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Cybersly07
1 critique
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5,0
Publiée le 20 novembre 2024
Un véritable chef d’œuvre. Un film tellement riche que chaque plan, chaque séquence mériterait une analyse. Le premier était un film délicieux, le second est majestueux. Si Le Cochon dans la ville est plus sombre que le premier Opus, il reste porteur de belles valeurs, universelles, qu'il est fondamental de partager avec nos enfants et réserve de magnifiques moments burlesques qui enchanteront petits et grands. Un film à voir absolument.
Il aura fallu attendre trois années pour voir à nouveau poindre le groin le plus mignon du cinéma sur grand écran avec Babe, Le Cochon Dans La Ville, cette fois-ci réalisé par George Miller, pour un résultat tout aussi qualitatif que le film originel. L'histoire commence dans la ferme ou le propriétaire des lieux se retrouve immobilisé et, ne pouvant plus travailler, voit les banquiers menacer d'une saisie l'habitation. C'est alors que son épouse décide d'engager le cochon dans une compétition afin de leur rapporter l'argent nécessaire. Seulement, le voyage en ville ne va pas se passer comme prévu. Ce scénario est plaisant à suivre sur toute sa durée d'un peu moins d'une heure et demie. En effet, si la structure sous forme de conte est la même avec sa narration et son chapitrage, le récit a le mérite d'offrir une mésaventure différente de son prédécesseur, parvenant ainsi à se renouveler. Le changement d'environnement apporte un vrai plus et, si le long-métrage se veut toujours familial, l'intrigue s'avère cependant plus sombre avec quelques scènes moins joyeuses. C'est avec plaisir qu'on retrouve le petit cochon naïf mais courageux qui se fait de nouveaux adorables compagnons à poils entre chiens, chats et chimpanzés. Le reste de la distribution comporte toujours James Cromwell, qu'on voit très peu, et Elizabeth Daily qui est cette fois-ci l'humaine mise en avant. Mais ce sont évidemment les animaux l'intérêt principal et ces derniers sont nombreux ce qui est fortement appréciable. Ceux-ci paraissent plus vrais que nature, malgré le fait qu'ils parlent, et leurs échanges sont à la fois amusants et touchants. Sur la forme, la réalisation de George Miller est très bonne et évolue dans des jolis décors à la fois enchanteurs et inquiétants. Ce visuel agréable est en plus accompagné par une b.o. très présente, et tant mieux, car ses notes éclectiques sont plaisantes et en accord avec les images. Toutes ces péripéties se concluent sur une fin attendue mais satisfaisante, faisant de Babe, Le Cochon Dans La Ville, un film et une suite méritant amplement d'être visionné, que l'on soit petit ou grand.
Un deuxième opus pour le petit cochon babe toujours adapter du roman éponyme cette fois ci direction la ville pour lui ainsi que ses amis , en effet alors que la ferme est en faillite le fermier qui a eu un accident doit rester au lit pour les soins mme Hogett doit avec babe ce rendre à un concours a l'étranger qui leur rapportera suffisamment d'argent pour sauver leur ferme . Une fois sur place les chose évidement ne ce passe pas comme prévue, entre le kidnapping de babe , la fermière en prison , la mission s'annonce mal embarquer , mais heureusement le canard Ferdinand toujours aussi fou débarque pour aider son amies cochon. Une suite beaucoup moins drôle que le précédent car elle joue la carte de lempotionncela fonctionne bien même, les gags en revanche et les scène comique ne sont pas toute bonne même pour être honnête presque aucune ne sont à garder . Le coter mignon , enfantin , et les effets spéciaux sont toujours au rendez vous , le faire de mettent en avant la fermière et son cochon c'est une excellente idée. Un deivertisemment court , et agréable malgré tout.
