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L'ombre de Bogota (...) vaut pour la gaucherie visionnaire de son style. (...) Le film semble cogner à la porte du monde (...) et n'être qu'une seule et douloureuse interrogation.
(...)Le film a du mal à choisir son registre et en justifier les évolutions, partant du drame pour finir en mélo, tout en passant par le grotesque. Cette ligne un peu trouble et mal maîtrisée nuit considérablement à un propos qui eût mérité plus de tenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
[la deuxième partie] s'attelle à fouiller la relation amicale ambiguë d'Osvaldo et Mane (...) un changement de ton radical qui (...) fige quelque peu les situations (...) Reste un beau travail stylistique (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Son [Ciro Guerra] évidente sincérité et son habileté à créer, à chaque instant, une angoisse diffuse font oublier l'esthétisme permanent de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ce premier long métrage à petit budget d'un jeune cinéaste est un grand film politique.
Les Inrockuptibles
Une fable cruelle sur l'amitié de deux marginaux de Bogota ; métaphore grinçante de la violence colombienne.
Libération
L'ombre de Bogota (...) vaut pour la gaucherie visionnaire de son style. (...) Le film semble cogner à la porte du monde (...) et n'être qu'une seule et douloureuse interrogation.
Le Figaroscope
Un drame réaliste et sans concession.
Le Monde
(...)Le film a du mal à choisir son registre et en justifier les évolutions, partant du drame pour finir en mélo, tout en passant par le grotesque. Cette ligne un peu trouble et mal maîtrisée nuit considérablement à un propos qui eût mérité plus de tenue.
Positif
[la deuxième partie] s'attelle à fouiller la relation amicale ambiguë d'Osvaldo et Mane (...) un changement de ton radical qui (...) fige quelque peu les situations (...) Reste un beau travail stylistique (...)
Télérama
Son [Ciro Guerra] évidente sincérité et son habileté à créer, à chaque instant, une angoisse diffuse font oublier l'esthétisme permanent de sa mise en scène.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com