un chef- d'oeuvre: ce n'est pas seulement un film où les gangstères se fusillent mais une histoire très touchante dans laquelle un tueur à gage voulait changer sa vie. Je l'avais suivi pour la première fois, quand j'avais 10ans et je me suis simplement interessé aux fusillades. Mais quand je l'avais resuivi cette année j'ai dit wao!!. A part la violence qui était sans précédent, John Woo mettait en jeu aussi plusieurs thèmes tels que l'amitié, l'honneur, etc...
Très déçu par ce "The Killer" dont on m'avait tant vanté les mérites. Je ne sais pas si le film a vieilli, mais ça m'a paru kitsch et limite involontairement drôle comme film. Et puis, il fallait certainement éviter la V.F parce que les doublages sont catastrophiques. Chow-Yun Fat avec une grosse voix à la rambo, ça le fait carrément pas. Pour parler un peu plus du film, je ne lui ai rien trouvé d'extraordinaire. Le seul acteur qui sache jouer là-dedans est Chow-Yun Fat, les autres sont tous catastrophiques et en dessous de tout (là encore, la V.F a du encore amplifier la catastrophe). La pseudo histoire d'amour et notre tueur qui a des remords, c'est non seulement classique, mais en plus Woo n'est pas du tout doué pour filmer et retranscire les sentiments humains. La plupart des dialogues ne sont là que pour combler un vide entre deux scènes d'actions et sont catastrophiques. Les deux personnages principaux se donnent des surnoms qui sont Mickey et Dumbo pour communiquer, c'est trop naze comme idée. Alors forcément, il ne reste plus que les scènes d'action pour sauver l'ensemble. Et bien même pas. Les scènes en question manquent d'inspiration et ne résument souvent qu'à de banales fusillades sans grand intérêt. De plus, le bruit des coups de feu est bizarre, inhabituel, moi ça m'a gêné. Oh, et les méchants qui portent parfois tous le même costume pour être bien indentifiable, on se croirait dans Time Crisis. Enfin, le film offre des scènes pathétiques comme à la fin lorsque nos deux amoureux sont aveugles et essayent de se trouver au son de leur voix en rampant sur le sol. Pitoyable, d'autant plus que le film finit en couille et de façon bien abrupte. Alors une 1 étoile pour quoi, pour les gunsfights à deux flingues (invention de John Woo très respectable), pour le final dans l'église, pour Chow-Yun Fat et pour certaines bonnes idées (le flic qui se met dans le fauteuil et revoit ce qu'à fait le tueur). The Killer n'en demeure pas moins un mauvais film.
le chef d'oeuvre de John Woo jamais un tueur n'a été aussi esthétique que Chow Yun Fat qui est extraordinaire.Jamais n'a pu refaire un tel film meme si a toute épreuve et une balle dans la tete n'est pas à négliger
William Shakespeare avait en son temps donné un coup de jeune aux tragédies antiques, aujourd'hui c'est au tour de John Woo de poser sa pierre à l'édifice. Le gunfight final dans l'église restera longtemps. A voir et a revoir.
Considéré par beaucoup comme LE chef duvre du maître de laction John Woo, The Killer est sans conteste un tournant dans ce genre et surtout une perle du réalisateur dans sa période « asie ». Jeff est tueur professionnel. Mais Jeff a des sentiments et nest pas un monstre : la preuve lorsquil blesse aux yeux une jeune femme lors dune opération et quil décide de lui payer lopération qui lui permettrait de retrouver la mémoire en effectuant un dernier contrat. Le contrat de trop puisque Jeff (ou Mickey Mouse pour les intimes) va être coller aux basques par ces employeurs et par la police. La maîtrise de laction, John Woo la véritablement dans le sang et imprègne définitivement son style a travers ce film. Les sauts, les colombes, léglise, une arme dans chaque main, tout réunit pour que le héros ait une classe totale. De ce coté cest réussi. Ce qui lest moins cest que le réalisateur se sente obliger de rajouter une sensiblerie souvent inutile et agaçante. Il veut bien quon sente que même si cest un milieu violent, ce sont quand même des humains dotés de sentiments !! Merci monsieur Woo on le saura mais mis à part ce problème récurrent, le cinéaste simpose comme le patron du cinéma daction asiatique, avec un style à couper le souffle dans les gunfights.
Au-delà d’une simple succession de fusillades, il faut voir dans ce "Killer" le goût constant qu’à John Woo de vouloir reconstituer dans ces duels modernes l’aspect fantasmagorique du temps des chevaliers, avec leurs valeurs et leurs codes d’honneur. En ressort un film épique où Chow Yun-Fat étincelle de mille feux. Moi en tout cas j’adore.
John Woo nous offre un chef-d'oeuvre avec "the killer". Pour ma part ce film est l'aboutissement même du travail de john woo. Dans ce film on trouve toutes les recettes du réalisateur qui lui en valut sa notériété d'aujourd'hui dont celui du meilleur réalisateur de hong-kong. Ce film est une ouvre d'art, en terme de réalisation le film est monstrueux avec des scènes de gunfight époustouflante. Mélangeant romantisme et mélodrame anisi qu'une violence sidérante où le film atteind son paroxysme. Chow yun-fat est d'une classe sans égal dans ce rôle. La musique étincellante emporte le film avec brio dans son contexte. Que dire de plus de ce film, juste que c'est un bijoux et que celui qu'il se prétend amateur de polar ne la pas vu court se le procurer.
Une oeuvre ultime du cinéma asiatique où la violence rime avec poésie. John Woo réalisait alors son plus beau film en nous offrant le final le plus macabre de tous les temps. Dans son intégralité, il doit y a voir plus de morts dans The Killer que dans Il Faut Sauver Le Soldat Ryan. The Killer est une bombe que tous les amoureux du cinéma se doivent de dévorer visuellement et artistuquement parlant.
Attention, chef d'oeuvre, des acteurs impeccables, une mise en scène presque parfaite, et une bonne intrigue, rajoutez à ça la maîtrise de John Woo et on a un film culte en puissance.
Cette production présente suffisamment d’intérêt pour vous faire oublier vos enfants/votre conjoint/votre plat au four (rayez la mention inutile) le temps d'une soirée.
Relativement bien ficelé pour ce qui est du scénario, mais pas mal d'invraisemblance ici aussi qui enlèvent un peu au charme du film. On peut également constater que les scènes d'action, bien menée ne sont cependant pas encore entièrement maîtrisée.