Incroyable, mais quel film, ça me rappelle mon enfance Que celui qui ne l'a pas vu me jette la première pierre !!!!!! Je conseille vivement Morgane et Pierre Louis de le regarder, un chef d'oeuvre cinématographique
Si le volet original utilisait ses effets avec parcimonie et modérait sa folie pour la placer avant tout au service du cadre qui la portait – à savoir la ferme –, cette suite exporte cochon, canard et fermière dans les tumultes d’une grande ville et, se faisant, déboulonne sa machinerie burlesque. Ce Babe 2, c’est du grand n’importe quoi sur pellicule, un délire dans lequel la dramaturgie n’est composée que d’une succession de saynètes qui, l’une après l’autre, repoussent l’imaginable et le vraisemblable. George Miller nous révèle ainsi la face cachée du premier long-métrage, une face aussi bruyante et chaotique que l’espace urbain, sorte de pot-pourri de tout ce que la culture standardisée des grandes métropoles peut offrir au commun des touristes : la réplique d’une Tour Eiffel, d’une statue de la Liberté, d’un pont de San Francisco, de la fameuse colline où l’on peut lire les lettres blanches d’Hollywood. Nous assistons à la recréation, en miniature, de l’univers du cliché américain, formant un petit Las Vegas. Le périple de la fermière dans la ville s’apparente d’ailleurs à une traversée dans les studios de Miller : les policiers évoquent le monde de Mad Max, de même que les malfrats, un vieux tacot rouillé en préambule. Une pluie de ballons évoque, on peut le penser, Les Sorcières d’Eatswick. Au-delà du placement référentiel que seuls les cinéphiles reconnaîtront, ces insertions un peu grossières semblent attester la lucidité du cinéaste sur ce qu’il délivre à son public : une production de divertissement, loin des œuvres indépendantes marquant ses débuts. C’est dire que George Miller a contribué à forger l’idéologie culturelle de l’Amérique, et qu’il n’hésite pas à plonger ses personnages dans un parc d’attractions dont le thème serait justement son cinéma, mais parodié. Conscient de son statut de suite, Babe 2 refuse néanmoins les redites et transforme son aventure en spectacle forain, sa clausule témoignant à ce sujet d’un clownesque généralisé lorsqu’une salle de mariage subit les agitations de marginaux dont la soif de liberté sonne comme une revanche sociale. Nous retrouvons ici le goût du cinéaste pour les exclus d’une société consumériste, n’ayant pas peur de troquer un vieil animal pour un plus jeune. Un chien éclopé, un autre méchant de naissance, un orang-outan tout droit sorti de l’Ancien Régime... Le film s’entoure d’une galerie de freaks qui, grâce à la bonté du petit cochon, gagnent le devant de la scène pour renvoyer aux êtres humains leur barbarie profonde. Il transforme également la ferme, lieu topique du film originel, en espace utopique et bucolique. La boucle est bouclée, et le potentiel de Babe exploité de fond en comble. Un grand divertissement intelligent.
S'éloignant de son rôle de berger, Babe est emmené en ville pour décrocher un prix afin de sauver la ferme. Toujours aussi touchant et parfois atrocement émouvant (quand Babe sort de la rivière suite à la course poursuite avec le chien féroce), le scénario a su se renouveler et trouver un intérêt. La multitude de nouveaux personnages (exit les chiens de berger et les moutons, bienvenue aux chiens domestiques et singes) est tout aussi attachante. Un formidable conte animalier !
Et de deux pour ce bon cochon trop chou, 🥬au plaisir de le retrouver pour une seconde aventure malencontreusement citadine, le bobo au puits pour son maître humain. Le berger taciturne fier de son poulain porcin, un victorieux outsider meilleur représentant au concours leader conducteur de troupeau de moutons. Un épisode plus solennel, commençant par un mélancolique petit porc consciencieux de sa bêtise, le moral au plus bas et encouragé par ses amis du précèdent à la ferme en temps complet, poursuit le périple afin de l’a sauver d’une mise en demeure en compagnie de sa maîtresse, bonne épouse paysanne fermière. La vie n’est pas rose pour un sou pour le plus humanisant des cochons, le ridicule ne l’a pas tué et tient encore debout relaxé, entouré de ses nombreux nouveaux admirateurs animaliers de diverses espèces, s’inclinant devant son courage abnégation face à l’adversité. Le canard régale au burlesque et ce grotesque mis en scène dans une super-ville fusion des grandes mégalopoles, comme un air de « Mad Max » Millerien reprenant le flambeau de cette réalisation, est toujours aussi hilarant avec ces animaux parleurs, c’est fantaisiste à faire sourire banane aux lèvres. Chiens errants, chats gospels prédateurs de rongeurs, singes voleurs saltimbanques restent admiratifs de la philosophie cochonne. Il y a ces mini-souricettes rieuses à conter l’histoire porcine et entonner la vielle chanson française. C’est un signe céleste divinisé par les anciens hommes dans leurs cultures ethniques populaires, chanceux, bon, sensible, mélodieux, on compatit par sympathie pour lui, hourra à son année festive !
Babe, c'etait le film trognon mais trop niais de mon enfance ! On suivait les aventures du petit cochon sans forcement d'humour ou de suspens, mais avec beaucoup de mignonnerie, assez plat au final !
Quelle plaisir de retrouve Notre Cochon favorie dans se 2eme volet Aussi bien Que la premier super histoire si on aime les animaux et la rigolade Jai vraiment kiffe une tres bonne suite
Babe tente l'expérience urbaine ! L'esprit du premier film est parfaitement conservé, même ambiance, même casting, même doublage, et surtout même niveau de qualité. La mise en scène, la photographie, les décors, la narration et encore une fois l'excellente technique seront de retour pour cette seconde aventure où la ferme sera troquée pour un hôtel. Les bonnes idées sont là, le film est rythmé, c'est étonnement réussi. Et bien que l'on n'aurait pas miser sur le projet, et encore moins sur cette suite, il faut bien avouer que le résultat en sera pourtant surprenant.
