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Votre avis sur City of crime ?
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Le film ouvre sur un somptueux morceau de Massive Attack, on commence à saliver. L'histoire se met en place, pas exaltante, mais on se dit que ça va vraiment partir ensuite. Et ça part. C'est du moins ce qu'on pense, avant de comprendre que "City of violence" s'égare irrémédiablement dans les méandres de la médiocrité. Les dix dernières minutes, super chiantes, donnent le coup de grâce. En résumé, le crédit de sympathie que possède le film au générique se dilue peu à peu dans un océan d'ennui. La belle prestation d'Harvey Keitel n'y change rien. A noter la présence charmante mais décorative de Lucy Liu, juste avant qu'elle ne débute dans Ally McBeal.
Un bon petit film qui aurait peut-être mérité trois étoiles... Harvey Keitel est au mieux de sa forme (j'aimerais être aussi musclé à son âge!!) mais il est vrai que l'histoire, au fond, est assez banale. La B.O., pour peu qu'on prête l'oreille, est superbe (Massive Attack...) et l'on remarque la présence de Famke Jansen, la futur X-men Woman!!!
Certes le scénario n'est pas d'une grande originalité, mais nous avons là une excellente série B qui remplit parfaitement son cahier des charges une réalisation et une photographie fort correctes, un bon rythme, Harvey Keitel y est magistral comme souvent, le méchant (Stephen Dorff) est très réussi. Famke Janssen est superbe, on a des cascades automobiles et des gunfight efficaces et qui ont la bonne idée de ne pas s'éterniser, quelques bagarres viriles et ensanglantées et même quelques strip-teaseuses à poil. Que demander de plus ?
soniadidierkmurgia
Harvey Keitel truand à l’ancienne qui travaille avec de jeunes loups n’apprécie pas que l’un d’entre eux le double après un coup et en plus lui tue son frère. Harvey se lance donc tel un loup solitaire sur la trace du jeune en question bien décidé à lui régler son compte. Une fois de plus Harvey est parfait dans ce rôle de justicier à sang froid que rien ni personne ne peut détourner de son but.
Henrico
Traduire en français le titre anglais d’un film par un autre titre anglais relève d’un degré de bêtise très impressionnant. A la bêtise, s’ajoute la paresse. Car, un dictionnaire ordinaire aurait facilement pu permettre aux distributeurs du film en France d’aboutir à « Une ville en affaires », ou un truc du genre… En fait ce titre fait référence à l'idée que dernière cette histoire de casse qui ne devrait impliquer que , des braqueurs, sont mêlés aussi d'autres citoyens: avocat, chef d'atelier de confection le jour et receleur la nuit, officière chargée des écoutes policières, trafiquant d'armes, bijoutiers. etc...En fait les portraits sont trop brefs, et trop nombreux, pour qu’on accroche pleinement à cette histoire. Et, c’est seulement sur les épaules du personnage de Harvey Keitel que semble reposer l’essentiel du suspense. Le scénario aurait pu être un autre aspect intéressant du film mais les rebondissements sont si prévisibles et amenés par John Irvin de manière si peu subtile. Que l’on s'ennuie parfois. Ni le pire ni le meilleur film de l'irlandais.
Un polar basique , très peu inspiré et porter par un Harvey Keitel divin mais dur pour un acteur de donner de la qualité a tout un film . Une histoire classique et qui frôle le risible , des copies de "Reservoir Dogs" ou "Heat" qui sont terriblement flagrante et une deuxième partie façon Vendetta qui finit en queue de poisson . Un Harvey Keitel au sommet de son art , le pur gangster qui respecte les codes de conduite (Un vrai samourai , calme et instinctif) , mais pas aider par des pseudo-truands qui tentent de lui voler la vedette , en vain (Stephen Dorff est plus énervant qu'autre chose , a gueuler ou s'exciter comme un taré) . Une mise en scène longue , passive , des plans fixes et des dialogues vides qui essayent de s'approcher du style Tarantino sans succès , mais quelques bons morceaux de la BO sauve un peu le bilan très morose de ce polar . Un film lent , vide mais sauver par l'excellent Harvey Keitel .
Redzing
Un truand vétéran et solitaire décide d'aider son frère à braquer une bijouterie de luxe. Bien évidemment, les choses vont tourner au vinaigre... Polar quelques peu anecdotique (on a parfois l'impression de voir un sous-"Heat", sorti 2 ans plus tôt), "City of Industry" n'en est pas pour le moins déplaisant. La mise en scène de John Irvin (réalisateur inégal) tient la route, et les personnages proposés sont intéressants : Harvey Keitel en frère vengeur qui aligne le minimum de mots nécessaires à son but, Famke Janssen en veuve pleine de ressource, Stephen Dorff en excité appâté par le gain, etc. Par ailleurs, l'intrigue démarre sur les chapeaux de roue, et s'avère bien dosée. Le film aurait pu briller davantage avec une réalisation plus acerbe, mais le résultat demeure satisfaisant.
AMCHI
Si Irvin a fait de bons films il en a aussi fait de très mauvais donc en regardant une de ses réalisations c'est un peu pile ou face alors qu'en est-il de City of crime ? Un polar avec Harvey Keitel ça donne plutôt envie non et ouf City of crime est bon. Ne vous attendez pas à de l'originalité mais c'est un polar très nerveux au rythme soutenu, Irvin ne perd pas de temps, les situations s'enchaînent rapidement et Keitel en gars qui veut venger la mort de son frère joue bien son personnage taciturne, les scènes d'action et autres fusillades sont bien faites. Jamais de baisse de régime et si une fois le film fini on se dit bien qu'il y a quelques incohérences et un final moins explosif que ce l'on espérait par contre j'ai apprécié ce film car je ne suis pas emmerdé un seul instant en le matant. Du polar carré et nerveux comme je les aime et qui ne perd pas de temps en blabla qui se la pètent.
pierrre s.
Sombre et burné, ce polar conventionnel mais efficace comblera les amateurs du genre, ainsi que ceux d'Harvey Keitel.
Caine78
Un très solide polar, avec une mise en scène d'une grande efficacité et un casting de qualité. Sans révolutionner le genre, c'est un très bon divertissement d'une heure et demie, sans temps mort mais aussi avec un scénario tout à fait honnête, et qui est privilégié par rapport à l'action pur, ce qui est un bien bel atout par rapport à un immense nombre de films d'action moyens ou médiocres. Harvey Keitel y est impeccable comme à l'accoutumé et Stephen Dorff lui rend plutot bien, dans un rôle presque sur mesure. Du bon cinéma d'action.
Le Rabzz
Un bon film que j'ai apprécié, puis avec Harvey Keitel j'ai pas hésité pour regarder ce film, malheureusement il y'a presque aucun ton, le film est très très mou, l'intrigue met un certain temps avant de se mettre en route, mais juste pour ce casting, ca vaut le coup de le voir.
Le scénariste, apparemment pas inspiré, a pondu une histoire bourrée de facilités et d'invraisemblances (les malfrats se soucient vraiment pas de la police, entre le braquage à visage découvert ou les fusillades au milieu des témoins...). Le scénar, maigrelet et balisé donc, n'est pas non plus transcendé par la réalisation sans saveur voir moche de John Irvin. Harvey Keitel est en mode teckel hargneux comme d'hab et Stephen Dorff nous refait son numéro habituel de métro-sexuel borderline. Le tout est assez efficace pour ne pas nous ennuyer, il y a quelques passages assez violents et on note des idées qui auraient pu être intéressantes mais à peine esquissée (la relation entre Keitel et Famke Janssen). On peut aussi se poser des questions sur l'intérêt de faire intervenir des gangs black et asiatique de manière aussi peu crédible (les gars sont bêtes comme leurs pieds et manipulables à souhait). Enfin bref de gros soucis d'écriture, une histoire qui enchaine les clichés du polar sec et brutal, une réalisation sans éclat et des acteurs qui font le minimum syndical, mais malgré tout on se fait quand même pas trop chier.
City of Crime raconte l'histoire de quatres malfrats qui partent cambrioler une bijouterie,au moment du partage du butin l'un d'eux tue les autres et s'enfuit avec le butin mais un membre du groupe(incarné par Harvey Keitel)survit et se jure de tuer le traître.Le film est très ennuyeux parce qu'il ne se passe pas grand-chose,il n'est pas très connu et on comprend pourquoi!L'interpretation d'Harvey Keitel m'a parue très médiocre pour un acteur comme lui mais cette pensée à été vite oubliée en voyant Pulp Fiction.
Vous avez un grand éventail d'acteurs dans City of Crime. Mais un méchant caricatural dans un film réaliste ça ne marche pas pour le public. Bien sûr ce n'est pas entièrement de sa faute car il y a un scénario minable et une réalisation prétentieuse au rythme trop lent. Je pense que le réalisateur John Irvin avait l'impression de mettre en scène quelque chose de beaucoup plus significatif que cette absurdité de vengeance de type tirez leurs dessus. Et par moments il a fait preuve d'un style visuel soigné qui aurait pu fonctionner avec un meilleur scénario. Stephen Dorff donc tu l'as fait pour avoir la chance de travailler avec Harvey Keitel et quel acteur ne le ferait pas. Mais il mérite mieux que ça aussi comme rôle. Certes il joue le rôle avec le poids tragique et il y croit presque mais nous on n'y crois pas. Mais que faisait Timothy Hutton qui est un acteur brillant mais qui est complètement gâché dans ce film. Peut-être l'a-t-il fait aussi pour Harvey allez savoir. Alors s'il vous plaît Stephen choisissez plus soigneusement vos rôles la prochaine fois et rappelez-vous que vous êtes aussi un bon gars...
Simple polar carré et efficace aux premiers abords, City of Crime prend une dimension supérieure si on le considère comme une sorte de préquel à Reservoir Dogs. Parmi les nombreuses passerelles utilisables entre les 2 oeuvres, la plus solide repose sur le truand "incarné" (le mot n'est pas usurpé) par Harvey Keitel.
C'est simple, Roy Egan EST Mr.White : un braqueur intègre dont les valeurs ne s'accordent plus avec le monde qui l'entoure. Professionnel, disposant d'un code d'honneur il est cependant capable d'actes d'une grande violence une fois dos au mur. L'acteur livre la même performance viscérale que dans le chef-d'oeuvre théatral de Tarantino.
Un film à voir.
C'est simple, Roy Egan EST Mr.White : un braqueur intègre dont les valeurs ne s'accordent plus avec le monde qui l'entoure. Professionnel, disposant d'un code d'honneur il est cependant capable d'actes d'une grande violence une fois dos au mur. L'acteur livre la même performance viscérale que dans le chef-d'oeuvre théatral de Tarantino.
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