Film gentillet et consensuel qui se laisse regarder. Les acteurs.trice.s jouent justes, pourtant il manque une étincelle. Probablement dû à la faiblesse de celle qui joue le rôle de l'ado, bien trop sage et transparente, alors qu'elle est censée être tout l'inverse. Une fatale erreur de casting.
Une comédie sans prétention, qui est juste là pour se divertir. Un Vincent Elbaz plutôt bon dans son rôle de rocker has-been looser, mais un film pas non plus passionnant.
Olivier Plas n'a fait depuis 2007 que ce seul long métrage : je ne m'en plaindrai pas ! Il faut déjà attendre 20 minutes pour entrer dans le sujet... Un thème de paternité surprise maintes fois abordé, mais avec infiniment plus de chaleur humaine et d'émotion. Vincent Elbaz découvre pour la première fois au bout de treize ans sa fille dont il ne connaissait jusqu'alors pas l'existence. L'élan du père est alors aussi chaleureux qu'un ours polaire tombant amoureux d'une baleine ! Et encore, il faudrait voir quel ours ! Les comédiens font ce qu'ils peuvent avec un scénario fourre-tout aussi plat que le calme du même nom. Seule Frédérique Bel arrive à convaincre et quand même à intéresser un peu. Ratage complet : ce n'est pas les spectateurs en salles qui me contrediront puisqu'ils ne sont même pas 200 000 à avoir cassé leur tirelire pour voir ce tissu d'incohérences ! willycopresto
Ce petit film franchouillard propose d'explorer les rapports père-fille qui, il faut bien l'avouer, sont des sujets inépuisables. L'ambition était donc louable. Mais ici, point d'intrigue, ni d'originalité. La narration passe en revue les clichés du looser qui cherche à connaître sa descendance sans trop savoir ce qui l'anime, et de la gamine déboussolée qui va enfin trouver l'équilibre à sa vie grâce à lui. C'est une belle histoire, mais difficile d'y croire. Le manque de réalisme des personnages ne permet pas une réelle immersion, ni le jeu des acteurs, tout au plus passable. Un film qui avait sans doute des prétentions, qui se laisse regarder, mais sans parvenir à nous atteindre au cœur.
On aurait pu croire que ce film serait davantage destiné aux plus jeunes et notamment aux adolescents mais Tel Père, telle fille drague un public plus large. On assiste ainsi à la prise de maturité de ce rocker has-been, se rendant enfin compte qu’il a des responsabilités à tenir. Une comédie française plutôt sympathique servie par un très bon Vincent Elbaz totalement immergé dans le rôle de Bruno. Ce dernier devient rapidement attachant par sa nonchalance. Si vous avez simplement envie de vous détendre, vous pouvez donner une chance à ce film qui est par ailleurs l’adaptation d’un roman de Virginie Despentes.
Un film sur l'art d'être père (et d'être mère). Les difficultés de cet homme qui a déjà du mal à assumer sa propre vie et ses relations hasardeuses avec les femmes, donnent l'occasion de scènes plausibles et courantes dans la vraie vie, ce qui fait parfois sourire et parfois réfléchir. Mis à part le fait que j'ai trouvé la conclusion du film un peu "téléphonée" et un peu simpliste, ce film est une bonne comédie.
Bizarrement c'est très agréable à regarder, en particulier parce qu'il y a une bonne atmosphère sincère dans le jeu des acteurs, sauf la fillette. Ca ne reste pas dans les mémoires, mais c'est bien au-dessus d'un téléfilm sur le même sujet.
Une comédie sympathique, assez enjouée sur le choc des générations. Dommage que Vincent Elbaz ne soit pas crédible en rocker. La faute peut-être à la chanson du film ("ma génération") qui est loupée ! Autre défaut : le film ne dure que 1h20. C'est peu !
Décidement les comédies françaises et moi a part quelques une ce n'est pas mon truc,pourtant j'aime beaucoup Vincent Elbaz depuis La vérité si je mens 1,mais après cela plus dire que cette comédie rock est un ratage complèt , le cinéma français devient de plus en plus nul. C'est simple je suis pas allé jusqu'au bout ,je me suis arrêter lorsque Frederique Bell foutspoiler: un coup de sac au pauvre Elbaz,lorsque celui ci lui dit "veux tu que je te fasse un enfant" ,ce film ne m'a pas fait décoché un sourire,je n'ai pas tenu j'ai changer de programme.
Il est vrai que Tel père, telle fille tranche un peu avec les autres romans de Virginie Despentes tels que Baise-moi ou Les jolies choses. Un petit peu plus optimiste peut-être. Là, on a une star du rock déchue qui apprend du jour au lendemain qu'il a une fille qui rentre de plein pied dans le monde de l'adolescence avec les tracas qui vont avec. Il devra donc gérer cette puberté sa vie sentimentale, professionnelle toutes aussi compliquées. Pour son premier long-métrage, Olivier de Plas a pu bénéficier pour l'écriture du scénario de l'aide d'un autre réalisateur : Bernard Jeanjean, auteur de deux études de moeurs : J'me sens pas belle et j'veux pas que tu t'en ailles. D'où la justesse de certaines situations mettant en scène la jeune Daisy Broom tête à claque à souhait. Le film étant assez bref (1h20), il se suit sans déplaisir malgré certaines situations sentant forcément le réchauffé (le père éternel ado déboussolé au départ, l'ex femme dépressive, la gamine rebelle qui fugue). Mais les comédiens sont sympathiques et talentueux alors après tout...
Film court (1h20) mais de toute façon, suffisamment long pour parler de l’histoire de ce père, looser, qui reprend sa vie en main pour s’occuper de sa fille adolescente. Quelques rares passages sont comiques, mais l’ensemble reste moyen.
J'en esperais rien et finalement c'est pas un super film mais ce n'est pas mauvais non plus qq moments agréables, réaliste, pas tres long on passe un bon moment