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DarkParadise
127 abonnés
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1,5
Publiée le 2 septembre 2012
J'ai pas du tout aimé ce "Jenifer". Les dernières réalisations de Dario Argento sont si décevantes... La mise en scène n'est pas du tout mauvaise, et le gore ne manque pas, mais... qu'est-ce que c'est vide. L'histoire n'en est pas vraiment une, vu qu'il ne s'y passe rien du début à la fin. Et puis, c'est si prévisible (surtout la fin)...et les acteurs jouent tellement mal... Aucune explication non plus sur qui est cette "Jenifer", pourquoi elle est comme ça, et pourquoi elle agit de la sorte. Bref, grosse déception, un ennui du début à la fin.
Elle a un corps de déesse. C'est une prédatrice sexuelle. Elle ne dit jamais mot. Nul ne sait vraiment qui est cette Jenifer, sorte de sirène issue du croisement entre la Mutante, Leatherface, et dont l'appétit est plus vorace que celui d'Hannibal Lecter... Dario Argento réalise un très bon film d'horreur, terriblement malsain, assez glauque, mystérieux et sanglant. Les musiques collent très bien à l'ambiance. À voir !
Argento nous offre certainement un des meilleurs épisodes de la saison 1 des Maîtres de l'horreur avec cette histoire inquiétante et sanglante ; une love story trash et fatal auquel il manque quelque chose mais Jennifer est néanmoins réussi.
Je ne suis pas fan de Dario Argento. Si ses précédentes mises en scène sont certes esthétiques sur quelques points, il ne m'effraie pas et n'excite en moi aucune émotion à coup de giallo et de faux sang épais comme de la gouache. Je m'intéresse donc de près à ce "Jenifer" dont on m'a dit le plus grand bien. L'histoire est bien trouvée et les maquillages très bien réalisés, j'adhère donc totalement à cet épisode très sanglant, très trash et très gore (Argento n'hésite pas à montrer Jenifer en train de dévorer un chat ou bien carrément la bite d'un jeune garçon). Le scénario est bien écrit, cette histoire d'amour érotique entre une freak et un policier, cette sorte de "Belle et la Bête" moderne en soit. La fin, un peu prévisible, ne m'a hélas guère enchantée. Cependant, le film est très gore, Jenifer est vraiment effrayante et Dario Argento remonte dans mon estime avec cet épisode.
Même si je ne saisis toujours pas depuis quand Argento est un "maitre de l'horreur", Jenifer n'aurait pu être sauvé du fait de la pauvreté de son scénario et de la qualité plus que médiocre de ses seconds rôles. Dommage le concept était intéressant et la prestation de S. Weber plutôt juste.
Master Of Horror Saison 1 Épisode 4: Mal rythmé, j'arrive toujours pas à prendre mon pied dans cette série de compte horrifique. Le film est mou et manque de punch, tout aurait pu être tellement mieux maîtrisé pourtant. Argento me déçoit quelque peu.
Le film est très bien construit et réalisé, c'est peut être pas aussi flamboyant que les films cultes de Dario Argento mais ça reste super bien maitrisé, Dario a décidé de changer de style et il s'en sort bien avec les "Masters of horror", la mise en scène fait vraiment sens. Il est d'ailleurs étrange de constater que pour les deux épisodes qu'il a signé dans cette anthologie, il s'est vraiment donné à fond en essayant de livrer le meilleur résultat possible alors que ses derniers films de cinéma sont tout simplement catastrophiques et bâclés. Donc un très bon épisode, un des meilleurs de cette saison, même si évidemment le scénario n'est pas parfait et que l'on peut trouver plusieurs trous et incohérences, on a clairement l'impression que cette histoire a été écrit pour un long, que plusieurs éléments restent en suspens et ne sont pas développées correctement. Franchement avec un scénario plus cohérent et adapté au format de 55 minutes, on aurait pu avoir quelque chose d'excellent.
Cet épisode de Dario Argento est le plus terrifiant des MAsters of Horror, grâce à des maquillage excellent. Jennifer est gore, brutal, malsain. Un épisode très réussi...
Dérangeant, troublant, cruel, ce "Masters of horror" est vraiment affreux de par son fond et sa vision est assez perturbante. Ce qui en fait un excellent épisode très marquant.
Jenifer est sans doute Le Jennifer's body que j'aurai aimé voir. Vrai film d'horreur, basé sur la mécanique de répétition, Jenifer joue avec malice sur l'attachement pour le freak qu'on éprouve de nos jours (et que tous les amateurs d'horreur doivent ressentir). C'est donc avec une certaine logique qu'on suit l'attachement de Steven Weber à cet être incomplet (au corps de rêve et au visage défiguré), à l'image de son prénom (il manque le "n" habituel). Un film qui ne cherche pas à s'esthétiser, mais qui se contente d'une horreur poisseuse tout à fait adaptée au sujet. Un très bon début en ce qui me concerne pour les master of horror, et il va falloir que je m'attèle aux 12 autres.
Voilà un des rares épisodes de Masters of Horror qui nous apporte vraiment ce que l’on est venu chercher : de l’horreur brut, gore, malsaine. Un épisode qui prend vraiment aux tripes, qui manque certainement de suspense, mais qui contient son lot de scènes choc. Et comme le dit une autre critique, un format long métrage aurait vraiment pu donner quelque chose d’excellent tant certains éléments sont traités trop vite (et ne réservent donc pas de surprises). A noter toutefois qu’il est très long à digérer, sur le coup j’ai pas vraiment accroché (et j’ai délaissé la série quelques temps), mais une fois passée cette étape, on ne peut que saluer le travail d’un Argento retrouvé.
Terriblement genial et Horrible , Le meilleur episode sur les deux premiers saisons des masters of horror ... Argento a grave assuré pour l'horreur que nous offre cette jenifer... A voir de toute urgence c'est une petite perle
Un des meilleurs épisodes de Masters of Horror. Dérangeant, gore, mystérieux, ingénieux ! Jennifer se révèle de plus en plus horrible au fil du film, et le héros est désarmé au point de devenir fou. J'ai vraiment eu des frissons la nuit qui suit cette découverte... Entre autre, il ne faut pas rater un détail, non cité par mes chers amis critiqueurs : La musique de ce film est un chef d'oeuvre à elle même ! Le chanson de Jennifer est juste terrifiante, une petite fille qui chante des "la la la" sur un fond de xylophone et piano. Vous pouvez l'entendre dans la bande-annonce officielle de l'épisode !