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Votre avis sur Snowpiercer, Le Transperceneige ?
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Bong Joon-Ho, c'est pas un mec qui se fout de votre gueule. Et à chaque film, son univers grotesque arrive à nous attraper dès les premières secondes. Soyons clairs, il n'y a pas vraiment à crier au chef-d'œuvre devant "Snowpiercer" mais il serait plus compliqué de rester de marbre face à une œuvre pareille. C'est émouvant, bouleversant, divertissant et décalé à certains moments (et pour ça je vous laisse la surprise...) ! Le commentaire sur les différentes classes sociales qui doivent apprendre à communiquer, thématique récurrente chez le réalisateur, ne casse pas la baraque, mais donne de quoi réfléchir, et comblé avec une telle réalisation, je ne peux que dire "oui" à ce genre de films.
Ce film est une daube phénoménale, j'ai dû me forcer pour le regarder jusqu'à la fin.
Le concept est bon ça commence à peu près bien et au bout de 15 minutes les incohérences commencent et s'enchainent.
C'est â se demander comment le réalisateur s'est satisfait du travail final.
Et la fin, mon Dieu !!!
Y'a un truc qui cloche, c'est pas possible de faire une adaptation aussi pourrie, je n'arrive pas â croire que l'équipe au moment du visionnage des scènes ait pu se satisfaire du résultat final...
L'asiatique qui ouvre les portes au début a besoin d'un traducteur électronique pour être compris, arrivé à la dernière porte il parle tranquillement au héros en japonais et l'autre il comprend tout ?? mais what the fuck ?? ils se battent devant l'une des portes finales pour de la drogue alors que 5 minutes avant l'asiatique se remplit les poches de drogues dans 2 wagons...
On nous prend vraiment pour des cons !!!
C'est honteux de sortir un film avec autant d'incohèrences au cinéma, tu dépenses 12 euros pour te forcer à regarder un film jusqu'au bout en espèrant qu'a un moment ça décolle et tu ressorts dégouté.
Pour mettre plus de 2 étoiles à ce film faut vraiment pas être difficile ou avoir un gout de chiottes.
Je vais regarder la série en espèrant que le niveau est meilleur.
Le concept est bon ça commence à peu près bien et au bout de 15 minutes les incohérences commencent et s'enchainent.
C'est â se demander comment le réalisateur s'est satisfait du travail final.
Et la fin, mon Dieu !!!
Y'a un truc qui cloche, c'est pas possible de faire une adaptation aussi pourrie, je n'arrive pas â croire que l'équipe au moment du visionnage des scènes ait pu se satisfaire du résultat final...
L'asiatique qui ouvre les portes au début a besoin d'un traducteur électronique pour être compris, arrivé à la dernière porte il parle tranquillement au héros en japonais et l'autre il comprend tout ?? mais what the fuck ?? ils se battent devant l'une des portes finales pour de la drogue alors que 5 minutes avant l'asiatique se remplit les poches de drogues dans 2 wagons...
On nous prend vraiment pour des cons !!!
C'est honteux de sortir un film avec autant d'incohèrences au cinéma, tu dépenses 12 euros pour te forcer à regarder un film jusqu'au bout en espèrant qu'a un moment ça décolle et tu ressorts dégouté.
Pour mettre plus de 2 étoiles à ce film faut vraiment pas être difficile ou avoir un gout de chiottes.
Je vais regarder la série en espèrant que le niveau est meilleur.
Le Rabzz
Casting respectable, scénario dystopique, ambiance sombre et malsaine ce film jaugent entre la survie et le pouvoir, bien exploité mais pas assez à mon goût mais on passe un bon moment mais juste la fin qui est décevante.
Santu2b
Adapté d'une bande-dessinée européenne "Snowpiercer" prend source dans un cadre original : après l'avènement d'une ère glaciaire, les survivants de la Terre sont regroupés dans un train qui fait incessamment le tour de la planète. La machine est en outre structurée en fonctions des diverses classes sociales. Pour son premier film en langue anglaise, Bong-Joon Ho y confirme son statut de talent indéniable du cinéma coréen. Dans cette remontée par l'arrière du train, le cinéaste livre un film d'action inventif et efficace, ainsi qu'une réflexion intéressante sur les sociétés humaines. Les dérives liées à l'Etat fort et à l'endoctrinement des masses y ont également une large place. Si la dernière partie est un peu plus démonstrative et convenue, le résultat reste plus qu'honorable. Bien que légèrement en dessous de "Memories of Murder" et "Parasite", "Snowpiercer" est un preuve de l'incontestable inventivité du cinéaste.
