AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,2
662 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Johnny Mad Dog ?
5
19 critiques
4
34 critiques
3
19 critiques
2
27 critiques
1
20 critiques
0
5 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un excellent film , plein de force , mais également terrifiant. Le destin de ces jeunes gens en plein désarroi est boulversant.
Un film touchant, sur un thème interessant mais il y a à mon goût trop de violence, et la caméra qui bouge dans tout les sens donne le mal de mer. Dommage aussi, les costumes font penser à un défilé de carnaval !
3 étoiles mais vraiment parce que j'ai la critique un poil dure ! ;-)
Non... très bon film, évidemment. Comment pourrait-il en être autrement avec ce vrai travail de réalisation !?
C'est tout de même très dur. Je suis sorti un peu étourdi de la salle notamment car après ce docu-fiction, ils diffusent une série de photos prises durant "la" triste période toutes plus horribles les unes que les autres.
Donc oui, triste réalité, triste monde...
Non... très bon film, évidemment. Comment pourrait-il en être autrement avec ce vrai travail de réalisation !?
C'est tout de même très dur. Je suis sorti un peu étourdi de la salle notamment car après ce docu-fiction, ils diffusent une série de photos prises durant "la" triste période toutes plus horribles les unes que les autres.
Donc oui, triste réalité, triste monde...
Johnny et sa troupe de joyeux lurons, déguisé en poupée sortant à peine de l’emballage, font courir les villageois aussi réalistement que lorsque les japonais fuyaient godzilla dans un remake a chier. Scénario et montage sans gout oblige,une fille qui comme de par hasard réussi a l’école mais qui doit fuir sont village - attention drame - doit laissé son père, cul de jatte dans la maison, car celui-ci ne veut pas les ralentir, Hollywood est tu la ?
la violence y est mais on y croit pas. viol avec des plans suaves. on s’attend a en voir comme la pluie a londres et cette pluie est une simple petite averse voir rafraîchissante. Jveux pas du gore, mais une guerre armé sans brutalité c’est quoi ?
ds l'itw du réal: il ne se rend pas compte qu’il y a un décalage entre ce qu’il a voulu montrer et ce qui apparaît a l’écran. Ce soucier du spectateur au point que l’accoutrement des gamins les décrédibilise, des vêtements multicolores aux couleurs éclatantes pour ceux qui ont tué de leurs propres mains leurs parents.
A quand un film de guerre qui nous face aimer la guerre ?
subventionné par le ministère de Kouchner et l'ONU, les cask bleu ont le beau role comme de par hasard...
malgrès kassovitz(détails mis en avant par les publicitaires) c'est loin de transpirer de vérité!
guerre civil, enfants soldat qui jouent leur propre rôle, esthétique très Mr propre, des plan originaux genre : Johnny marchant à contre courant des civils fuyant ou encore sur un pick up fraichement volé rempli d'enfants dans rues vides. J’ai l’impression que certaines scène on été faite rien que pour plaire aux critiques: un jeune soldat enfile délicatement une robe de marié pendant la mis a sac dla maison, l'enfant sur une voiture, kalachnikov a la main,qui regarde passer un convoi de l’ONU d’un blanc immaculé ... des images très recherchées.
le soin porté a l’image ne rattrape pas la réalité surfaite du film.
Les acteurs semblent passés au vitriole et ne garde de vrai que leur couleur de
la violence y est mais on y croit pas. viol avec des plans suaves. on s’attend a en voir comme la pluie a londres et cette pluie est une simple petite averse voir rafraîchissante. Jveux pas du gore, mais une guerre armé sans brutalité c’est quoi ?
ds l'itw du réal: il ne se rend pas compte qu’il y a un décalage entre ce qu’il a voulu montrer et ce qui apparaît a l’écran. Ce soucier du spectateur au point que l’accoutrement des gamins les décrédibilise, des vêtements multicolores aux couleurs éclatantes pour ceux qui ont tué de leurs propres mains leurs parents.
