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    La Vie des autres
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 décembre 2020
    Douze prix amplement mérités, dont César et Oscar du meilleur film étranger.

    Cela se passe à l'Allemagne de l'est, à l'époque de la guerre froide, où la dictature et le régime totalitaire régissait ; ce film exhibe et met au grand jour l'humanité et la bonté qui logent bien soigneusement au fin fond des âmes des gens bien tandis que le monde s'écroule sous la haine et l'amertume.

    On passe un moment sensationnel grâce à la subtilité des dialogues, et les décors sublimes, ainsi que le message profond qu'on capte sans se rendre compte.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2020
    Je dois dire que depuis quand j'ai regardé La Vie des autres (hier), j'ai senti qu'il était largement surévalué. Principalement en raison de ses limites artistiques et parce que je sentais qu'il ne rendait pas justice à son battage médiatique. Bien que les méthodes d'enquête de la Stasi décrites soient définitivement correctes et méticuleusement recherchées par le réalisateur. Les personnages semblent extrêmement peu profonds. Il semble que le réalisateur et scénariste ait d'abord choisi un certain jargon de la Stasi puis construit son film autour plutôt que de travailler à partir de personnages existants. Cela donne à l'histoire une sensation résolument artificielle. Le film a toutes les caractéristiques d'un téléfilm sophistiqué et soporifique plutôt qu'une sortie en salles. Pire que tout la bande originale de Gabriel Yared (que j'aime beaucoup normalement), ici sa musique ressemble parfois à de la colle. Il semblerait que c'est précisément cet aspect kitsch-cliché qui a fait de ce film un tel succès auprès des critiques américains et des intellectuels. Il a ajouté à une superficialité calculée qui a servi à gagner un Academy Award...
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    177 abonnés 2 253 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2020
    « La Vie des Autres » (2007), « Good Bye Lenin ! » (2003), « L'Expérience » (2003), « Cours, Lola, Cours » (1999) : les films allemands qui sortent au Cinéma en France sont rares mais d'une qualité bien au-dessus du tout-venant de la distribution cinématographique française ! La grande qualité de ce film est de nous faire percevoir le sentiment de terreur et de surveillance imposé à la population - et pas seulement aux artistes -, d'ailleurs il n'y a qu'à voir les scènes terribles spoiler: de la voisine du personnage espionné ou de l'enfant dans l'ascenseur et le grand moment de solitude du fonctionnaire racontant une blague à table dont la chute va à l'encontre du pouvoir en place,
    pour se rendre compte de la généralisation du « système de surveillance » à l'ensemble de la population. Ce n'est sûrement rien par rapport à ce qui se passe encore de nos jours en Corée du Nord mais c'est déjà terrifiant. Ce film nous fait encore plus prendre conscience de la chance que nous avons de vivre dans un pays comme le notre à notre époque.
    Loubm974
    Loubm974

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2020
    Une œuvre tendre et haletante, entre course poursuite et moments de génies on est porté par le rythme certes un peu lent du film mais qui permet une analyse de la situation et un développement plus complexe et pensé des personnages qui ne se bornent pas à des pensées manichéennes adoptées notamment par le régime visé. Une très belle œuvre
    Aurélia P
    Aurélia P

    24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 avril 2020
    Quel beau film. On plonge dans l'univers d'avant la chute du mur. L'impitoyable Stasi. Le manque de liberté et ceux qui se sont battus pour. Une histoire prenante et un casting génial. À voir !
    Bertrand M.
    Bertrand M.

    3 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2020
    Session de rattrapage en 2020 pour ce film sorti il y a quelques années et que je visionne donc qu'en 2020. Je suis sensible au sujet qui dépasse bien sûr la "petite république de RDA" comme semble regretter l'un des protagonistes, mais s'adresse à toutes les sociétés qui d’auto-espionnent et et se complaisent dans la délation. Je crois que malheureusement, avec nos téléphones portables et nos réseaux sociaux nous avons reversés dans les mêmes travers avec terriblement moins d'humain dans nos vies. Sinon, je trouve le film un peu longuet, seul défaut dans sa construction, car tout est bien construit. L'acteur principal est absolument génial !!!
    Le fameux canard
    Le fameux canard

