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Lionel33000
37 abonnés
393 critiques
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4,0
Publiée le 12 mai 2024
Bonjour Un grand film des années 50 sur une légende du amour impossible et fatal Le film offre un superbe rôle a Ava Gardner ou sa beauté greve l écran Une belle histoire dans une Espagne des année 30, avec une belle distribution des rôles.... A redécouvrir ou découvrir pour les plus jeunes
Le film est bien grace surtout au sujet qui est interessant. On se perd un peu avec les personnage secondaire qui ralentisse la narration. Très belle Ava Gardner...
Pandora (Ava Gardner) est une femme très courtisée, mais elle n’en aime vraiment aucun. Un jour elle fait la rencontre d’un mystérieux hollandais qui vient d’arriver dans le port avec son bateau, Hendrick (James Mason). Elle ne le sait pas mais il s’agit du hollandais volant de la légende : un homme condamné à errer en mer sur son bateau, autorisé à revenir à terre une fois tous les 7 ans pour y trouver celle qui sera prête à mourir pour lui. J’ai aimé le mode de narration, c’est un ami de Pandora qui raconte l’histoire, situe les personnages, ce qui rend le tout hyper clair. On commence par la fin, puis le narrateur remonte le temps. Mis à part le personnage du matador qui est totalement caricatural, les autres sont intéressants. Pandora n’est pas particulièrement attachante mais on comprend la fascination qu’elle exerce sur les hommes. Il y a des bouleversements tout le long du film, ce qui maintient un rythme assez soutenu pour ne pas s’ennuyer.
Étrange film aujourd'hui considéré comme classique. Évidemment il y a le couple Manson /Garner et la sublime photographie. Cela dit le scénario aurait bien valu certaines retouches pour donner un peu plus de corps à cette histoire. Le coup de foudre par exemple est très rapide ...mais c était un autre temps
Aucune passion dans ce film, ou la caméra est statique et les dialogues creux et prévisibles trop nombreux ! Reste la beauté des paysages de mer et celle d'Ava Gardner, sublime fait froide et inexpressive. Déception.
Partant d'une idée romantiquement romanesque, à savoir l'union de deux figures mythiques autour desquelles légendes et héritage antiques tournoient, le film ne parvient pourtant à instiller ni suspense ni émotion, les enjeux mais surtout la fin étant compréhensibles d'emblée. L'accumulation de péripéties et de faux obstacles en vient alors à lasser malgré la magnétique Ava Gardner et le charismatique James Mason. Un coup dans l'eau!
4 610 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 10 mai 2021
Pandora est la fiancée de Stephen un jeune pilote de course britannique qu'elle traite avec cruauté. Dans une scène elle le persuade de pousser sa voiture de course par-dessus une falaise afin de lui prouver son amour pour elle. Elle a un autre admirateur en la personne de Juan un torero arrogant et fanfaron mais elle-même semble être fascinée par Hendrik van der Zee un mystérieux Hollandais qui arrive en ville à bord d'un grand et luxueux yacht qui semble n'avoir aucun équipage. Malgré que leurs intrigues fantastiques soit profondément satisfaisantes sur le plan émotionnel. Il y a quelque chose de beaucoup moins satisfaisant dans Pandora il s'agit essentiellement d'un film plutôt froid et superficiel avec une jeune femme froide et superficielle en son centre. Même son dernier geste sacrificiel un geste qui il convient de le noter implique une nouvelle trahison de l'infortuné Stephen l'histoire ne parvient pas à nous faire croire en elle ou à nous faire sympathiser avec son personnage...
Robuste scénario et mise en scène au cordeau pour cette production hollywoodienne baroque autour de la légende du Hollandais volant et de l’Espagne éternelle.
Pandora est un film magnifique. Au plan plastique, le film est parfait. Les acteurs sont au même niveau. Ava Garner est resplendissante et James Mason dans un de ses grands rôles. On regrettera parfois une absence de rythme. Il faut voir ce film comme un conte et se laisser bercer par les images. Un classique du cinéma. Le film n a rien perdu de son charme.
Un chef d'oeuvre. Un très beau film fantastique. Un magnifique duo : Ava Gardner et James Mason. Une belle oeuvre cinématographique. On est dans l'age d'or du cinéma.
Cette revisite de la légende du Hollandais Volant saupoudrée de mythologie grecque par Albert Lewin fit d’Ava Gardner une icône. L’actrice trouve en Pandora l’un de ses plus emblématiques rôles et y brille par sa beauté. Une maigre consolation pour un classique emphatique qui n’a pas trouvé grâce à mes yeux.
J'ai tenu une heure, c'est beaucoup. Le livret de l'opéra de Wagner transformé en un roman-feuilleton ridicule, c'est assez insupportable. Ce film est une jacasserie dont on croirait les dialogues tirés du plus mauvais roman de gare de George Sand ou Marguerite Duras. Quand Wagner inscrivait son drame au milieu de gens simples, on se retrouve ici entre bourgeois parvenus qui sont tous du plus parfait égoïsme. Quant aux acteurs, qui tous ont joué de grands rôles ailleurs, ils ne sont pas crédibles ici. Ava Gardner a largement passé l'âge de jouer les jeunes premières et son Hollandais volant n'a pas le physique pour cet emploi. Restent la musique de film et les images d'Epinal d'une Espagne de carte postale, c'est peu.
Pandora est une romance ancrée dans un film fantastique. C’est le film qui placera Ava Gardner au rang des grandes actrices de l’âge d’or hollywoodien. C’est d’ailleurs le premier film en couleur dans lequel elle tournera. Nous sommes en 1930 et une belle chanteuse est adulée de tous. Celle-ci met ses prétendants à rude épreuve et s’engage à se marier avec un pilote automobile si ce dernier jette sa voiture du haut d’une falaise. Mais son regard se tourne rapidement vers un marin maudit, le Hollandais volant. L’homme serait condamné à naviguer éternellement et à ne vivre une vie humaine qu’une fois tous les sept ans. Le charme serait rompu si une femme accepte de mourir pour lui. Pandora est donc un film sur l’amour à travers le temps. Le duo est filmé comme des figures mythologiques grâce à l’œil averti du cinéaste du Portrait de Dorian Gray qui était déjà centré sur la peinture d’un tableau et la temporalité. Albert Lewin réinvente le mythe grec avec mystère et grâce. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com