A quand un film de guerre qui nous face aimer la guerre ?
subventionné par le ministère de Kouchner et l'ONU, les cask bleu ont le beau role comme de par hasard...
malgrès kassovitz(détails mis en avant par les publicitaires) c'est loin de transpirer de vérité!
guerre civil, enfants soldat qui jouent leur propre rôle, esthétique très Mr propre, des plan originaux genre : Johnny marchant à contre courant des civils fuyant ou encore sur un pick up fraichement volé rempli d'enfants dans rues vides. J’ai l’impression que certaines scène on été faite rien que pour plaire aux critiques: un jeune soldat enfile délicatement une robe de marié pendant la mis a sac dla maison, l'enfant sur une voiture, kalachnikov a la main,qui regarde passer un convoi de l’ONU d’un blanc immaculé ... des images très recherchées.
le soin porté a l’image ne rattrape pas la réalité surfaite du film.
Les acteurs semblent passés au vitriole et ne garde de vrai que leur couleur de
Johnny mad dog où l'enchaînement d'images chocs mises bout à bout dans une Afrique ravagée par la guerre, une guerre imagée ici par la bande de Johnny, enfant soldat, véritable machine à tuer, piller et violer. L'idée de Sauvaire de filmer la réalité brute et sans concession immerge littéralement dans le film dès les premières minutes mais chemin de mort faisant, ne nous abreuvant quasiment que de scènes chocs, le film lasse et perd vite en intensité. Seuls nos yeux sont ici pris à parti et le manque de profondeur rend malheureusement les quelques tentatives émotionnelles vides et sans âmes. Un film qui manque de profondeur, certes à l'images de ces enfants perdus, mais qui empêche le tout de vraiment toucher. Un bon point pour l'esthétique et la triste authenticité qui se dégage malgré tout de l'ensemble et principalement des acteurs. Un amalgame d'images qui se voient et s'oublient et, avec un tel sujet, on aurait aimé que le film nous arrache les tripes, pour nous hanter encore quelques heures après le générique de fin. Dommage.
🎬 RENGER 📼
Documentariste de formation, Jean-Stephane Sauvaire passe par la case cinéma et réalise ici son premier long-métrage (produit par Mathieu Kassovitz). Au Libéria, où la guerre civile perdure, des enfants soldats livrés à eux mêmes se prennent pour des caïds, armés jusqu’aux dents, ils tuent sans pitié le moindre civil qui aurait le malheur de croiser leur chemin. Dans la veine de La Cité de Dieu (2003), ici, ce sont des adolescents qui tiennent le haut de l’affiche et pas n’importe lesquels, puisque, dans un souci de réalisme, la quasi totalité du casting est composée d’anciens enfants soldats !
La reconstitution est parfaite, on regrette simplement que le film soit dénué d’histoire. Une mise en scène assez répétitive mais qui parvient contre toute attente à captiver.
La reconstitution est parfaite, on regrette simplement que le film soit dénué d’histoire. Une mise en scène assez répétitive mais qui parvient contre toute attente à captiver.
Durant tout le film nous ne voyons qu'une bande de jeunes enfants africains armés jusqu'aux dents qui menacent, terrorisent, et tuent des gens, en errant à travers le pays. Mais quel pays ? (on ne voit que brièvement dans le générique les remerciements au gouvernement du Libéria). Quelle guerre ? Entre quels peuples ? Quelle est la position des gouvernements (du pays en question, mais aussi des occidentaux) ? Quelle est la position des organisations intergouvernementales ? Quelles sont leurs actions contre ce mal que sont les enfants soldats ? Aucune réponse à ces questions... décevant. Peut-être ce film mérite-t-il tout de même 1 étoile car il se veut dénonciateur (d'une chose qui mérite d'être dénoncée !) et qu'il arrive à rendre l'atmosphère angoissante qui règne autour de ces jeunes africains, tout au long du film.