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2020
    J'ai découvert ce film en classe d'allemand et j'ai été époustouflé par le scénario et la mise en scène. Ce film sur cet agent secret d'Allemagne de l'est qui remet en doute ses idées et le régime soviétique en espionnant un couple est absolument fascinant. Les acteurs réussissent la prouesse de jouer avec justesse dans ce drame social captivant ayant remporter un oscar du meilleur film étranger mérité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 janvier 2020
    Des critiques tape-à-l’œil, ça attire naturellement presse et spectateur au sujet de ce film qui change de la seconde guerre mondiale nazi fureur Hitlérienne axe alliance, le communisme d’Allemagne de l’Est a l’air de plaire au public de cette page, la RDA ne rigolait pas, surveillait ses concitoyens subversifs n'adhérant au parti.
    Ce sont les ennemis d’état dépeints dans cette fiction dramatique sensationnelle pour rien plus que objective, c’était l’élite ou plutôt les intellectuels étatistes communistes, écrivain, poète, metteur en scène, actrice, théâtre, en faite tout n'était que théâtral politiquement correct, les élitistes contre l’élitisme du peuple collimateur.

    Ce fut de la paranoïa, un peu de vicieux pervers manipulateur envoyant ces espions écouteurs, toute votre vie privée les intellos jusqu’au lit mis sur le fil ! Ainsi le rôle attribué à la STASI, police secrète étatisme symbole du régime.
    Totalitaire bureaucratie dictature du prolétariat poésie politique Stalinisme, un absolu drastique microcosme confiné utopie cette république démocratique allemande, en attendant le match de football ennemi de tant en tant amical diplomatie réchauffement RFA, défection Ouest prévoyance.

    La réunification arrive à point nommé pour nous dévoiler des archives infos croustillantes, les résultats du score camouflés, tel un roman photo dans la vie de l’autre écrivain privilégié et sa femme obstinée simulatrice shooté.
    A corps perdu dans les vapes se jeter sur les roues calculatrices par le scénario, pendant décennie de rideau ferraille rouillé en 2020, maintenant et bonne année !🎊🥳🎆 ..........non et non, ce n’est pas une simulation du futur après 1984.

    Ensuite la chute en 1989, le monde Fassbinderien créa la matrice allemande au passé antérieur, une pilule somnifère puissant marche dans cette réalisation aristocrate moyennement, Florian Henckel Von Donnersmarck aussitôt nom rayé vite oubliée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 décembre 2019
    Peu avant la dislocation des blocs mais toujours en pleine période fraîche durant la guerre froide, "La vie des autres" revient sur les méthodes peu catholiques et immorales du gouvernement de l'ex Allemagne de l'Est et met l'accent sur la Stasi, le service de renseignements et d'espionnages de la RDA afin de traquer les opposants au Régime.

    Officiellement traqué car "trop poli pour être honnête" d'après le ministre de la culture, ce dramaturge attire également la suspicion car il est ami avec un metteur en scène interdit de travail car il est contre le mouvement communiste, mais officieusement c'est surtout car il est le concubin de la maîtresse du ministre dont il s'est amouraché ... Elle souhaite sauver sa carrière et choisit les bons procédés, quand lui veut définitivement évincer cet homme de théâtre.

    Sous fond de délation et de pure jalousie on assiste à une mise sur écoute d'un appartement truffé de micro et supervisé par un officiel instructeur montré volontairement par le réalisateur comme assez froid, inflexible, monolithique aux méthodes rigoureuses.
    Le spectateur pense avoir à faire à un gros con de communiste et conservateur à l'image du bloc soviétique alors qu'il va s'avérer être le plus humain d'entre eux.

    En partageant la vie de ce couple par procuration il va se prendre d'affection pour eux et comprendre leurs agissements.
    Tourmenté par ce cycle infernal il va devoir prendre les bonnes décisions : sauver sa carrière ou aider ce couple en proie à l'austérité dictatoriale et de la censure prônée par le gouvernement de la RDA ?

    Un film qui démontre la difficulté pour les citoyens de s'épanouir dans un régime oppressant et totalitaire qui ne respecte pas les droits de l'homme ainsi que la liberté de pensée et de s'affirmer face à un parti unique répressif.
    Le suicide et aussi en plein coeur du centre de ce film et pose question.

    le film offre une très belle fin.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    119 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    C’est décidément le destin des réalisateurs allemands que de se tenir en pensée sur le Mur de Berlin pour relater, depuis un côté ou l’autre de son histoire, à quel point il a influé sur le pays. Et si c’est pour produire des films de cette facture, autant continuer !