Film assez puissant, qui suit une trame simple et efficace. Le tout saupoudré de violence, tant dans les combats que dans le désespoir d'appartenir à un système que l'on ne peut briser. A cela, vous ajoutez également une bonne dose d'inconnu, on se demande à chaque fois ce qu'il y aura derrière la prochaine porte, et des personnages qui jouent leurs rôles. Alors certes c'est un chouia tiré par les cheveux, les mauvaises langues ici relèvent quelques incohérences mineures, mais vraiment mineures, mais quand on regarde l'oeuvre globale c'est pas mal foutu. Beaucoup de gens mettent une mauvaise note à ce film car c'est un film prétentieux sur les leçons morales et philosophiques qu'il veut nous adresser.
J’ai connu Bong Joon-ho grâce à son film Parasite qui été clairement l’un des meilleurs films de 2019 , ce film m’a ouvert au cinéma coréen et surtout aux films de Bong Joon-ho.
Comme justement Snowpiercer , un film dont je n’ai pas beaucoup entendu parler alors qu’il est juste incroyable et que c’est l’un des meilleurs de Bong Joon-ho.
Alors qu’une catastrophe provoquée par l’homme a refroidit totalement la planète , un dénommé Wilford a créé une arche pour y transporter les survivants de l’humanité séparé en plusieurs classes (première , seconde , troisième , quatrième). Malheureusement la dernière classe , la plus pauvre d’entre elle , est maltraitée , mal nourrie et mis en cage comme des bêtes. On va donc suivre l’histoire du personnage interprété par Chris Evans , l’auteur de la rébellion.
Le talent de ce film est de changer de style à chaque wagon , on passe de lutte des classes à prison , d’horreur à film de propagande , de western à thriller , tout est très bien utilisé et les codes sont sont très bien exploités par un réalisateur talentueux.
Cette mise en scène , changeant toujours de style , permet de ne pas ennuyer le spectateur , à aucun moment cela nous ennuie.
Les acteurs aussi sont excellents avec un Chris Evans qui nous donne l’une voir même sa meilleure prestation.
Le twist final est très bien utilisé et nous donne un message profond sur la société.
On pourrait croire avec ce film que la bd Snowpiercer et le réalisateur Bong Joon-ho étaient fait pour se rencontrer .
Ce film me donne envie de lire la bd.
Bref l’un des meilleurs films du réalisateur que je vous conseille de voir ainsi que la série Snowpiercer tout aussi excellente.
Comme justement Snowpiercer , un film dont je n’ai pas beaucoup entendu parler alors qu’il est juste incroyable et que c’est l’un des meilleurs de Bong Joon-ho.
Alors qu’une catastrophe provoquée par l’homme a refroidit totalement la planète , un dénommé Wilford a créé une arche pour y transporter les survivants de l’humanité séparé en plusieurs classes (première , seconde , troisième , quatrième). Malheureusement la dernière classe , la plus pauvre d’entre elle , est maltraitée , mal nourrie et mis en cage comme des bêtes. On va donc suivre l’histoire du personnage interprété par Chris Evans , l’auteur de la rébellion.
Le talent de ce film est de changer de style à chaque wagon , on passe de lutte des classes à prison , d’horreur à film de propagande , de western à thriller , tout est très bien utilisé et les codes sont sont très bien exploités par un réalisateur talentueux.
Cette mise en scène , changeant toujours de style , permet de ne pas ennuyer le spectateur , à aucun moment cela nous ennuie.
Les acteurs aussi sont excellents avec un Chris Evans qui nous donne l’une voir même sa meilleure prestation.
Le twist final est très bien utilisé et nous donne un message profond sur la société.
On pourrait croire avec ce film que la bd Snowpiercer et le réalisateur Bong Joon-ho étaient fait pour se rencontrer .
Ce film me donne envie de lire la bd.
