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    Snowpiercer, Le Transperceneige
    Note moyenne
    3,5
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    Votre avis sur Snowpiercer, Le Transperceneige ?

    1 365 critiques spectateurs

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    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    169 abonnés 2 795 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2014
    Une traversée opaque... lumineuse dans ses variations immodérées. L'adaptation fragmente mais ne réduit pas la dimension de l'œuvre qui marque un profond sillon dans notre esprit, dont l'empreinte n'est pas uniquement dû à la profondeur du sujet mais au mouvement qui lui a été appliqué. Bong Joon-ho insuffle un mouvement qui parait sans contrainte, malgré son contexte de production. Une dystopie appliquée face à une longue série de maladresses - After Earth (2013), Oblivion (2013), Elysium (2013).
    Emy S.
    Emy S.

    1 abonné 46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mai 2014
    Un film d'action, c'est dommage que les films d'action ne se cantonnent qu'a l'action et non pas à l'histoire.
    A regarder pour la baston
    groslala1
    groslala1

    3 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2014
    Devant les avis très divergents, je ne savais pas à quoi m'attendre. Finalement la réponse est dans ma note. Justifiée par un scénario diaboliquement bien ficelé et glaçant (c'est le cas de le dire!). Par la beauté formelle et la puissance symbolique de certaines images, qui traduisent une maîtrise totale de la part du réalisateur, au service d'une parabole sociale d'une rare noirceur. C'est sobre, efficace, sans esbroufe. Violent mais pas gore: des morts et de l'hémoglobine mais l'image suggère beaucoup plus qu'elle n'en montre. Beaucoup semblent toutefois être passés à côté de ce superbe film, probablement insensibles à la force évocatrice de cette histoire et de ces images qui peuvent rappeler les meilleures oeuvres de Terry Gilliam. On pourra certes reprocher le manque de charisme de certains acteurs, qui n'a pas suffi à gâcher mon plaisir. J'ai été tenu en haleine et n'ai pas vu passer ces 2h. Faites-vous votre idée!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 avril 2014
    Tout le film se passe dans un train où la classe éco est en rebellion contre la première classe.

    Ceux qui l'ont pas aimé vous diront cela... mais il ne se résume pas qu'à cela. Très prenant, où la survie en confinement pourrait révéler certains côtés très obscures de l'être humain.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 avril 2014
    C'est sur, ce n'est pas un grand film, mais on arrive quand même à passer un gentil moment... Sympa le dimanche soir...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Le film a un fil conducteur on a bien un début, un bon suspense, même si il y a des scènes on se demande vraiment à quoi elle servent ! Mais nous tenir comme ça pendant 2h avec des actes de boucherie, alors ça on en a toutes les sauces, spoiler: en pleine lumière, en infrarouge dans le noir, éclairé par des torches ...
    tous ça pour qu'à la fin on se demande qu'est devenu Curtis ainsi que les autres passager du train dont les wagon ne sont spoiler: pas tomber dans le vide
    , car là on se doute qu'ils sont spoiler: mort
    , et surtout comment nos spoiler: deux survivent
    ont trouvé en quelques secondes/minutes des après-ski ainsi que des manteaux de fourrure à l'heure taille ! Ok il y avait bien dans les scène précédente deux manteaux de fourrure mais qui était trop grand spoiler: pour le petit
    et surtout qui n'avait rien avoir avec la scène de fin ! Quand spoiler: les deux
    sont sortit je me suis dit en rigolant il va y avoir un spoiler: ours
    ! Bingo il y en avait un alors que pendant tous le film dans les scènes où l'on voyait l’extérieur on en a vu aucun ! Surtout que celui-là, ça se voyait que c'était une belle image de synthèse !
    Christophe L.
    Christophe L.