    La Vie des Autres est le premier film de Von Donnersmarck, et cela se sent dans la façon qu’il a de nouer son scénario comme Ulrich Mühe son nœud de cravate : trop vite. Mühe, il est de la Stasi ; il est cet Est-Berlinois tout gris, chauve, cynique et consciencieux qui a alimenté l’imaginaire de tant de dystopies d’après-guerre. L’inhumain qui épie et réclame le nom des gens, quitte à laisser tout le monde soupçonner qu’ ”il en est”.

    Si l’on ne savait pas que Mühe n’a eu qu’à se rappeler de la RDA qu’il a vécue pour jouer si bien dans sa version fictive (et que l’acteur, à l’instar d’un personnage du film, a consulté son propre dossier de la Stasi après la chute du Mur), on croirait que Von Donnersmarck recrée tout le cliché du fascisme fantasmé de l’époque. Mais la machinerie a eu le temps de se mettre en place, et la caméra d’hériter d’un rôle tout particulier, puisque davantage que le son, elle fait passer le spectateur pour l’espion, le vrai.

    Dans ce petit monde filmique guidé officieusement par un accessoiriste féru de réalisme qui a passé lui-même deux ans dans les prisons de la Stasi, on peut craindre le règlement de compte ou l’hommage, mais pas du tout : plus qu’un mémorial, l’œuvre est un souvenir enveloppé dans cette empathie allemande qui, osé-je le dire, semble toujours dériver en ligne droite d’un siècle de regrets pour leur histoire récente, sous cette forme humble et artistique qui fait des ravages entre autres chez Werner Fassbinder et Wolfgang Becker.

    Pourtant, cette empathie ne donne pas lieu à des situations bien exceptionnelles : le cynique qui se met à réfléchir et à se sortir tout seul de l’autoritarisme qu’il a toujours défendu, on a déjà connu ça chez George Orwell ou Terry Gilliam, mais c’est bien vu de le mettre sur le compte de cette petite phrase : ”les gens ne changent pas”. Non, mais un peuple, oui. Pour finir, les rôles s’inversent carrément : l’écrivain pro-Ouest se tâche les mains d’encre rouge comme de sang tandis que c’est l’officier de la Stasi, chargé de l’écoute, qui invente une histoire servant à remplacer son rapport et à protéger sa nouvelle cause. Et ça, on y arrive après un déroulé politico-artistique vraiment sensationnel quoique par le biais d’un couple un peu terne.

    Non content de m’absorber, le film me fait me poser une autre question : fallait-il que l’Allemagne vive dans la honte de ses dirigeants entre 1933 et 1989 pour faire d’aussi bons films à propos de cette période ?

    → https://septiemeartetdemi.com/
    pierrre s.
    pierrre s.

    423 abonnés 3 300 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    Un film remarquable qui nous en apprend un peu plus sur les conditions de vie en Allemagne de l'est. Glaçant.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    61 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2019
    Voilà le film parfait à regarder pour les 30 ans de la chute du mur de Berlin, événement qui nous, fit dire à nos enfants devant la TV le 9 novembre 1989: » regardez bien, c’est exceptionnel, vous vivez un moment historique ».

    Si ce premier film évoque en toile de fond la grande Histoire, le metteur en scène s’attache avant tout à parler des individus: comment vit-on le fait d’être espionné, espionnable ou contraire le rôle d’agent de la police d’Etat. D’une façon plus convaincante et glaçante que le Conversation secrète de Coppola, la mise en scène décrit par le menu l’énergie considérable consacrée à l’époque à la surveillance permanente de toute une population.

    Les hommes gris aux impers démodés de la Stasi débarquent sans prévenir, petits pions d’un système totalitaire dans lequel chacun apprend à jouer en permanence un double-jeu. Dans le genre, Ulrich Muhe est au sommet de son art d’agent modèle en proie au doute. Car comme souvent les systèmes oppresseurs s’écroulent par l’intérieur plus que par l’action muselée des opposants.

    Quant de plus la fatalité s’en mêle, plus rien ne peut être sauvé et le fameux taux de suicides que l’ex RDA s’évertuait à cacher restera élevé.

    Le final nostalgique dans la Karl Marx Allee symbolise astucieusement la fin d’une époque historique, mais ce qui est remarquable- et quelque part inattendu- c’est la nouvelle modernité que La vie des autres a acquise. Aujourd’hui, son thème central reste complètement d’actualité, dans un monde technologique dans lequel les systèmes de surveillance, d’écoute, de reconnaissance faciale et de suivi de tous vos déplacements sont en pleine explosion. Qui seront les nouveaux maitres du monde: le patron de Google ou Xi Jinping?
    TV 2 - novembre 2019
    labadens
    labadens

    12 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2019
    Un grand moment d'émotion et de pudeur pour ce film de Florian Henckel von Donnersmarck.
    Sur un sujet dérangeant, la dictature de l'Allemagne de l'Est transposée en 1984, le metteur en scène nous livre un film d'espionnage, teinté de thriller, d'une romance puissante, jouant sur les oppositions des personnages, des décors, des couleurs, de l'opulence des uns à la misère des autres, de l'hypocrisie au suicide .... Lent, sombre et sans échappatoire pour retranscrire une page de l'histoire dramatique de ce pays.

    Un genre huis-clos, où tout se passe le plus souvent dans des espaces fermés et peu peuplé qui confirme la paranoïa règnante alors : ou n'importe quel dialogue se passe à voix basse , ou l'on cache une machine à écrire et ou la moindre blague peut être fatale.

    Et ces deux opposés : la Stasi par le biais de l'agent Wiesler aka (Ulrich Mühe) et deux artistes : Georg Dryman (Sebastian Koch) et Christa Mari (Martina Gedeck), emblêmes de la pensée libre...
    Ils sont mis sous surveillance pour des raisons obscures.
    Wiesler, méthodique et invisible ; dès les premiers plans on saisit le caractère implacable de cet agent et le mode de fonctionnement de la dictature, par une description détaillée et une ambiance lourde. Le cours qu'il délivre sur les bienfaits de la torture mettent dans l'ambiance directement. La manipulation psychologique, plus qu'efficace pour mater les esprits rebelles - voire ceux qui n'ont rien à se reprocher -.
    Ecoutes, bandes sons, rapports, les vies privées sont disséquées. Mais, si le poète Georg est surveillé, cela n'impliquera que son travail, même si par la suite lui aussi devra choisir. Il en va tout autrement pour Christa, celle-ci n'ayant d'autre alternative à sa survie que celle de se plier aux demandes perverses d'un ministre, pour finalement faire son choix par un ultime message de liberté.

    L'écoute, associée au voyeurisme, contrôle insidieux du pouvoir, trouvera son pendant avec le caractère même de l'agent qui croit sincèrement dans l’idéal socialiste, toute sa vie en est un miroir, le fonctionnaire remplit le vide de sa vie personnelle et affective par son travail.
    Les décors ternes et froids, les bureaux vides, le masque impassible de Wiesler sont en opposition à Christa, à la beauté tragique, expansive, sensible et aimante... Un appartement rempli de livres et de connaissance, de couleurs chaudes et de son amour pour Georg, comme un pied de nez.
    Et, au fil du temps et de son intrusion dans la vie de Georg et Christa, Wiesler se révèlera et découvrira l'émotion procurée par la lecture, la beauté de la musique et le sentiment d'amour pour son propre sauvetage...

    Ce magnifique final où Wiesler déambule dans la rue, dehors, est un message plein d'optimisme à trouver sa propre pensée, d'être en accord avec sa conscience pour le pire ou le meilleur, mais pour la liberté. Obtenir son individualité et par là même son humanité.

    Un film à voir ou à revoir.
    Ducerceau
    Ducerceau

    14 abonnés 605 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2021
    Je viens de revoir ce film pour la 3ème fois sur Arte. Avec encore plus de passion pour la progression géniale de cette conversion d'un petit homme gris de la Stasi. J'ai vécu 11 ans avec une fille d'une femme de RDA réfugiée à Paris. Dès noël 78 j'ai passé plusieurs vacances dans sa famille. Et je peux témoigner que si l'on veut se faire une opinion réaliste sur ce pays, il faut compléter ce film
    en regardant aussi "Good baye Lénine".
    CineQuaNone
    CineQuaNone

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    Film chef d'oeuvre, mise en scène sublime, intrigue intense et surprenante, et dénouement profondément poignant !
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