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Votre avis sur Le Message ?
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SI vous avez aimé les 10 commandement , vous devriez regarder ce film.
J'avais vue au Maroc pendant le Ramdhan au Cinema fin des année 80 mais j'etais trop jeune donc pas de souvenir .
Find des années 90 en France , mon pèere avait acheter le coffret de k7 VHS avec les 2 versions Arabe avec des acteurs arabes et Internationale avec des acteurs Occidentaux.Les 2 version sont magnifique
J'avais vue au Maroc pendant le Ramdhan au Cinema fin des année 80 mais j'etais trop jeune donc pas de souvenir .
Find des années 90 en France , mon pèere avait acheter le coffret de k7 VHS avec les 2 versions Arabe avec des acteurs arabes et Internationale avec des acteurs Occidentaux.Les 2 version sont magnifique
Le Message (The Message), réalisé par Moustapha Akkad en 1976, est un film épique qui retrace avec grandeur et respect la naissance de l'islam et la vie du Prophète Muhammad, tout en parvenant à capter l'essence spirituelle et historique de cet événement sans jamais montrer directement le Prophète, conformément à la tradition islamique. Ce film est un chef-d'œuvre sous-coté, souvent éclipsé par les grandes productions hollywoodiennes de son époque, alors qu'il est pourtant d'une rare ambition cinématographique et historique.
L'une des forces majeures de Le Message est son traitement respectueux et rigoureux de l'histoire. Moustapha Akkad, conscient de la sensibilité de son sujet, parvient à relater les moments clés de la naissance de l'islam – des premières révélations à la résistance des Quraychites de La Mecque – tout en restant fidèle à l’esprit du message spirituel de la religion. Ce pari audacieux est relevé avec brio grâce à une réalisation sobre mais efficace, et une narration à la fois claire et inspirante.
Le casting est porté par des performances mémorables, en particulier celle d'Anthony Quinn dans le rôle de Hamza, l'oncle du Prophète. Quinn incarne avec intensité un homme tiraillé entre son amour pour sa famille et son engagement envers cette nouvelle foi. De même, Irene Papas offre une performance marquante dans le rôle de Hind, un personnage qui incarne la résistance farouche aux enseignements de Muhammad avant de se transformer. Les personnages secondaires sont eux aussi bien développés, permettant de donner de la profondeur à l'intrigue.
L’aspect visuel du film mérite également d’être salué. Les décors magnifiquement recréés de La Mecque et de Médine plongent le spectateur dans une époque lointaine, tandis que la musique, composée par Maurice Jarre, sublime chaque scène avec une intensité émotionnelle rare. Les batailles, notamment celles de Badr et d’Uhud, sont filmées avec une précision remarquable, tout en restant fidèles aux réalités historiques.
L’une des raisons pour lesquelles Le Message est sous-coté réside probablement dans sa nature même : un film historique et religieux qui ne se conforme pas aux standards habituels du cinéma hollywoodien. Pourtant, c'est justement cette singularité qui en fait une œuvre d’exception. Akkad a créé une fresque universelle sur la foi, la justice et la lutte pour la liberté, des thèmes intemporels qui résonnent bien au-delà du contexte religieux.
En conclusion, Le Message est un chef-d’œuvre qui mérite d’être reconnu pour sa contribution au cinéma et à l’histoire culturelle. Sous-coté à sa sortie, il a su trouver son public au fil du temps et reste, aujourd’hui encore, un modèle de film historique intelligent, respectueux et captivant.
L'une des forces majeures de Le Message est son traitement respectueux et rigoureux de l'histoire. Moustapha Akkad, conscient de la sensibilité de son sujet, parvient à relater les moments clés de la naissance de l'islam – des premières révélations à la résistance des Quraychites de La Mecque – tout en restant fidèle à l’esprit du message spirituel de la religion. Ce pari audacieux est relevé avec brio grâce à une réalisation sobre mais efficace, et une narration à la fois claire et inspirante.