    19 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 avril 2014
    SNOWPIERCER", avec un visuel, et des effets spéciaux à couper le souffle.
    Pour un budget d'environ 40 millions d'€uro.
    Le train et visuellement magnifique, avec ses différents wagons.
    Le scénario dystopique, et génial, et fonctionne très bien.
    Sauf la violence gratuite, qui peut déranger par moments.
    Ce film manque d'humanité, et de spontanéité.
    Ce sont les seuls défauts de ce film.
    Sinon les scènes d'action, sont bien fichues, sauf quand ils nous foutent des flashbacks aux ralentis, quand les choses cette gatte.
    Ensuite Chris Evans, l'acteur principal, et très convainquants.
    Bon je ne vais pas faire un monologue sur les autres acteurs, mais j'ai adoré Ko Ah-seong, et Song Kang-Ho.
    La toute fine et un diamant de 500 milliards se carra.
    Ce fait du bien de voir un blockbuster aussi bien pour l'année 2013. Malgré quelques codes scénaristiques qui m'ont dérangé un peu dans ce film.
    Mais j'ai largement préférés "DIVERGENTE", que "SNOWPIERCER".
    Ma note pour le film "SNOWPIERCER": 4,5/10
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 avril 2014
    Alors, qu'avons-nous là?
    Dans le rôle de Neo: Chris Evans
    Dans le rôle de l'Oracle: John Hurt
    Dans le rôle de l'Architecte: Ed Harris
    Dans le rôle de l'agent Smith (couplé de Zorg): Tilda Swinton
    Dans le rôle de Morpheus (/Trinity?): Jamie Bell
    Dans le rôle du Maître des Clef: Song Kang-Ho
    Dans le rôle de la Matrice: Un train...

    On filme ça façon Jeunet, avec des dialogues à la portée philosophique aussi indigente que si Besson les avait écrit en personne et on obtient Snowpiercer.
    Sujet traité presque aussi lourdement que dans Elysium.
    Bref, next!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 mai 2014
    J'ai été pas mal déçu. Le film traine en longueur et on a du mal à accrocher à l'histoire. Les acteurs ont très peu de charismes et certaines scènes sont ridicules ( je pense au jour de l'an...).
    Le film est bourré d'incoherences et quand on voit la fin, ont ce dit que tout le film n'a servi à rien.
    Je n'ai pas lu la BD, mais je suis sur que Snowpiercer est une adaptation ratée.
    6nematod
    6nematod

    11 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2014
    Sans avoir lu la BD, j'ai trouvé ce film très typé dans le genre et de ce point de vue là agréable. Pas de surprise par contre côté empreinte coréenne ; j'm'étais préparé à m'accrocher. Ensuite, ça tient pas mal debout (en tout cas j'arrive à passer outre les incohérences). Au final et dans l'ensemble, le film m'a intéressé (mais sans plus) : la consistance de l'histoire, des faits, de l'intrigue, du dénouement et des messages, n'a rien de vraiment nouveau mais ne mérite tout de même pas d'être jeté en pâture à un yéti. On pourrait presque dire que ce train arrive sur les écrans avec 30 ans de retard !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 avril 2014
    Ce film est un NAVET !
    Je ne comprend pas comment la presse a pu bien le noter...C'est un navet bourré d'incohérences qui s'enchaine au fur et a mesures qu'on remonte les wagons.
    Petite liste: spoiler: Les cagoules sans trou pour les yeux, la train qui défonce des blocs de glace sans dérailler, la scene ou tout le monde s'arrête de se battre quasiment pour se souhaiter la bonne année, le monologue du héros qui raconte que le meilleur à manger c'était les enfants, puis qu'ils s'etaient tous couper un bras avec un couteau pour se l'offrir à manger... la fin avec les 2 enfants qui sortent faire un petit coucou à un ours polaire.

    Les actueurs sont également tous complètement nuls.
    Cela fait ben longtemps que je n'avais pas vu un film aussi nul, bravo au realisateur pour le trailer qui faisait esperait un bon film.
    Arthur C.
    Arthur C.

    5 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Le peu qui reste de l'humanité confiné dans un gigantesque train pendant une seconde ère glacière: un concept qui avait clairement de quoi plaire malheureusement trop peu éxploité puique le train est apparement 5 fois plus court à l'interieur puiqu'on y met même pas une journée pour le traverser. La société du Snowpiercer se divise en deux: les pauvres dans la queue/vagon à bétail et les riches en tête: je suis quand même déçu qu'il n'éxiste aucun niveau intermédiaire. La psychologie du méchant est interressente, pas autant qu'un joker ou qu'un jigsaw, mais permet quand même de se quéstionner: ce personnage divisera ceux qui pense qu'il est bon et ceux qui pense qu'il est mauvais (enfin, il capture quand même des enfants, ça reste un bon petit Hitler de base, à mon point de vue). Mais là ou le film se plante completement , c'est sur sa fin. spoiler: Le train, déraille, donc et tout le monde meurt sauf l'asiatique et le petit black (le petit roux meurt, il n'avait surment pas d'âme): l'humanité va s'éteindre alors. Et puis, qui c'est les gens qui attaquent les héros à la fin? Et puis, comment le sbire du méchant n'est il pas mort? Et puis, comment peuvent-ils manger du steak puisqu'il n'y a aucune trace animale dans ce train? Et puis, que ce passe t'il quand Pinochio dit "mon nez va grandir?
    Enfin bref, trop compliqué pour nous, pauvres occidentaux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 avril 2014
    L’homme est mal fait. 23 Octobre 2013, un film du nom de Gravity sort en salle et provoque un buzz mondial : oscars, critiques, kikous en pleurs, tous s’accordent sur ce point, Gravity est une révolution de cinéma. Et encore une fois les gens sont aveuglés par les effets spéciaux, car derrière cette coquille numérique, Gravity est vide. 30 Octobre 2013, un film nommé Le Transperceneige sort en salle et bien sûr, personne n’en parle, alors qu’il marque l’histoire du cinéma. Une seconde du Transperceneige est mille fois plus puissante que l’ensemble de Gravity. Mais arrêtons d’évoquer de mauvais films voulez-vous.