Bref l’un des meilleurs films du réalisateur que je vous conseille de voir ainsi que la série Snowpiercer tout aussi excellente.
Encore une très bonne série qui sort du lot le scénario est vraiment très bien écrit et jouer à la perfection . Les acteurs sont tous géniaux et joue parfaitement bien leurs rôles. En tout cas certains scènes faisait vraiment mal au cœur à voir . Mais à part ça tout était parfait du début à la fin. J'ai hâte de voir la saison deux.
Avis un peu mitigé , ça se regarde bien. L'histoire est intéressante, les décors supers,l'actrice principale géniale . Apres on tombe dans les clichés habituels avec les méchant riches (blancs ) et les gentils pauvres (surtout de couleurs) .... c'est exaspérant..... dommage pour ce côté" discrimination positive " ou on est obligé de représenter toutes les communautés (ou presque )ainsi que les gay. Cela n'apporte rien a la série sauf cette désagréable sensation de subir leur présence. A voire quand même.
Snowpiercer est un film de science-fiction original qui ressemble à aucun autre film.
Tantôt décalé tantôt violent, ce film ne laisse pas indifférent et possède un scénario qui amène une reflexion sur les classes sociales.
De plus le casting est XXL.
Tantôt décalé tantôt violent, ce film ne laisse pas indifférent et possède un scénario qui amène une reflexion sur les classes sociales.
De plus le casting est XXL.
Excellent film d’action, où pendant plus de deux heures, nous sommes pris dans l’engrenage de la remontée du train par les plus pauvres, dont chacun des wagons représente une classe sociale ou une activité économique. On aurait pu se demander qu’est-ce que vient faire Bong Joo Ho dans la réalisation d’un blockbuster hollywoodien, mais la critique des inégalités sociales, que l’on retrouve dans bon nombre de ses films (Barking Dog, Parasite) est bien là, en ligne de fond de ce film au rythme trépidant.
Certes, « Snowpiercer » est loin d’être cérébral et il faut le prendre comme tel : mais la remontée des pauvres de la queue vers la tête du train est franchement convaincante, où le passage d’un wagon à l’autre représente un monde en soi. A l’action sous-tendent des situations comiques acerbes (Tilda Swinton, en Kapo frustrée de la société Wilford, est méconnaissable), et une critique du comportement grotesque et vulgaire des classes supérieures.
« Snowpiercer » : de l’action certes, mais une allégorie efficace de la hiérarchie des classes, où ceux d’«en haut» ne vivent que par l’exploitation de ceux d’«en bas». Flamboyant.
Certes, « Snowpiercer » est loin d’être cérébral et il faut le prendre comme tel : mais la remontée des pauvres de la queue vers la tête du train est franchement convaincante, où le passage d’un wagon à l’autre représente un monde en soi. A l’action sous-tendent des situations comiques acerbes (Tilda Swinton, en Kapo frustrée de la société Wilford, est méconnaissable), et une critique du comportement grotesque et vulgaire des classes supérieures.
« Snowpiercer » : de l’action certes, mais une allégorie efficace de la hiérarchie des classes, où ceux d’«en haut» ne vivent que par l’exploitation de ceux d’«en bas». Flamboyant.
J'adore les films post-apocalyptiques, les satires sociales et les commentaires. En dehors de toute l'humanité sur un train je veux dire que cela semble stupide et inutile. Mais j'étais sûr que cela serait expliqué de manière intelligente bientôt dans le film. Ce n'était pas le cas rien ne l'était rien du tout. Ce film ne sert à rien et l'intrigue entière arrive à zéro. Mettant de côté la stupidité de l'histoire selon laquelle un train pourrait rouler pendant 17 ans dans un monde mort gelé où les agents de maintenance des voies sont tous morts et bien sûr que vivre dans un train en mouvement rapide serait en quelque sorte mieux que de construire une base. La continuité de l'histoire est inexistante. Les héros combattent une horde de personnes et à la seconde suivante ils ont tout simplement disparu. Les riches ont de la viande et du vin venu de nulle part et font la fête sous la drogue. Personne ne fait de travail utile à part environ 5 types de conducteurs. Les pauvres ne font absolument rien à part se plaindre de l'oppression. Les discours prononcés par Tilda et Ed Harris sont si monumentaux dérivés et abasourdis qu'ils son insulte à part cela ils n'ont aucun sens pratique dans la réalité. Ed Harris doit être désespéré et John Hurt encore plus. Le héros finit par dérailler et tout le train tuant tout le monde sauf une adolescente et un enfant de 5 ans. Ils ont environ 10 minutes à vivre car ils viennent de voir un ours polaire qui a probablement très faim. Et moi je viens de perdre 2 heures de ma vie...