J'avais déjà tenté cette suite de Babe il y a quelques années mais je n'avais comme pas accroché mais ce soir pour nos 4 ans d'amour, mon bel arbre fou m'a offert un.. cochon nain & j'étais tellement heureuse et déjà folle de mon cochon que j'ai voulu le retenter à nouveau et finalement c'était pas si mal... déjà Babe est toujours aussi mignon, j'ai bien ri d'Esme mais surtout les singes sont adorables aussi & malgré une ambiance assez bizarre & effrayante tout du long, j'ai passé une bonne soirée ! Vive les cochons... vive mon cochon !
Un film de ma jeunesse dont le seul souvenir que je gardais était des pleurs, et en le revoyant aujourd'hui je constate à raison que le film est d'une mélancolie incroyable pour un film "enfants" : chien pendu par la patte la tête en bas qui se noie et finit par ne plus bouger, des animaux abandonnés qui meurent de faim dont certaines répliques résonnaient dans ma tête d'enfant ("Mon maître m'a mis dans un sac et m'a jeté à l'eau"...), et surtout l'apothéose étant le poisson rouge qui meurt sur le parquet en souffrant et le chien (handicapé !) qui se fait renverser en poursuivant la fourrière qui amène ses amis... Encore aujourd'hui, j'ai fondu en larmes. Pas de gags drôles, à la limite de la dépression, à voir en fonction de la sensibilité de l'enfant. Autrement, la réalisation (de Georges Miller !) est bonne, la musique est bien choisie (mais attention à la sortie des mouchoirs sur "Je ne regrette rien" d'Edith Piaf) et les acteurs sont bons malgré une quasi-absence des personnages humains. Le final dynamique rattrape l'avis du film, mais l'on devient bien triste lorsque l'on remarque la disparition du vieux clown qui avait fait un AVC... Mieux vaut le premier film pour rire car, malgré une bonne réalisation, le film reste très mélancolique.
2e opus de " babe " . Le cochon babe et son maitre rentre trionphant du concours de chien de berger . La vie a repris tranquillement son cour à la ferme des hoggett ou babe à enfin trouver sa place au milieu des animaux de la ferme . jusqu'au jour où babe , suite à une maladresse , précipite accidentellement mr hoggett au fond du puit . Le malheureux est alors totalement immobilisé et ne peut plus faire tourner sa ferme . L'argent ne rentre plus , les dettes s'accumule et la banque menace de leur saisir la ferme . Pour sauver la ferme Mme hoggett inscrit babe à un nouveau concours de chien de berger qui leur rapporterait l'argent nécessaire pour sauver la ferme. Les voila alors partit pour la ville pour participer au concours , mais une fois arriver sur place tout ne va pas se passer comme prévu et ils vont être embarquer dans une série de mésaventures ... " babe 2 , le cochon dans la ville " est une suite assez décevante de " babe " . Chris noonan cède sa place de réalisateur à George Miller ( le réalisateur de la cultissime saga Mad Max ) et on ne peut pas dire qu'on y gagne au change . Cette suite ne contient plus ni le charme , ni la magie du premier film . L'histoire n'est pas aussi prenante , drôle et touchante que le premier volet . Les nouveaux personnages ( animaux comme humains ) ne sont pas aussi attachant et amusant que ceux du premier opus . Dailleurs les personnages du premier opus nous manque ( ficèle , mr hoggett , qu'on voit très peu dans cette suite ) . Le film met un peu de temps à décoller avec quelques passages un peu longuet et quelques gags lourdingue qui tombent un peu à plat . Le film contient malgré tout quelques moments amusants nottamant dans sa 2e partie grâce aux mésaventures de babe en ville ou il va être confronter aux danger d'une grande ville . Mais sa n'est pas assez exploiter à mon goût . Quitte à envoyer babe à la ville autant exploiter le côté choc des cultures à fond . La on reste un peu sur notre faim on voit au final très peu le cochon dans la ville . Les décors reste également de bonne qualité nottament de la ville assez extravagante qui contient un certain charme même si avec ce changement de décor en ville on ne retrouve plus le charme de la ferme des hoggett qui faisait tout le sel du premier volet . Et la ville est un peu trop exubérante ce qui fait qu'on perd en crédibilité par rapport au premier opus dont la vie dans la ferme restait plutot crédible . Les animaux joue toujour aussi bien leurs rôles et les trucages qui consiste à les faire parler sont toujour aussi réussit . Une suite qui se laisse regarder mais sans plus et qui ne nous laissera pas un souvenir impérissable . Une suite inutile qui n'apporte au final pas grand chose , le premier volet se suffisant largement à lui même . Mieux vaut rester sur la bonne impression du premier opus .