Requiemovies
On ne peut être sensible à la réalisation tant elle reste assez vide de création ou d'originalité. Notre regard se porte alors beaucoup plus sur les personnages. On découvre alors des comédiens naissants portants leur rôle de façon assez juste (sans doute, hélas, par leur dur vécu). On ne peut parler aucunement de docu fiction et pourtant sous un essort d'une narration de 2 histoires parallèles qui se croiseront assez habilement, on ressort la tête pleine de vague à l'âme, de questionnements et d'interrogations sur cette fiction de "faits réels". Difficile de juger le travail de réalisation tant celui-ci n'est jamais présent; pourtant le film fonctionne sur le plan démonstratif. La maladresse du réalisateur entâche l'ensemble qui aurait pu en faire un petit grand film.
Une catastrophe. Dans ce film on choque "dans les clous", on vous montre la violence qui vous fera approuver, le contraire serait tellement mal.<br />
<br />
Une bonne dose de condescendance, de mélodramatique et un succession de clichés plus ineptes les uns que les autres : la mort qui détruit la famille, la mort qui s'oppose à l'éducation et surtout (roulement de tambours), la mort qui entre en conflit avec l'amour, entrainant les larmes silencieuses de Mad Dog, scène brève et sans intensité.<br />
<br />
La fin du film semble ne pas être assumée, c'est au public de choisir sa fin, que c'est beau un film si humaniste.<br />
<br />
En ce qui concerne l'image, ce film comporte des plans d'une esthétique très réussie, mais dès l'instant où les personnages ou une scène s'emballe, l'image ne cesse de bouger, on n'y voit qu'un amas saccadé de mouvements insensés, certainement une façon de bien expliquer au spectateur que c'est le chaos, allons-y à fond : certainement une symbolisation du chaos rencontrés par les personnages. (!)<br />
<br />
Après tout cela, il semble difficile de ne pas vouloir quitter la salle dix fois pendant la séance.
<br />
Une bonne dose de condescendance, de mélodramatique et un succession de clichés plus ineptes les uns que les autres : la mort qui détruit la famille, la mort qui s'oppose à l'éducation et surtout (roulement de tambours), la mort qui entre en conflit avec l'amour, entrainant les larmes silencieuses de Mad Dog, scène brève et sans intensité.<br />
<br />
La fin du film semble ne pas être assumée, c'est au public de choisir sa fin, que c'est beau un film si humaniste.<br />
<br />
En ce qui concerne l'image, ce film comporte des plans d'une esthétique très réussie, mais dès l'instant où les personnages ou une scène s'emballe, l'image ne cesse de bouger, on n'y voit qu'un amas saccadé de mouvements insensés, certainement une façon de bien expliquer au spectateur que c'est le chaos, allons-y à fond : certainement une symbolisation du chaos rencontrés par les personnages. (!)<br />
<br />
Après tout cela, il semble difficile de ne pas vouloir quitter la salle dix fois pendant la séance.
Véritable OVNI dans la production française actuelle, il faut aller voir et soutenir Johnny Mad Dog. Grâce à un casting étonnant et à une caméra très mobile, Jean-Stéphane Sauvaire dénonce les exactions d'une bande d'enfants manipulés par leurs aînés, au cœur d'un conflit où les civiles sont les premières victimes des combats et des pillages. Parallèlement, il s’attache aussi à la fuite désespérée d'une jeune adolescente, Laokolé, et à ses efforts pour sauver son père et son jeune frère tandis qu'autour d'elle les enfants soldats commettent leurs forfaits.
Œuvre forte et sans concession, Johnny Mad Dog pointe du doigt l’absurdité d’une guerre qui n’a aucun sens, sinon celui du profit, l’impuissance des forces de l'ONU, les familles brisées et la destruction mentale et physique de ce qui fait l’avenir d’un peuple : ses enfants !