Le casting est porté par des performances mémorables, en particulier celle d'Anthony Quinn dans le rôle de Hamza, l'oncle du Prophète. Quinn incarne avec intensité un homme tiraillé entre son amour pour sa famille et son engagement envers cette nouvelle foi. De même, Irene Papas offre une performance marquante dans le rôle de Hind, un personnage qui incarne la résistance farouche aux enseignements de Muhammad avant de se transformer. Les personnages secondaires sont eux aussi bien développés, permettant de donner de la profondeur à l'intrigue.
L’aspect visuel du film mérite également d’être salué. Les décors magnifiquement recréés de La Mecque et de Médine plongent le spectateur dans une époque lointaine, tandis que la musique, composée par Maurice Jarre, sublime chaque scène avec une intensité émotionnelle rare. Les batailles, notamment celles de Badr et d’Uhud, sont filmées avec une précision remarquable, tout en restant fidèles aux réalités historiques.
L’une des raisons pour lesquelles Le Message est sous-coté réside probablement dans sa nature même : un film historique et religieux qui ne se conforme pas aux standards habituels du cinéma hollywoodien. Pourtant, c'est justement cette singularité qui en fait une œuvre d’exception. Akkad a créé une fresque universelle sur la foi, la justice et la lutte pour la liberté, des thèmes intemporels qui résonnent bien au-delà du contexte religieux.
En conclusion, Le Message est un chef-d’œuvre qui mérite d’être reconnu pour sa contribution au cinéma et à l’histoire culturelle. Sous-coté à sa sortie, il a su trouver son public au fil du temps et reste, aujourd’hui encore, un modèle de film historique intelligent, respectueux et captivant.
Le film est bien joué, bien réalisé, et surtout intelligemment pensé. J'avais quelques craintes quant à regarder un film dont le protagoniste principal ne peut être montré à l'écran, mais cela est fait avec élégance.
Quelques facilités d'écriture rendent parfois l'avancement de l'histoire trop attendu, mais l'ensemble, de presque 3 heures, coule plutôt bien.
Quelques facilités d'écriture rendent parfois l'avancement de l'histoire trop attendu, mais l'ensemble, de presque 3 heures, coule plutôt bien.
Une fresque historique instructive mais trop artificielle et manquant de souffle sur la naissance de l’Islam. 2,25
Redzing
Un biopic sur Mahomet sans montrer Mahomet ? En voilà un projet osé ! Outre la sensibilité évidente du sujet, c'est à la base un sacré défi narratif.
En réalité, "The Message" est surtout un film sur les débuts de la religion musulmane. Evoquant les premiers fidèles de Mahomet, son culte grandissante, et l'opposition d'aristocrates de la Mecque qui n'étaient pas trop en phase avec un changement d'idéologie (pour des raisons tout autant religieuses qu'économiques).
Je connais très mal le sujet à la base, d'où l'intérêt pour moi de voir un film dessus ! Je ne saurais dire si l'ensemble est pertinent historiquement ou théologiquement. En tout cas, comme le clame fièrement le générique, le scénario a été validé par des universitaires spécialistes de l'islam. Pour autant, le film n'a pas eu un accueil tendre chez toutes les communautés musulmanes. Il y a eu à l'époque des menaces, et il fut interdit dans plusieurs pays.
J'ai du mal à comprendre pourquoi, car on se trouve en présence d'un film religieux semi-prosélytique, qui dresse un portrait très flatteur de l'islam. Comme ont pu le faire de grosses productions hollywoodiennes à propos du judaïsme ou du christianisme ("The Ten Commandments", "Ben-Hur"). "The Message" insiste sur les valeur à la base saine de cette religion, telles que l'équité, la tolérance, ou l'entraide.
Certes, c'est fait de manière primaire. Les gentils fidèles de Mahomet affrontent les méchants marchands de La Mecque. Le film bénéficie tout de même de décors naturels désertiques, de figurants, de nombreux personnages, mais tout ceci peine parfois à respirer. On est souvent coincé dans des discussions longuettes en intérieur.