    Adapté de la bande dessinée éponyme (écrite par Jacques Lob, Jean-Marc Rochette et Benjamin Legrand) Le Transperceneige, réalisé par le coréen Bong Joon Ho (the Host, Mother…) retrace le combat du dénommé Curtis (vivant à la queue du train et donc dans des conditions déplorables) contre l’autorité qui gouverne ce même train, dernier refuge de l’humanité après que la nouvelle ère glaciaire ait commencé. Dès le début on découvre un style de mise en scène efficace, tout est filmé à hauteur d’homme, comme si l’on était passager du train, spectateur dans un monde reclus, étroit, symbole d’une humanité retranchée sur elle-même. Car c’est bien le sujet du film, l’humanité(les Hommes) est décimée et l’humanité (la vertu) disparaît petit à petit. Où commence l’humanité ? Où s’arrête l’humanité ? Le film est extrêmement riche en termes de messages et nous y reviendrons. Pour l’heure parlons du scénario.

    Après vingt minutes d’exposition qui nous font découvrir les pauvres gens de la queue du train et la dictature qui les oppresse, le rythme s’emballe afin de nous emporter littéralement dans cette tornade de violence. Se succèdent alors scènes d’action magnifiques et découverte du monde formé par le train. Puis arrivé à un moment, le récit se pose, gagne en force, en profondeur, pour nous offrir un final des plus grandioses. L’écriture des dialogues inspirée ne fait que renforcer cette aura de grandeur, aura qui ne pourrait exister sans la richesse des personnages, aidée par le jeu parfait de leurs interprètes. Le film comporte un lot d’acteurs des plus remarquables. On ne peut rester indifférent devant l’entrain de Jamie Bell, l’implacabilité de Vlad Ivanov, la bienveillance de John Hurt, la simplicité d’Ed Harris ou le cynisme de Song Kang Ho (le cinglé dans Le bon la brute et le cinglé). Cela dit, la performance de Chris Evans est d’autant plus remarquable qu’il est le Captain America inexpressif de Marvel, et qu’il incarne ici son personnage avec puissance, maîtrise et conviction, son meilleur rôle. Cela est très intéressant car c’est bien lui qui est au cœur de l’histoire, qui la construit. Pas une scène ne se passe sans lui car il est la personnification du message du film, ce qui rend ce dernier bien plus poignants.
    Le travail est non moins hallucinant derrière la caméra. Bong Joon Ho donne à sa réalisation un sens du détail qui vient créer une personnalité au film. Quelques symboles par-ci par-là et des plans porteurs de sens viennent subjuguer le spectateur. Le réalisateur use également de quelques ralentis, sauf que contrairement à 300 et autres (des films immondes, en gros) ils ont une utilité. En effet ils servent à donner de la lourdeur à l’image pour ainsi dégager plus d’impact. Outre cela, on se sent transporté dans cet univers rachitique, notamment grâce à la mise en scène de haute volé du long-métrage. Donner vie au train, voilà un pari risqué que Bong Joon Ho remporte avec brio. Son film est riche dans ce qu’il raconte mais aussi dans la manière dont il le montre. Des travellings latéraux pour se concentrer sur l’action, des cadrages qui laissent admirer la profondeur du train, des plans en extérieur superbes, ou des gros plans très bien choisis, chaque intention de réalisation porte ses fruits, de délicieux fruits. De même les scènes d’action sont menées de manière splendide. Jamais confuses, elles bénéficient d’un montage parfait et de plans d’une beauté désarmante.

