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Hotinhere
543 abonnés
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3,0
Publiée le 23 mai 2022
Le 8e volet de la série - le premier pour Roger Moore -pas fou, mais divertissant, grâce à quelques scènes très réussies (comme celle du pont aux crocodiles) et évidemment la BO entêtante de McCartney.
Dans un plan du film où James Bond s'empare d'un deltaplane, ce dernier projète son ombre sur le ciel accentuant le tournage en studio, le côté kitsch et théâtral du film. C'est drôle je trouve.
Ah la la le premier James Bond avec Roger Moore! C’est marrant c’est le film de la saga qui m’a fait le plus peur a l’époque, les méchants sont terrifiants car ils réalisent des rituels vaudous. La musique du générique: « live and let die» est culte et mémorable. Je retiens surtout la scène de la mort du méchant qui est à mourrir de rire car il est doublé par un ballon de baudruche, on le remarque assez facilement. A voir
Première de Roger Moore et première fois également que l'on voit la maison de l'agent 007. La chanson titre de Paul McCartney est excellente et c'est sûrement le point le plus positif du film. En effet, Roger Moore ne m'a pas forcément convaincu pour sa première fois, mais surtout, c'est l'ensemble qui déçoit, à commencer par la lourdeur des répliques soit disant humoristiques ou du ridicule de certaines scènes (le personnage du shérif ; spoiler: la mort de Kananga, joué par Yaphet Kotto, avec cette bombonne d'air comprimé ). De plus, James Bond apparait encore davantage comme invincible dans cet opus et les méchants sont toujours aussi nuls ou débiles. A noter la présence de Jane Seymour (alias "Docteur Quinn") en James Bond Girl, plus là pour la tapisserie qu'autre chose. Le scénario, entre magie vaudou et cartomancie, avait pourtant du potentiel.
Premier film avec Roger Moore dans le rôle de James Bond, ce opus est tout aussi drôle que son prédécesseur "Les diamants sont éternels". L'action est quasiment non stop et l'intrigue simple. Roger Moore fait oublier Sean Connery par une prestation bonne dans l'ensemble. Ce film a les méchants les plus crédibles et cools à la fois jusque là.
Morts d’agents britanniques, traffic de drogue, rituels vaudous et voyance, « Vivre et Laisser Mourir » inaugure l’ère Roger Moore par une inconsistance scénaristique qui nuit à de nombreux reprises à sa mission. Difficile de se satisfaire également de la fade interprétation de la belle Jane Seymour, ni de la légéreté globale du film de Guy Hamilton. La mythique chanson du générique interprétée par Paul McCartney & Wings réhausse l’ensemble au même titre que la longue course poursuite en hors-bord dans les bayous de la Louisiane et une échappée à des crocodiles acrobatique.
Le premier rôle de Roger Moore en tant que James Bond ne marque pas la série d'un changement exceptionnel, si ce n'est le remplacement de la plupart des bijoux technologiques par d'autres plus organiques du genre reptilien. Le tournage n'a pas non plus changé dans les exigences sportives qu'il a envers ses acteurs. Moore n'a pas encore eu à tromper la mort comme Connery avant lui, mais il y a déjà gagné quelques jours à devoir se servir d'une canne à la suite de la réalisation d'une des super-techniques scènes en bateau, et la dysenterie lors du tournage en Jamaïque. Lesdites scènes navales vaudront à l'oeuvre une place au Guinness des records pendant trois ans pour la vitesse du bateau de Bond, ainsi que, dans un style plus cocasse, une réécriture partielle du scénario quand l'un d'eux s'est encastré dans une voiture. Bref. Niveau bateaux, ils ont fait fort, puisqu'ils en avaient vingt-six et qu'ils en ont cassé dix-sept rien que pendant les répétitions.
On est en 1973 et la médiocrité des moyens est résiliente. Autant certains plans sont faits avec brio, autant d'autres semblent avoir été réalisés par un stagiaire qui, faute de moyen, devait faire jouer ses acteurs avec des serpents en plastique. La scène d'introduction est d'ailleurs la première des deux qui mettent en avant le fameux serpent en plastique, et elle précède de peu la seule utilisation du très célèbre thème de McCartney qui ne soit pas coupée, altérée ou reprise. Au global donc, un gâchis.
Je ne suis pas un grand fan de l'agent 007 (surtout sous les traits de Roger Moore) et ce n'est pas ce film qui me convaincra du contraire. Mise à part la fameuse chanson de Paul McCartney (une des plus connues de la saga) et les tenues "courtissimes" de Jane Seymour il n'y a pas grand chose à tirer d'un film en roues libres jouant sur le succès déjà acquis de la série et n'apportant rien de neuf. Le scénario est sans imagination, côté action il y a déjà eu bien mieux, certaines scènes et dialogues frisent le ridicule bref un film bien moyen même dans son ambition de divertissement.
Ce film intronise Roger Moore dans le rôle de 007. Certes le film n'est pas le meilleur de la série mais il reste un très bon divertissement. Plein de d'humour, ce film est peu violent et pourra se voir en famille. Roger Moore apporte son flegme et sa décontraction au personnage. Il y a quelques belles séquences d'action. Un bon moment.
Le célèbre agent secret qui enquête au fil de ses conquêtes, j'avoue que j'avais encore jamais regardé en entier, alors j'ai voulu découvrir "Vivre et laisser mourrir" avec Roger Moore, et je n'ai pas été déçu grâce au charisme de l'acteur et l'histoire alternant humour, originalité et actions.
Mais si on peut féliciter les scènes originales avec de l'humour, par contre les scènes d'actions, surtout vers la fin sont beaucoup trop longues, on en voit plus finir la course, et la lutte contre le méchant.