La dernières heure est plus généreuse, offrant quelques batailles, et un peu de souffle épique. La BO de Maurice amène elle-aussi un peu d'entrain, quoique les notes fassent parfois penser à celle de "Lawrence of Arabia", qu'il avait également composée. Il y a aussi de bonnes têtes dans la version tournée en anglais (il existe également un version tournée en arabe, avec d'autres acteurs). Anthony Quinn en guerrier déterminé, ou Irene Papas en épouse vengeresse.
Quant au fameux choix de ne pas monter Mahomet, qu'en est-il ? Ils ont décidé de l'évacuer du récit autant que possible (ellipses, voix-off...). Quand il n'y a pas d'autres options, c'est du contre-champs, de la vue subjective, du hors champs... Ca reste assez artificiel, voire maladroit, on se croirait par moment dans les jeux vidéos Half Life, avec son célèbre protagoniste muet ! Clairement ça n'aide pas le film, mais je salue l'audace de la démarche, surtout à but religieux (et commercial ?).
"The Message" reste d'ailleurs un film ambitieux pour Moustapha Akkad, dont il s'agit de la première réalisation ! Si ce nom vous parle, le bonhomme est surtout connu pour être le producteur de la franchise Halloween (!!!).
En réalité, "The Message" est surtout un film sur les débuts de la religion musulmane. Evoquant les premiers fidèles de Mahomet, son culte grandissante, et l'opposition d'aristocrates de la Mecque qui n'étaient pas trop en phase avec un changement d'idéologie (pour des raisons tout autant religieuses qu'économiques).
Je connais très mal le sujet à la base, d'où l'intérêt pour moi de voir un film dessus ! Je ne saurais dire si l'ensemble est pertinent historiquement ou théologiquement. En tout cas, comme le clame fièrement le générique, le scénario a été validé par des universitaires spécialistes de l'islam. Pour autant, le film n'a pas eu un accueil tendre chez toutes les communautés musulmanes. Il y a eu à l'époque des menaces, et il fut interdit dans plusieurs pays.
J'ai du mal à comprendre pourquoi, car on se trouve en présence d'un film religieux semi-prosélytique, qui dresse un portrait très flatteur de l'islam. Comme ont pu le faire de grosses productions hollywoodiennes à propos du judaïsme ou du christianisme ("The Ten Commandments", "Ben-Hur"). "The Message" insiste sur les valeur à la base saine de cette religion, telles que l'équité, la tolérance, ou l'entraide.
Certes, c'est fait de manière primaire. Les gentils fidèles de Mahomet affrontent les méchants marchands de La Mecque. Le film bénéficie tout de même de décors naturels désertiques, de figurants, de nombreux personnages, mais tout ceci peine parfois à respirer. On est souvent coincé dans des discussions longuettes en intérieur.
La dernières heure est plus généreuse, offrant quelques batailles, et un peu de souffle épique. La BO de Maurice amène elle-aussi un peu d'entrain, quoique les notes fassent parfois penser à celle de "Lawrence of Arabia", qu'il avait également composée. Il y a aussi de bonnes têtes dans la version tournée en anglais (il existe également un version tournée en arabe, avec d'autres acteurs). Anthony Quinn en guerrier déterminé, ou Irene Papas en épouse vengeresse.
Quant au fameux choix de ne pas monter Mahomet, qu'en est-il ? Ils ont décidé de l'évacuer du récit autant que possible (ellipses, voix-off...). Quand il n'y a pas d'autres options, c'est du contre-champs, de la vue subjective, du hors champs... Ca reste assez artificiel, voire maladroit, on se croirait par moment dans les jeux vidéos Half Life, avec son célèbre protagoniste muet ! Clairement ça n'aide pas le film, mais je salue l'audace de la démarche, surtout à but religieux (et commercial ?).
"The Message" reste d'ailleurs un film ambitieux pour Moustapha Akkad, dont il s'agit de la première réalisation ! Si ce nom vous parle, le bonhomme est surtout connu pour être le producteur de la franchise Halloween (!!!).
