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Renaud Tailhades
2 critiques
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3,0
Publiée le 9 juillet 2023
face à la fabuleuse trilogie "infernal affairs" ce thriller realisé par les mêmes realisateurs Andrew Lau et Alan mark nous dévoile un scénario tout à fait correct , mais tout de même prévisible ! Ce qui fait la force de ce film c'est la presence de 2 brillantes figures majeures du cinema asiatique ! Tony Leung qui aparait comme un être vicieux s'éloignant de tout, et de l'autre coté Takeshi Kaneshiro défasé mais qui reste persistant dans son enquête. À voir par curiosité, mais sans hésiter il faut voir les infernals Affairs si vous aimez le genre et les réalisations de Lau et Mark.
Auteur des géniaux Infernal Affairs Alan Mak fait avec Confession of Pain un nouveau thriller. On sent bien que ce qui l’intéresse le plus c’est la psychologie de ses personnages, de les décrire de les étudier jusqu’à donner l’impression de les connaître. Malheureusement dans ce film il oublie de faire un véritable thriller. La partie enquête est bâclée et le film manque de tension. Dommage.
Ce film aurait pu être plus noir avec un scénario moins prévisible, avec des situations moins cousues de fils blancs, des personnages moins caricaturaux... Dommage, ne reste qu'un film policier classique, sans grand suspense, sans originalité...
Après la belle réussite de Infernal Affairs, on s’attendait à ce que l’association des deux réalisateurs Alan Mak, et Wai Keung Lau, tire avec autant de brio son épingle du jeu dans ce polar dont les matières premières n’étaient pas inintéressantes. Un flic froid et calculateur, et un autre, névrotique, mêlé à une enquête tortueuse qui va mettre à jour des secrets chez les deux. Hélas nos deux cinéastes chinois vont saboter la structure narrative en choisissant de révéler d’entrée de jeu le « pot aux roses ». Ce choix maladroit de structure narrative, sera aggravé par d’autres choix : celui d’étirer des scènes peu stratégiques, et celui d’écourter à outrance les scènes qui étaient sensées éclairer les motivations des protagonistes. Jusqu’au choix du titre qui semble maladroit, n’illustrant qu’une infime partie de l’intrigue. Pas sérieux tout ça, Mak et Lau !
Après la belle réussite de Infernal Affairs, on s’attendait à ce que l’association des deux réalisateurs Alan Mak, et Wai Keung Lau, tire avec autant de brio son épingle du jeu dans ce polar dont les matières premières n’étaient pas inintéressantes. Un flic froid et calculateur, et un autre, névrotique, mêlé à une enquête tortueuse qui va mettre à jour des secrets chez les deux. Hélas nos deux cinéastes chinois vont saboter la structure narrative en choisissant de révéler d’entrée de jeu le « pot aux roses ». Ce choix maladroit de structure narrative, sera aggravé par d’autres choix : celui d’étirer des scènes peu stratégiques, et celui d’écourter à outrance les scènes qui étaient sensées éclairer les motivations des protagonistes. Jusqu’au choix du titre qui semble maladroit, n’illustrant qu’une infime partie de l’intrigue. Pas sérieux tout ça, Mak et Lau !
Dans un style de réalisation particulier, le film est un bon policier sans surprise, sans prétentieux assez bien servi par les acteurs avec une ambiance assez sombre.
Même si l'on sait de suite qui est derrière cette manipulation Confession of Pain est un bon thriller bien mené et sans temps morts, on s'intéresse aux personnages grâce à de bons acteurs qui parviennent à provoquer une certaine émotion et l'intrigue bien qu'attendue est finement écrite après on peut regretter une mise en scène qui crée un climat un peu confus mais c'est ponctué de quelques scènes spectaculaires. Confession of Pain ne marquera pas les esprits et ne fait pas partie des ses suspenses magistraux qui fascinent mais il est suffisamment bien fait pour nous faire passer un bon moment.
Un thriller très décevant qui pouvait proposer quelque chose de bien mieux mais qui se perd vite , trop vite d'ailleurs , et ne laisse place a aucun suspense ou intrigue . On commence le film en sachant deja qui est le tueur , quel est l’intérêt ? On aurait pu avoir une bonne enquête , une bonne intrigue maintenu , un thriller agréable ou l'on aurait voulu savoir ou cette histoire nous menait mais non on sait deja qui a tué et ceci nous mènera a un film long , répétitif et ennuyeux .
Pas d'intrigue c'est un énorme point noir , surtout pour un thriller , mais c'est aussi long . 2h que j'ai sentit passer sur la fin principalement , des longueurs , des dialogues fade et on s'ennuie beaucoup voir trop dans certaines scènes . Sachant qu'il n'y a pas d'intrigue ça mise sur quelques chose qui tourne en rond , ça en devient vite lourd et ça manque de rythme .
La réalisation est par moment maladroite , quelques scènes d'action semblent avoir été tournés avec les pieds . Le scénario se veut compliqué et c'est vite lourd , dommage donc ce polar Hong Kongais avait bien plus de potentiel mais est bien raté , reste de bon acteurs et un points de départ qui avait de quoi être mieux exploité , une grosse déception .
Au départ, avec la jaquette pleine de sang, un casting habituel, on s'attend à un film policier convenu, violent... Toutefois, si la violence n'est pas totalement absente, c'est une toute autre histoire qui nous est conté... pas de bagarre, de kung-fu ou de fusillade.. Une enquète, et des personnages complexes au lourd passé...
Une bonne intrique, deux personnages qui s'opposent, ce film n'est pas sans rappeler "internal affairs" ne serait-ce que sur la forme. Mais le film est lent et manque de caractère. Le tout est plat, peu rythmé, pas de quoi vraiment nous emballer. La réalisation est assez prévisible et confuse, même maladroite. A noter que la bande sonore est quand à elle très réussi. Ce n'est certes pas le film de l'année.
Le trio de réalisateur/scénariste de la trilogie Infernal affair sont de retour avec un polar psychologique. Mais voila si le casting est à la hauteur (sauf Shu Qi qui fait n'importe quoi)le film est loin de valoir son prédécesseur. Andrew Lau a beau avoir progressé avec une réalisation élégante, le film souffre d'un didactisme épouvantable et d'un excès de sentiment digne du mélo le plus grossier. On ne peut même pas dire que l'équipe joue sur le suspense, l'identité du coupable est désigné rapidement mais plutôt sur les raisons et les contours psychologique de ces protagonistes torturés.Ce qui entraine par moment l'impression que la bande a décidé de faire pleurer et en fait des tonnes pour y arriver sur fond d'explications intempestives pour une intrigue que tout le monde a compris.
Takeshi Kaneshiro et Tony Leung dans un même film et tout ça orchestré par Andrew Lau et Alan Mak, les génies d'Infernal Affairs, ça promettait à l'avance. Le film n'est pas aussi bien qu'un volet de la fameuse trilogie mais il vaut tout de même le coup d'oeil! L'originalité du film c'est qu'on connait le visage du coupable dès le début du film. Malgré ça, on est obligés de suivre le détective faire son enquête alors qu'on a envie de lui dire: "Arrête, le coupable c'est lui!!!!". C'est un bon film et j'ai pris un bon petit palsir à le regarder et puis y'a Takeshi Kaneshiro alors....