Intelligent sans être démonstratif, rythmé sans être bourrin, inventif sans être brouillon, violent sans être gratuit : cet excellent film est une magnifique démonstration d'équilibre, tenue d'un bout à l'autre sans aucun moment de faiblesse. En effet, ce qui fait la grande force de ce film, c'est que si le sujet est grave et la métaphore assez désespérée, le réalisateur n'oublie pas l'auto-dérision en balançant la violence viscérale et la fureur inhérentes au concept par des moments complètement décalés d'une drôlerie irrésistible ( que ce soit une simple réplique, une scène entière ou même un personnage - truculentes Tilda Swinton et Allison Pill), qui, d'une part, soulignent par le contraste les scènes choc et humanisent considérablement le propos, et d'autre part, évitent de faire tomber l'œuvre dans une sorte de moratoire démonstratif et premier degré, travers très fréquent dans les dystopies. L'inventivité visuelle correspondant aux différentes zones du train fait systématiquement mouche, et le spectateur retourne à l'enfance, ébahi devant la luxuriance de détails, toujours à propos et jamais redondants. Le film se suit ainsi sans accuser aucun temps mort, le scénario étant particulièrement bien ficelé, avec ce qu'il faut de rebondissements et de détails pour tenir en éveil sans surcharger, et, si la fin peut un peu décevoir ( encore qu'il n'y en ait guère beaucoup d'autres possibles), il faut reconnaître au tout une cohérence irréprochable. Le casting est homogène ment très bon, aussi bien ( voire encore meilleur) dans les seconds rôles que dans les principaux, et, si le rythme de l'action ne laisse pas ou très peu de place à l'émotion et à l'identification, chaque personnage est caractérisé et il est impossible de mentionner un acteur en particulier par rapport à un autre ( encore que, en tant que visage moins familier, et d'autant moins en Europe, l'actrice de Yona, Go Ah-Seong, fasse véritablement figure de révélation ).
Un film au visuel impeccable et infiniment riche, terrifiant et édifiant sans être culpabilisant, très rythmé et équilibré, porté par un casting de premier ordre : à voir absolument !
Un film au visuel impeccable et infiniment riche, terrifiant et édifiant sans être culpabilisant, très rythmé et équilibré, porté par un casting de premier ordre : à voir absolument !
cf. Triptyque.
C’est plus ou moins l’adaptation d’une BD française de Lob et Rochette et je ne l’ai pas lue. La terre est paralysée dans la glace suite à une fausse manip qui visait à ralentir le réchauffement climatique. Il ne reste rien hormis une humanité peu conséquente, fruit de son inconséquence. Elle est cloîtrée dans un train et celui-ci tourne autour de la planète sans jamais s’arrêter à raison d’un tour du monde par an. Et ça fait 17 ans que ça dure. A l’intérieur du train, ses concepteurs ont reproduit le monde qu’ils connaissaient. Une caste inférieure survit tandis qu’une caste supérieure profite des joies de l’opulence. Chacun à sa place, chacun occupe un rôle présenté comme naturel. La route tourne en rond. L’homme revient sans cesse au point de départ. Il semble incapable d’imaginer le monde autrement que comme il l’a toujours fait alors même qu’il lui suffit de regarder par la fenêtre pour connaître l’avenir du modèle qu’il reproduit. L’espoir ne peut donc pas venir d’une seule et unique route dont on sait qu’elle ne mène nulle part. Pour autant, à l’échelle de l’individu, peu capable de saisir la globalité des enjeux, l’espoir est celui de prendre la place de la caste supérieure. C’est une ligne droite qui va de la queue à la tête. Cette vieille humanité souffre de ne pouvoir sortir du chemin qu’elle a tracé. Dès lors, l’espoir peut-il venir de ceux qui n’ont pas connu le monde d’avant ? Étonnant comme ce film résonne toujours aussi bien dans l’actualité brûlante. On est directement happé par ce récit fort bien écrit et qui y va tambour battant de la première à la dernière minute. On croit deviner où on nous mène mais non, les fils blanc n’était pas la véritable couture. Visuellement, ce huis-clos tire très bien parti de la variété des wagons, on change donc radicalement d’ambiance sitôt qu’une porte s’ouvre. On soulignera également la remarquable interprétation, Tilda Swinton en tête, bien sûr. Enfin, les scènes de castagne sont proprement bluffantes et on serre des dents quand le sang chaud vient éclabousser notre écran. Un vrai bijou SF qui a plus à dire qu’il n’y paraît au premier abord.
