le must restant le mec qui siffle et les gars en combinaison de squelette qui rappliquent!), les dialogues dépassant l'imagination dans la nullité, quand à l'interprétation...XD J'ai tout de même vu le film en trois fois, bien incapable de tout voir d'un coup. Indispensable pour la culture nanard.
Y'a pas à dire, le nanar c'est tout un art! La plupart des dialogues n'ont aucun sens, les méchants sont des catholiques déguisés en peluches sorties des moins bon power rangers et l'histoire d'amour est à tomber par terre (les œillades de Cuneyt Arkin sont faites à la façon "feux de l'amour"). J'ai du mal à croire qu'on puisse réaliser un film pareil sans se rendre compte que le résultat sera ridicule. En somme, ce film vous réserve de bonnes tranches de rigolade!
Attention, film culte absolu! Un grand moment de folie totale, monté à la hache par un epiléptique amphétaminé jusqu'aux os, rempli de monstres tout pourris à faire passer "Spectroman" pour un gros budget, assorti de dialogues pseudo-métaphysiques parmi les plus affligeants et droles qui soient, "Turkish Star Wars" possédent tout les éléments du nanar absolu et en quantité quasi-infinie. A tel point qu'il en devient un chef d'oeuvre. A ne pas rater, la scène d'entrainement avec les rochers en polystyrène accroché aux pieds.
La Turquie est un pays réputé pour ses plagiats fauchés de films hollywoodiens (allant de E.T. à L'Exorciste). Le plus connu est bien évidemment l'ersatz de la saga spatiale de George Lucas, L'Homme qui sauva le monde, qui semble finalement plus s'inspirer de Star Wars Holiday Special que de l'épisode IV. Une chose est sûre, le film n'essaye pas de nous tromper sur la marchandise, puisqu'au bout de cinq minutes c'est déjà le foutoir le plus complet. La séquence introductive proprement indigeste tente tant bien que mal d'exposer un scénario totalement abscons tout en réutilisant continuellement une poignée de plans issus de la bataille finale d'Un Nouvel Espoir. On décroche bien vite de ce flot d'informations inutiles, ce qui permet de se concentrer sur les acteurs jouant les pilotes. Placés devant une toile sur laquelle est projetée des images de vaisseau, ils miment le mouvement de leur vaisseau, faisant eux-même les esquives de lasers ainsi que les plongées, comme les enfants imitant des avions dans la cour de récréation. Cela permet d'avoir un petit aperçu des capacités de jeu de Cuneyt Arkin, apparemment réputé comme étant le Alain Delon turc (même si ses expressions grimaçantes me rappellent plutôt Jacquouille la Fripouille). L'acteur, manifestement impliqué, nous fait part d'intenses regards bovins remettant en cause le travail de Koulechov et agrémente ses exploits physiques de petits cris étouffés, censés dynamiser les combats. En réalité, ils n'en n'ont pas besoin puisqu'ils sont déjà rendus fascinants par un montage épileptique (au propre comme au figuré) et des accélérés aussi soudain que ridicules. De plus, Cuneyt Arkin fait appel à son passé de champion du monde de saut trampoline pour multiplier les cabrioles aériennes, si nombreuses que les séquences d'action en deviennent interminables (mais genre vraiment, c'était un supplice vers la fin). Heureusement, après avoir démembré une armée de peluches/momies en papier toilette/figurants avec un masque de fête foraine, le héros peut retrouver sa greluche, une blonde au sourire aussi crispé que le visage de Donald Trump. Turkish Star Wars est donc un ratage complet, pour le plus grand plaisir des fans de nanars. Ce festival du n'importe quoi ne reprend que quelques éléments de l’œuvre originale et ajoute des séquences complètement hors-propos, notamment un tout un passage ahurissant sur l'Islam. Le résultat n'est qu'une suite d'événements sans queue ni tête. Et quand je vois que les héros sont à la recherche d'un cerveau, je ne peux pas m'empêcher d'avoir une petite pensée pour le scénariste, qui voulait juste déverser un peu de lui-même dans ses personnages.
Ah, enfin un film à la ahuteur de mes espérences. Car il faut bien le dire, Star wars avait plus un parfum de série B purement commerciale qu'un qtatut culte qu'une petite poignée de fans dans le monde tente de lui donner. Et c'est là qu'est le génie ! Turkish Star Wars a eu l'excellente idée de racheter tous ces plans ratés pour pondre un des chefs d'oeuvres de son cinéma. Une histoire ambitieuse à tous les points de vues (tellement ambitieuse d'ailleurs qu'il faut 10 minutes de voix off en début de film pour planter le contexte sur des images illustrant d'autres contextes en même temps, histoire de densifier les informations pour le spectateur). Le film joue aussi un concept malin : celui de brouiller les repères du spectateur. Cela passe par la téléportation massive des différents personnages (qui changent constament de vaisseaux pendant le pilotage), et par un surmontage survolté, qui reste aussi dynamique que subversif (en effet, on a pas le temps d'analyser le message que le plan part déjà sur autre chose. Je conseille à ce titre à tous les cinéphiles de regarder le film au ralenti, histoire de bien saisir le contexte). Et puis, on parle de sujets intéressants, comme l'immortalité, la puissance du cerveau sur l'absence de cerveau, 'affrontement entre le bien et le mal, d'une quête de virilité (dont la métaphore de l'épée en forme d'éclair est évidente : qui s'y frotte s'y pique !). Enfin, la musique hideuse des indiana jones trouve ici des relents d'héroïcité qui exciteront immédiatement les aficionados des films street fighter, ou encore Hercule à new york (car seuls les tafioles peuvent aimer les films de fillettes à la rambo ou à la terminator). On attends le 2 pour prendre une nouvelle br*nlée mémorable !
Malgré les avertissements, j'étais loin d'être préparé à l'atrocité de « Turkish Star Wars », une fusion catastrophique de science-fiction et de comédie d'action. Avec son histoire incohérente, des performances douloureuses des acteurs et des costumes grotesques, ce film est un véritable supplice à regarder. Les scènes de combat sont maladroites, et l'utilisation flagrante de séquences et musiques d'autres films ne fait que souligner son caractère de farce cinématographique. Conçu plus pour choquer par son manque de qualité que pour divertir, ce film représente le nadir du cinéma, à un tel point que tout autre film semble supérieur en comparaison. Même pour un amateur nanars et de mauvais films, « Turkish Star Wars » reste une épreuve pénible, véritablement un des pires films que j'ai jamais vu. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
C'est tellement nul que ça en devient génial !! On est mort de rire en regardant l'"acteur" principal découper des peluches, devant les tirs de lasers gribouillés sur la pellicule, devant les plans de "Star Wars" incrusté vite fait mal fait, les mêmes plans utilisés un nombre de fois incalculables, les pierres en polystyrène, le scénario plus que bidon (cette histoire de cerveaux est vraiment poilante), le jeu des "acteurs" exécrable, les costumes vraiment moches, la qualité d'image à vomir (on croirait avoir régressé jusqu'en en 1910), et dire qu'ils prenaient tout ça très au sérieux... A voir pour se marrer un bon coup !!