    Se dégagent alors une force et une intensité comme on n’en a que trop rarement vues. L’on est scotché, pas dans son siège, car nous ne sommes plus au cinéma, mais dans le train. Et c’est sur cette Terre presque désertée par la vie, dans ce train presque vide d’humanité que Bong Joon Ho arrive à créer une ambiance, une personnalité, un ensemble qui donne au film sa grandeur et l’inscrit au panthéon cinématographique. Ce dernier est également aidé par les compositions de Marco Beltrami. A l’image de l’humanité, sa musique est appauvri, on joue rarement plus d’un instrument à la fois. Cependant, c’est quand elle est dos au mur que l’humanité fait part de ce qu’il y a de mieux en elle. Il en va de même pour les musiques de Beltrami. Que ce soit des moments de piano parfaitement monotones (le morceau Schlomo), des percussions guerrières ou des envolées de violons qui garantissent un final épique. Tout s’accorde pour mettre en valeur le message du film. Et c’est bien là la partie la plus sublime du Transperceneige, heureusement d’ailleurs, car je vous rappelle que le plus important dans un film, c’est ce qu’il raconte.
    Il faudrait voir ce film une bonne dizaine de fois pour en saisir toutes les subtilités. Si les cinéphiles du dimanche pensent qu’il traite de liberté et de la lutte des classes mise en valeur par l’éternel combat des riches contre les pauvres, ils se trompent. Le Transperceneige parle de l’humain et de l’humanité. La volonté de tout contrôler de l’Homme est ici dénoncée. Le train qui tourne en rond autour de la Terre fait référence au déroulement cyclique de la nature, à l’équilibre. L’Homme se prend alors pour Dieu en voulant dicter sa conduite à la nature (cf. l’organisation dans le train). Or l’imagerie point nostalgique (des plans montrant des villes gelées) nous fait nous demander : Etait-ce vraiment mieux avant ? L’homme a voulu changer la nature (gaz de refroidissement CW7) et en a payé le prix. Et même dans ce train, dernier vestige de la vie, il veut encore tout contrôler. Ce qui le conduira certainement à un autre échec. De ce point de vue le film peut paraître pessimiste en condamnant la déshumanisation. Néanmoins, c’est dans ses personnages qu’il trouve une réponse et un discours plus puissant et plus optimiste. Tout est dans les symboles religieux. Le dieu qui construit le monde (ici le train), choisit un messie, et essaye de donner une essence à chacun, un rôle, un destin tout tracé. En cela, le film délivre un message encore plus intéressant car il dit qu’il n’y a pas de destin, que c’est l’Homme qui se forge sa vie et que rien n’est écrit. La conclusion du film va alors dans ce sens que l’Homme ne peut tout contrôler, encore moins ses semblables. La réussite du film est qu’il aborde et met en œuvre ce message à travers des scènes d’une incroyable beauté, telle que seul le cinéma peut en offrir.
    Alors que le cinéma devient de plus en plus superficiel (à l’image de son public), Le Transperceneige devient un symbole d’espoir et confirme que le cinéma coréen a de beaux jours devant lui. Bong Joon Ho livre un chef-d’œuvre d’une puissance sans équivalent, terriblement touchant, au sujet traité comme il se doit. Bien plus qu’un hommage au livre dont il est tiré, il constitue une leçon de cinéma et une satire/apologie cinglante de l’Homme. Et finalement, faire un film comme celui-là, n’est-ce pas la plus belle preuve d’humanité ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 avril 2014
    En fait j'ai fait comme tout le monde, j'ai vu les critiques et je me suis laissé tenté.
    Mais en fait non, l'histoire n'est pas crédible du tout. Comme je l'ai vu dans un commentaire on se croirait dans un jeu vidéo avec chaque wagon correspondant à un niveau.
    Les incohérences multiples détruisent totalement le film. Je pense que la goutte qui fait déborder le vase c'est quand ils se tirent dessus lorsque le train est dans le virage. Déjà toucher un wagon à pleine vitesse et à 100m avec une sorte d'uzi reviendrait du miracle...
    Enfin les acteurs très mauvais dans l'ensemble, tous stéréotypés. Même l'acteur principal n'est pas exceptionnel, sans charisme, il ne doit pas croire beaucoup à l’histoire non plus je pense.
    Quelques points positif néanmoins: le décor visuel dans les wagons est sublime, et quelques scènes vraiment bien filmées quoique un peu "déjà vues". Je pense notamment à la scène (de boucherie) dans le wagon avec les haches, qui ressemble un peu à la "confrontation" dans "300".
    Bref je suis bien déçu au final.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    155 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2014
    Histoire originale bien traité, servi par un très bon casting... Petit probleme de rythme, mais très bon film dans l'ensemble
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