C’est plus ou moins l’adaptation d’une BD française de Lob et Rochette et je ne l’ai pas lue. La terre est paralysée dans la glace suite à une fausse manip qui visait à ralentir le réchauffement climatique. Il ne reste rien hormis une humanité peu conséquente, fruit de son inconséquence. Elle est cloîtrée dans un train et celui-ci tourne autour de la planète sans jamais s’arrêter à raison d’un tour du monde par an. Et ça fait 17 ans que ça dure. A l’intérieur du train, ses concepteurs ont reproduit le monde qu’ils connaissaient. Une caste inférieure survit tandis qu’une caste supérieure profite des joies de l’opulence. Chacun à sa place, chacun occupe un rôle présenté comme naturel. La route tourne en rond. L’homme revient sans cesse au point de départ. Il semble incapable d’imaginer le monde autrement que comme il l’a toujours fait alors même qu’il lui suffit de regarder par la fenêtre pour connaître l’avenir du modèle qu’il reproduit. L’espoir ne peut donc pas venir d’une seule et unique route dont on sait qu’elle ne mène nulle part. Pour autant, à l’échelle de l’individu, peu capable de saisir la globalité des enjeux, l’espoir est celui de prendre la place de la caste supérieure. C’est une ligne droite qui va de la queue à la tête. Cette vieille humanité souffre de ne pouvoir sortir du chemin qu’elle a tracé. Dès lors, l’espoir peut-il venir de ceux qui n’ont pas connu le monde d’avant ? Étonnant comme ce film résonne toujours aussi bien dans l’actualité brûlante. On est directement happé par ce récit fort bien écrit et qui y va tambour battant de la première à la dernière minute. On croit deviner où on nous mène mais non, les fils blanc n’était pas la véritable couture. Visuellement, ce huis-clos tire très bien parti de la variété des wagons, on change donc radicalement d’ambiance sitôt qu’une porte s’ouvre. On soulignera également la remarquable interprétation, Tilda Swinton en tête, bien sûr. Enfin, les scènes de castagne sont proprement bluffantes et on serre des dents quand le sang chaud vient éclabousser notre écran. Un vrai bijou SF qui a plus à dire qu’il n’y paraît au premier abord.
C'est un huit clos qui au début parait effrayant, pour devenir assez ennuyeux. La quête du film traine en longueur, plusieurs moments au milieu du film sont assez somnolants. La fin est correcte, mais pas de "waouh". Pire, le cliché des
spoiler:
enfants en unique survivants, en plus une enfant asiatique et un enfant noir pour dire "oui ils vont repeupler la planète et grâce à eux y aura de la mixité"
, c'est un cliché qui est une fausse bonne idée. Hormis ça, ça joue bien, les images sont belles, la réalisation est très soignée. Mais ça reste assez décevant dans l'ensemble.
, c'est un cliché qui est une fausse bonne idée. Hormis ça, ça joue bien, les images sont belles, la réalisation est très soignée. Mais ça reste assez décevant dans l'ensemble.
Transperceneige a une bonne idée de base, mais le scénario est sans plus avec des passages un peu long qui rendent le film mou de plus le film manque de réalisme, cependant il reste divertissant même si les scènes d'actions sont parfois ridicules et surtout on les voient quasiment pas car mal filmé et trop rapidement, quant à la fin elle est à mon goût bâclée, c'est dommage. En bref le sujet originale sur l'ascension sociale est bien représenté, avec des beaux paysages, mais le tout reste moyen dans l'ensemble.
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