J'ai l'impression de me répéter à chaque fois que j'écris une critique sur un film coréen : le réalisateur met une grosse claque à la plupart de nos cinéastes occidentaux. Si ici l'image n'est pas extraordinaire, si les effets comme les split-screen et autres ralentis peuvent sembler faciles, c'est dans ses scènes de baston très intenses qu'il va être remarquable. Le scénario est honorable mais manque fortement d'originalité, c'est là son principal point faible.
Un bon film d'action avec une mise en scène assez travaillé et qui m'a fait pensé aux vieux films d'arts martiaux des années 70-80. C'est dynamique, bien joué et bien filmé, rien de révolutionnaire ou de véritablement marquant mais c'est efficace et rondement mené !
Quelques bonnes scènes de bagarre et une bo sympa, ça m'a fait parfois penser à du Tarantino en moins bien. Les dialogues laissent à désirer. Le scénario est basique.
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1,0
Publiée le 11 octobre 2020
Oubliez l'intrigue c'était assez compliqué et oubliez le mauvais jeu des acteurs car les personnages comptaient plus sur leur apparence que sur leurs compétences. Les scènes de combat étaient tout simplement mauvaises. Les bons gars pouvaient se battre pendant des périodes extrêmement longues contre d'innombrables rivaux faisant des acrobaties compliquées tout en saignant de toutes les extrémités et ne jamais manquer d'énergie pour faire des mouvements plus techniques laissant leurs rivaux probablement parce que ils ont consommé leur boisson spéciale d'endurance. Les seuls points positifs de The City of Violence étaient les décors. Mais j'ai besoin de plus d'histoire ou de plus d'action dans ce type de film...
Ce que j’aime dans le cinéma coréen c’est cette capacité de mélanger les genres dans un même film parfois même dans une même scène. The City of Violence en est un parfait exemple et le fait en plus de manière très poussée et décomplexée. Pour celui ci il vaut mieux être averti car il peut s’avérer déstabilisant. On a une enquête policière, du drame autour du temps qui détruit tout, même la bande d’amis la plus unis, de l’action avec notamment une scène de bataille rangée dans une rue totalement déjantée, de l’humour. Tous les curseurs sont poussés au maximum et on peut donc reprocher à ce film un manque de finesse, mais pas de générosité.
The City of violence est un polar plutôt réussi alternant entre présent et passé. Si un spectateur occidental peut parfois être un peu déstabilisé par l’interprétation exagérée typique du cinéma asiatique, il peut le suivre sans déplaisir pour autant. Mais ce sera dans la dernière séquence qu’il adhérera totalement à l’œuvre de Ryoo Seung-wan. En effet, ce passage très inspiré par le Kill Bill de Quentin Tarantino est juste démentiel et possède toute la folie et toutes les qualités que le cinéma d'action asiatique peut posséder. The City of violence est donc un bon polar qui est à ne pas rater pour cette dernière très longue séquence.
Le film n’ennuie pas vraiment et se laisse regarder,sans aucune autre prétention que de nous divertir même si le traitement du scénario est légèrement risible.
Ce n'est pas forcément ce que le cinéma coréen a fait de mieux : le scénario ne casse pas des briques et l'image a un petit côté téléfilm, mais les mouvements de caméra et les scènes de baston superbement chorégraphiées en font un film d'action de premier ordre.
« The City of Violence » est un film moyen disposant d’une histoire très simpliste. L’intrigue est réduite comme peau de chagrin. Le rythme est plutôt plaisant offrant de nombreuses scènes de combat à mains nues et/ou avec armes contondantes. La photographie offre quelques visuels originaux. La distribution est plutôt mauvaise dans la partie dramatique mais particulièrement efficace pour ne pas dire impressionnante dans les scènes d’action. Un film qui reste fun et qui permet de mettre son cerveau au repos.
Korea Powa !!! Encore une maîtrise niveau réalisation. Fondus, plans d'enchainements à la Old Boy, des musiques excellente de plusieurs styles. Des acteurs tops, un ami d'enfance du coté des méchants qui se prend pour le roi de la Corée il es juste fantastique dans son jeu.
The City of Violence n'est pas un mauvais polar coréen mais il peine à égaler les meilleurs du genre, le film mélange trop les tons de manière peu convaincante passant de l'action pure (avec une scène assez dantesque ou le flic affronte plusieurs bande de jeunes un peu comme dans Les Guerriers de la nuit de Walter Hill) au polar sombre. The City of Violence est trop bancal pour nous enthousiasmer.
On ne retiendra surement pas "The City of violence" parmi la fleur du cinéma policier coréen. La faute à un scénario bancal et une mise en scène dépassée, ringarde, faisant presque penser à un film des 90's. Néanmoins, si l'on est pas trop regardant sur les incohérences et certains défauts techniques ou/et artistiques, ce long métrage se laisse regarder.
Un film coup de poing a l'esthétisme léchée. De l'action intense comme si on y était. Le scénario est un prétexte a l'action pour créer des situations originales. Au niveau des combats le film est au top. J'aime aussi beaucoup son ambiance qui m'a tout de suite accrochée.
Un film avec un scenario creux qui nous permet de mettre notre cerveaux en veille, des scenes de combat plutot sympatique malgré certaines qui sont un peu brouillon et une bande son western fort sympa même si je trouve que sa colle pas trop au scene Par contre Je n'est pas etait decu du combat final. Un film que je classe dans ma categorie film du dimanche, tu pose ton cerveau et tu apprecie l'action!