Film sans intérêt qui montre une religion violente injuste et barbare mais ça encore ce n'est que l histoire du début de cette religion cruelle la note est surtout pour le mauvais tournage et un scénario bien pauvre
Des batailles super réussies , une mise en scène incroyable, des jeux d'acteurs fabuleux, chaque personnage a son importance Halza, Bilal ,Abu Sufyan, Ummaya ect ...et les événements sont bien relayés , La Bataille de Badr , le traité d'Houdaybiyah ect... et une musique juste...
Un film qui donne les bases pour la comprehension de la religion musulmane. Un grand film avec Anthony Quin dans lun de ses meilleurs roles.
Film vus il y a des années puis revus cet été grande fresque de la vie de Mohamed mais bon très long et très mou ce qui est dommage les acteurs secondaire joue souvent très mal mais seul film sur l islam donc soyons indulgent
Vėritable Chef-d'oeuvre, dans les deux versions. Les acteurs y ont mis toute leur passion, l'Histoire est grandiose, filmé dans un cadre sublime. Je l'ai vu peut-être plus de 30 fois
Ce film est un pur chef-d'œuvre. Bien que boycotté par la cérémonie des Oscars et critiquait par le fait qu'Anthony Quinn ne soit pas musulman, je trouve que ce film raconte de la plus belle des façons la naissance de cette religion qui est dans la bouche des Messiha, Zemmour et chroniqueurs TPMP sans qu'aucun ne sache réellement ce qu'elle représente. Ce que le sens même de "paix" que renvoie le mot "islam". Honte également aux médias et chaînes de télé qui diffusent quasiment jamais ce film, aux dépens de film qui critique ou présente mal cette religion. Dithyrambique, je peux me permettre de critiquer la longueur de ce film qui peut être très mou parfois, mais parfois faut se dire que 3h ne suffirait pas pour raconter la naissance d'une religion. Ce film devrait être l'œuvre, sine qua non, à l'instar du Coran, pour une personne souhaitant découvrir cette religion si mal jugée mais que personne, y compris des musulmans, ne connaissent pas parfaitement. Par ailleurs, un des premiers films offrant un immense rôle à un acteur noir, et qui accentue brillament cette citation de Mahomet "l' Homme noir n'a aucune supériorité sur l'Homme blanc, et inversement, l' Homme blanc n'a aucune supériorité sur l'Homme noir", l'un des premiers hommes qui brisa cette barrière du racisme qui malheureusement sévit encore dans notre société. Un film culte à voir et à revoir.
Super film avec de l'action, philosophie, guerre. Tout simplement magnifique, surtout le dernier discours...
Très intéressant. A découvrir, ou redécouvrir, autant pour les musulmans que les non musulmans. Une histoire et un message de tolérance. Le film est réussi et fait tenir le fil bien qu'il soit long et assez lent. Quinn est comme d'habitude bon, mais autour les autres acteurs tiennent le niveau aussi. La source du message n'est donc pas la haine et le passage du roi chrétien protégeant les premiers musulmans montre que nos racines sont proche (donc à méditer pour les intégristes). Ce film est beau et fort, il faut le voir, rien que pour sa culture générale.
Un sujet rarement traité au cinéma qui entretient des relations pour le moins ambiguës avec le septième art . Le film offre une belle reconstitution d'époque, soignée, parfois ample, et se veut didactique pour un public non initié , au risque du prosélytisme ou du consensus le plus mou ( il s'attira pourtant des ennemis) . Un film à voir pour se faire son idée , et en se demandant aussi pourquoi il est aussi peu cité aujourd'hui par les cinéphiles ...
Chef d œuvre. Tout simplement magnifique .
A Voir absolument.
Les acteurs jouent très bien et le décor ainsi que les costumes sont sublimes .
A Voir absolument.
Les acteurs jouent très bien et le décor ainsi que les costumes sont sublimes .
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