Tout le charme du film vient des acteurs et actrices qui interprètent de manière charmante et efficace ces personnages mystérieux.
Excepté les longueurs, la réalisation est jolie et convaincante, dynamique et avec des effets spéciaux plaisants
Les décors sont beaux, bien mis en avant à travers les scènes d'action, on a envie de s'évader avec eux. Et la musique est dynamique, il le faut pour donner le rythme au film, c'est réussi.
Ce James Bond, est un film américain d'action réussi de Guy Hamilton, et c'est ainsi que je comprends mieux la réputation de cette série de film , et surtout de l'acteur. Je suis content d'avoir découvert cet acteur et film, même si surement un peu tard.
Un Roger Moore fidèle à lui- même pour ses débuts dans le smoking de 007, offrant pour le coup un réel contraste avec la période précédente. Plus léger, plus décontracté, plus fun, et aussi à certains égards beaucoup plus kitsch que l'ère Sean Connery. Le problème essentiel se situe dans un scénario un peu trop mince et enfilant les perles, sans même parler de méchants caricaturaux à l'extrême. Assez bizarrement, le charme opère quand même, mais l'on sent bien que ce n'était là qu'un coup d'essai pour relancer la franchise. Jane Seymour est ici une James Bond girl standard (c'est-à-dire sublime à regarder mais sans vraiment d'espace pour s'exprimer), l'ère est encore à un certain machisme qui donnerait à rire aujourd'hui. Ça reste divertissant.
Cet épisode de James Bond est l'épitomé des pires clichés racistes et sexistes véhiculés dans les films de 007. On vous donne le choix. Selon votre couleur de peau, vous êtes le mal incarné et vous périssez dans une mort grotesque ou alors vous êtes le serviteur du héros ou encore vous représentez l'ordre et le bien. Selon votre sexe, vous êtes le mâle alpha imperturbable ou alors la princesse en danger qu'il faut à tout moment sauver des périls auxquels l'expose sa faiblesse intrinsèque. Et si par malheur vous cumulez couleur et sexe opposés à notre protagoniste préféré, il y a de bonnes chances que vous n'en réchappiez pas. Des bas fonds du Harlem des années 70 marqués par une violence qui a nécessairement une couleur de peau face au flegmatique et impeccable britannique espion jusqu'aux tréfonds de la Louisiane sauvage et peuplée d'habitants qui sont soit des dévots anthropophages hystériques soit des représentants de l'ordre débiles et consanguins, James Bond a son plus bas niveau: double zéro pointé.
Même si ça reste très divertissant, Vivre et laisser mourir est l'un des films James Bond les moins convaincants. Pourtant, les acteurs sont plutôt bons. Roger Moore est excellent pour sa première interprétation de James Bond, il est le digne héritier de Sean Connery. Les seconds rôles sont bien incarnés également (Jane Seymour, Yaphet Kotto). Par contre, l'histoire est très faible. Le curseur a clairement trop été tiré du côté du comique. Les situations sont trop gaguesques (la fuite de la ferme aux crocodiles), et ça ridiculise plus qu'autre chose le film. Le film manque terriblement de sérieux. Après, les scènes d'action sont pas mal pour l'époque, et ça reste très divertissant. Mais on est clairement en-dessous du niveau de la franchise.
Premier James Bond sous la houlette de Roger Moore qui imprime d'emblée sa personnalité facétieuse au célèbre agent secret après plusieurs épisodes fatigués sous l'égide de l'écossais Sean Connery. Le pli est pris, ce Bond moorien se roule dans les jokes et plaisanteries de bureau, clins d'oeil grotesques plus ou moins navrants tandis qu'il dérouille les méchants avec sa montre magique à l'issue d'une dernière vanne (il a toujours eu une enflure du moi" ou "le bras m'en tombe"...).
A cet égard donc, Vivre et laisser mourir fait presque la concurrence à Benny Hill mais ce n'est bien sûr qu'un rodage, car Roger Moore va améliorer sensiblement son répertoire de cocasseries dans les films suivants. Les méchants, cela dit, s'en donnent également à coeur joie et cabotinent à n'en plus pouvoir (et effectivement, on n'en peut plus non plus).
Toutefois, le film se révèle très regardable, la réalisation est solide et quasiment sans temps mort grâce à ou malgré l'histoire réduite à sa plus simple expression puisque double-zéro-sept "boule de neige sur tas de charbon" est poursuivi par les malfaisants vaudous du début à la fin alors qu'il traîne derrière lui la jolie potiche divinatoire Jane Seymour.
Voilà donc qui passe le temps sans génie (James, les vannes qui tuent) tout en divertissant sans trop de mal pourvu qu'on reste le cerveau au ralenti.
Vivre et laisser mourir marque une nouvelle ère pour la série des James Bond. En effet, il s'agit du premier film où Roger Moore vient remplacer Sean Connery dans la peau de 007. Roger Moore qui demeure mon acteur préféré ayant incarné le célèbre agent secret. Il est le digne successeur de Connery. Sans être l'un des meilleurs de la saga, Vivre et laisser mourir est un excellent film bien rythmé, avec de bonnes scènes d'action notamment celle de la poursuite en hors-bords avec l'inoubliable et soupe au lait shérif Pepper que l'on retrouvera dans l'Homme au pistolet d'or. Et puis il y a bien évidemment Jane Seymour, l'une des plus ensorcelantes beautés que l'on ait pu contempler, aussi innocente qu'adorable. Yaphet Kotto (Alien le huitième passager) est aussi un très bon méchant et la manière dont Bond se débarrasse de lui est juste culte.