Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Chargée d'une gravitée et d'une nécessité politique nouvelles, délestée aussi de toute surenchère formelle, la lenteur de Tsai renonce au vide pour s'emplir de la durée des affects.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film (...) plein de surprises. Une sorte d'opérette fantastique dont le héros serait le lumpenproletariat de Kuala Lumpur (...) Charge érotique propre à Tsaï Ming-Liang (...) douce frénésie dans un monde froid comme la mort.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le trouble puissant de "La Rivière" s'était quelque peu dissipé, il ressurgit enfin dans la moiteur désespérée de "I Don't Want to Sleep Alone"
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Elise Domenach
Tsai retrouve une "triangulation des lieux, des récits et des désirs" (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Par sa simple virtuosité formelle, le réalisateur place dans un état de sidération ceux qui adorent par-dessus tout la contemplation jamais complaisante et l'émotion jamais fabriquée. La conclusion, sublime comme dans tous les Tsai Ming-liang, rappelle que la beauté se passe de commentaires. Grand film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Héléna Villovitch
(...) à travers ses images d'une grande beauté, l'amour est omniprésent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
(...) les longs plans fixes frontaux à la composition interne savamment élaborée, une lumière de néons blafards, ainsi qu'une bande-son ultra-travaillée laissant toute leur place aux silences, sont au rendez-vous. Rien de mieux pour rendre le sentiment d'oppression qui nous envahit (...)
Ouest France
par La rédaction
Le nouveau film de Tsai Ming-Liang, le réalisateur qui avait fait apprécier "La saveur de la pastèque" (...) Avec sa manière qui ne craint pas les silences, les plans fixes et les temps morts.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un poème urbain et languissant, où le corps et sa sensualité affligée pallient l'absence revendiquée de dialogue. Magnifique.
Télérama
par Jacques Morice
Même au fond du désespoir et de la mouise, il y a toujours une lueur d'espoir. C'est la force de ce cinéma éminemment poétique où ce qui reste de vivant chez les personnages rappelle l'inertie majestueuse de certains animaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Tout intelligent qu'il est, Tsai semble prisonnier de ses propres films, un peu victime de leurs mouvances.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Entre torpeur et apesanteur, une plongée dans un labyrinthe mélancolique et merveilleusement silencieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Qui connaît le réalisateur malaisien Tsai Ming-Liang sait à quel point il est avare en mouvements mais quasi-inégalé dans la science du cadrage (...) Ce qui l'attire, ce sont les silences, le ressenti (...) D'où la torpeur ambiante qui plombe parfois le film et risque de frustrer les esprits cartésiens.
Première
par Didier Roth-Bettoni
On reste sidéré par sa manière de proposer des plans fixes où rien ne se fige jamais, son sens incroyable du silence (...) sa gestion du temps, sa liberté de représentation du sexe... Un film moyen de Tsai Ming-Liang vaut la plupart des meilleurs films des autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Score
par Alex Masson
(...) les familiers du réalisateur reconnaîtront vite sa petite musique personnelle (...) Les acquis à sa cause vont continuer à y voir un exceptionnel chaînon manquant entre Tarkovski et Wong Kar-Wai; les rétifs à cet univers de moiteur, une exténuante épreuve de patience.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
Chargée d'une gravitée et d'une nécessité politique nouvelles, délestée aussi de toute surenchère formelle, la lenteur de Tsai renonce au vide pour s'emplir de la durée des affects.
Le Monde
Un film (...) plein de surprises. Une sorte d'opérette fantastique dont le héros serait le lumpenproletariat de Kuala Lumpur (...) Charge érotique propre à Tsaï Ming-Liang (...) douce frénésie dans un monde froid comme la mort.
Les Inrockuptibles
Le trouble puissant de "La Rivière" s'était quelque peu dissipé, il ressurgit enfin dans la moiteur désespérée de "I Don't Want to Sleep Alone"
Positif
Tsai retrouve une "triangulation des lieux, des récits et des désirs" (...)
aVoir-aLire.com
Par sa simple virtuosité formelle, le réalisateur place dans un état de sidération ceux qui adorent par-dessus tout la contemplation jamais complaisante et l'émotion jamais fabriquée. La conclusion, sublime comme dans tous les Tsai Ming-liang, rappelle que la beauté se passe de commentaires. Grand film.
Elle
(...) à travers ses images d'une grande beauté, l'amour est omniprésent.
L'Humanité
(...) les longs plans fixes frontaux à la composition interne savamment élaborée, une lumière de néons blafards, ainsi qu'une bande-son ultra-travaillée laissant toute leur place aux silences, sont au rendez-vous. Rien de mieux pour rendre le sentiment d'oppression qui nous envahit (...)
Ouest France
Le nouveau film de Tsai Ming-Liang, le réalisateur qui avait fait apprécier "La saveur de la pastèque" (...) Avec sa manière qui ne craint pas les silences, les plans fixes et les temps morts.
TéléCinéObs
Un poème urbain et languissant, où le corps et sa sensualité affligée pallient l'absence revendiquée de dialogue. Magnifique.
Télérama
Même au fond du désespoir et de la mouise, il y a toujours une lueur d'espoir. C'est la force de ce cinéma éminemment poétique où ce qui reste de vivant chez les personnages rappelle l'inertie majestueuse de certains animaux.
Chronic'art.com
Tout intelligent qu'il est, Tsai semble prisonnier de ses propres films, un peu victime de leurs mouvances.
Le Journal du Dimanche
Entre torpeur et apesanteur, une plongée dans un labyrinthe mélancolique et merveilleusement silencieux.
MCinéma.com
Qui connaît le réalisateur malaisien Tsai Ming-Liang sait à quel point il est avare en mouvements mais quasi-inégalé dans la science du cadrage (...) Ce qui l'attire, ce sont les silences, le ressenti (...) D'où la torpeur ambiante qui plombe parfois le film et risque de frustrer les esprits cartésiens.
Première
On reste sidéré par sa manière de proposer des plans fixes où rien ne se fige jamais, son sens incroyable du silence (...) sa gestion du temps, sa liberté de représentation du sexe... Un film moyen de Tsai Ming-Liang vaut la plupart des meilleurs films des autres.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Score
(...) les familiers du réalisateur reconnaîtront vite sa petite musique personnelle (...) Les acquis à sa cause vont continuer à y voir un exceptionnel chaînon manquant entre Tarkovski et Wong Kar-Wai; les rétifs à cet univers de moiteur, une exténuante épreuve de patience.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr