Des critiques tape-à-l’œil, ça attire naturellement presse et spectateur au sujet de ce film qui change de la seconde guerre mondiale nazi fureur Hitlérienne axe alliance, le communisme d’Allemagne de l’Est a l’air de plaire au public de cette page, la RDA ne rigolait pas, surveillait ses concitoyens subversifs n'adhérant au parti.
Ce sont les ennemis d’état dépeints dans cette fiction dramatique sensationnelle pour rien plus que objective, c’était l’élite ou plutôt les intellectuels étatistes communistes, écrivain, poète, metteur en scène, actrice, théâtre, en faite tout n'était que théâtral politiquement correct, les élitistes contre l’élitisme du peuple collimateur.
Ce fut de la paranoïa, un peu de vicieux pervers manipulateur envoyant ces espions écouteurs, toute votre vie privée les intellos jusqu’au lit mis sur le fil ! Ainsi le rôle attribué à la STASI, police secrète étatisme symbole du régime.
Totalitaire bureaucratie dictature du prolétariat poésie politique Stalinisme, un absolu drastique microcosme confiné utopie cette république démocratique allemande, en attendant le match de football ennemi de tant en tant amical diplomatie réchauffement RFA, défection Ouest prévoyance.
La réunification arrive à point nommé pour nous dévoiler des archives infos croustillantes, les résultats du score camouflés, tel un roman photo dans la vie de l’autre écrivain privilégié et sa femme obstinée simulatrice shooté.
A corps perdu dans les vapes se jeter sur les roues calculatrices par le scénario, pendant décennie de rideau ferraille rouillé en 2020, maintenant et bonne année !🎊🥳🎆 ..........non et non, ce n’est pas une simulation du futur après 1984.
Ensuite la chute en 1989, le monde Fassbinderien créa la matrice allemande au passé antérieur, une pilule somnifère puissant marche dans cette réalisation aristocrate moyennement, Florian Henckel Von Donnersmarck aussitôt nom rayé vite oubliée.