Malgré tout, ce film reste aussi un chant d’espoir.
Laokolé, jeune fille instruite, garde son humanité et sa dignité alors que le chaos fait rage.
Tandis que les jeunes soldats qui « jouent » à être des hommes trahissent à plusieurs reprises des restes d'enfance (donc d’humanité) notamment par les déguisements dont ils s’affublent. Ces restes d’enfance qui résistent en eux, et que des adultes sans scrupules n'ont pas réussi à gommer, brillent comme une lueur d’un possible renouveau.
Le film se termine par une série de photos du conflit qui a ravagé le Liberia, venant nous rappeler, si il en était besoin, que tout ce que nous venons de voir n’est pas de la fiction et que celle-ci est, comme bien souvent, en-dessous de la réalité.
Œuvre forte et sans concession, Johnny Mad Dog pointe du doigt l’absurdité d’une guerre qui n’a aucun sens, sinon celui du profit, l’impuissance des forces de l'ONU, les familles brisées et la destruction mentale et physique de ce qui fait l’avenir d’un peuple : ses enfants !
Malgré tout, ce film reste aussi un chant d’espoir.
Laokolé, jeune fille instruite, garde son humanité et sa dignité alors que le chaos fait rage.
Tandis que les jeunes soldats qui « jouent » à être des hommes trahissent à plusieurs reprises des restes d'enfance (donc d’humanité) notamment par les déguisements dont ils s’affublent. Ces restes d’enfance qui résistent en eux, et que des adultes sans scrupules n'ont pas réussi à gommer, brillent comme une lueur d’un possible renouveau.
Le film se termine par une série de photos du conflit qui a ravagé le Liberia, venant nous rappeler, si il en était besoin, que tout ce que nous venons de voir n’est pas de la fiction et que celle-ci est, comme bien souvent, en-dessous de la réalité.
Un docu-fiction brutal mettant en avant la façon dont des enfants peuvent être exploités en tant que machines de guerre. S'il ne montre trés probablement qu'une infime partie de la dure réalité ce film demeure grandement instructif et poignant d'autant plus qu'il s'agit d'un sujet dont on parle trop peu.
Terrifiant... certes, ce n'est que du cinéma, mais justement puisque ce n'est que du cinéma, l'occasion est belle de jeter un oeil sur ce qui se passe en Afrique. Là, c'est le Libéria. Mais, actuellement, c'est au Congo que cela se passe. Notamment...
Sans commentaire !!!
C'est un film choc, cru, implacable, efficace. Pas de temps mort, pas de scènes inutiles, pas de bons sentiments ou de violence gratuite. Tout est montré de façon brute, tel que la réalité doit l'être. Mais du coup le scénario en souffre. Les personnages n'ont aucune épaisseur, le scénario est vide. On avance avec le groupe qui sème la terreur et c'est tout. Il y a un vague parallèle avec une fille qui tente de se sauver avec son frère et son père, mais ça paraît bien superficielle. C'est dommage, ça aurait pu être un immense film. Il vaut quand même le coup d'oeil.
Suffit-il de montrer une cour de récréation avec des enfants armés jusqu’aux dents pour faire un bon film ? La réponse de Jonhy Mad Dog est très certainement non… S’attaquer au sujet des enfants soldats est très délicat et ambitieux, mais le film ne met aucun atout de son coté : le fond du problème est remisé au placard au profit d’un soi-disant « réalisme ». Sauf que les scènes paraissent convenues et les acteurs semblent noyés dans la vision sensationnaliste d’une Afrique guerrière. Les sentiments de caricatures se mêlent à une violence laissée inexpliquée. Bref, le film est creux et j’en suis même ressorti avec une désagréable impression d’obscénité, tant le sujet est traité de façon superficielle. S’il existe une raison d’aller voir ce film, c’est pour comprendre que certains profitent encore de l’Afrique comme d’un phénomène de foire, mais cela, on le savait déjà.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse