AlloCiné
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Votre avis sur La Vie des autres ?
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339 critiques
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73 critiques
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34 critiques
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Un tres bon film ca c'est sur , mais probleme je n'est vraiment pas ete prit par cette histoire ...
J'ai trouver l'acteur principale Ulrich Muhe juste phenomenale ! Ca fait vraiment du bien de voir des acteurs aussi douer et autant dans leurs personnages ! Les autres aussi le sont , niveuax cating rien a dire !
Scenario , alors deja a la base j'ai trouver l'ideer geniale ! Mais cette idee de base est entourer d'une histoire et c'est cette histoire qui ma deranger car je n'ai l'ai pas comprise d'ou le fait que je ne suis pas rentrer dedans ...
Une realisation a la hauteur des interpretes !
Il y a vraiment de magnifiques scenes qui sont vraiments touchantes !
Mais certes je dirais qu'ils y a des longeurs masi en faite je pense qu'on les oublies lorsque que l'on rentre bien dans le film et ce n'est pas mon cas , c'est la 3 eme fois que je le dis mais c'st ce details qui a peut etre fait que aux lieux de voir un chef-oeuvre , j'ai vu un tres bon film.
Mais je le conseille vraiment pour les acteurs et scenario et j'espere que vous serez bien prit dans le film !
J'ai trouver l'acteur principale Ulrich Muhe juste phenomenale ! Ca fait vraiment du bien de voir des acteurs aussi douer et autant dans leurs personnages ! Les autres aussi le sont , niveuax cating rien a dire !
Scenario , alors deja a la base j'ai trouver l'ideer geniale ! Mais cette idee de base est entourer d'une histoire et c'est cette histoire qui ma deranger car je n'ai l'ai pas comprise d'ou le fait que je ne suis pas rentrer dedans ...
Une realisation a la hauteur des interpretes !
Il y a vraiment de magnifiques scenes qui sont vraiments touchantes !
Mais certes je dirais qu'ils y a des longeurs masi en faite je pense qu'on les oublies lorsque que l'on rentre bien dans le film et ce n'est pas mon cas , c'est la 3 eme fois que je le dis mais c'st ce details qui a peut etre fait que aux lieux de voir un chef-oeuvre , j'ai vu un tres bon film.
Mais je le conseille vraiment pour les acteurs et scenario et j'espere que vous serez bien prit dans le film !
Filmé avec beaucoup de sobriété, sans un temps mort, une histoire troublante et belle au temps révolu de l'allemagne de l'est. Un chef d'oeuvre.
Alors là vraiment, je n'ai pas du tout mais du tout accroché, déjà la mise en scène et la réalisation et même les couleurs donnent l'impression de voir un téléfilm du dimanche, j'ai vraiment eu l'impression de voir derrick avec tous mes respect pour ce dernier, mais vraiment pourquoi tant de bonnes critiques et d'enthousiasme?! un mystère qui reste scellé à mes yeux !
Un grand film ! Simplement superbe ! Très bon acteur et mise en scène très bien travaillée !
Dommage qu'il n'y a pas 5 étoiles car ce film les vaudrait largement... Un des meilleurs films que j'ai jamais vus. Tout y est EXCELLENT !
Je ne comprends pas pourquoi les critiques sont si bonnes, ce film est long et assez ennuyeux et le but de tout ca ??? je me pose toujours la question...
Un scénario comme on les aime! Une belle histoire parfaitement mis en scène avec une épilogue aussi originale qu'émouvante. Superbe.
Florian Henckel von Donnersmarck s'appuie sur le passé de son pays, l'Allemagne, pour écrire et réaliser ce long métrage. C'est effectivement sur la Stasi que se porte son sujet. Le cinéaste ne s'arrête pas au simple film historique et d'espionnage mais tisse une histoire humaine autour de la relation entre l'espion et les espionnés. "La Vie des autres" est un cocktail d'émotions et de tensions servi par de formidables acteurs et une mise en scène maîtrisée. Un grand film qui a d'ailleurs obtenu l'oscar du meilleur film en langue étrangère. C'est mérité. Bravo !!!!!
Dans la lignée d'un "Barbara" traitant lui aussi de l'ex Allemagne de l'Est, "La vie des autres" est une oeuvre poignante, interprétée magistralement.
Sur fond de corruption politique (un ministre cherchant à incriminer idéologiquement le conjoint de la femme qu'il convoite) le film de Florian Henckel von Donnersmarck excelle non seulement dans sa retranscription des arcanes de la Stasi, exposant avec précision les rouages d'un système basé sur la suspicion généralisée, mais mieux encore, en abordant la psychologie des individus le faisant exister.
En cela, la démonstration frôle la perfection tant les ramifications idéologiques d'une telle pression sociale sont magnifiées par les problématiques qu'elles soulèvent, que ce soit pour les individualités de l'époque ou leurs résonances actuelles.
Car en y réfléchissant bien, qu'y a t il de profondément différent entre l'ambition personnelle d'un ministre n'hésitant pas à utiliser les moyens que lui allouent sa condition (au dessus des lois) pour discréditer l'un des plus fervents partisans du système pour son unique bénéfice (lubrique qui plus est), celle d'un fonctionnaire pensant plus à sa carrière qu'au bien fondé de sa mission (sachant que le type est garant de la bonne moralité des gens!) celle ci, là encore, ne s'embarrassant pas de la contradiction que constitue le fait d'arrêter une personne pour avoir consommé un produit interdit par les autorités, produit autorité par ces mêmes autorités en compensation de services rendus (délation) et nos sociétés "libérées" prônant chaque jours un peu plus la restriction de nos libertés fondamentales pour la garantie de notre sécurité (bien plus menacée par les magouilles de nos "zélites" que par un hypothétique danger venu d'ailleurs brandit en guise d'épouvantail
Chronique d'un gouvernement obligé de maintenir dans la terreur intellectuelle le consentement idéologique d'une population vivant cette oppression dans la souffrance, celle ci doublée de mesures coercitives sournoises (financières et professionnelles) propre à pousser certains au suicide (Médias et pensée unique?).
La preuve qu'à force de vouloir trop tirer sur la corde, on finit toujours par générer la rébellion, même chez les plus zélés des supporters (ou les plus lâches!) condamnant à plus ou moins long terme tout système basé sur l'hypocrisie et la corruption.
A quand la chute des nôtres?
Sur fond de corruption politique (un ministre cherchant à incriminer idéologiquement le conjoint de la femme qu'il convoite) le film de Florian Henckel von Donnersmarck excelle non seulement dans sa retranscription des arcanes de la Stasi, exposant avec précision les rouages d'un système basé sur la suspicion généralisée, mais mieux encore, en abordant la psychologie des individus le faisant exister.
En cela, la démonstration frôle la perfection tant les ramifications idéologiques d'une telle pression sociale sont magnifiées par les problématiques qu'elles soulèvent, que ce soit pour les individualités de l'époque ou leurs résonances actuelles.
Car en y réfléchissant bien, qu'y a t il de profondément différent entre l'ambition personnelle d'un ministre n'hésitant pas à utiliser les moyens que lui allouent sa condition (au dessus des lois) pour discréditer l'un des plus fervents partisans du système pour son unique bénéfice (lubrique qui plus est), celle d'un fonctionnaire pensant plus à sa carrière qu'au bien fondé de sa mission (sachant que le type est garant de la bonne moralité des gens!) celle ci, là encore, ne s'embarrassant pas de la contradiction que constitue le fait d'arrêter une personne pour avoir consommé un produit interdit par les autorités, produit autorité par ces mêmes autorités en compensation de services rendus (délation) et nos sociétés "libérées" prônant chaque jours un peu plus la restriction de nos libertés fondamentales pour la garantie de notre sécurité (bien plus menacée par les magouilles de nos "zélites" que par un hypothétique danger venu d'ailleurs brandit en guise d'épouvantail
Chronique d'un gouvernement obligé de maintenir dans la terreur intellectuelle le consentement idéologique d'une population vivant cette oppression dans la souffrance, celle ci doublée de mesures coercitives sournoises (financières et professionnelles) propre à pousser certains au suicide (Médias et pensée unique?).
La preuve qu'à force de vouloir trop tirer sur la corde, on finit toujours par générer la rébellion, même chez les plus zélés des supporters (ou les plus lâches!) condamnant à plus ou moins long terme tout système basé sur l'hypocrisie et la corruption.
A quand la chute des nôtres?
La vie des autres possède un très bon scénario, tout en subtilités, avec des personnages bien écrits, intéressants. Ça fait plaisir à voir un film avec un scénario aussi solide.
Le film repose vraiment sur le scénario (et sur le jeu des acteurs, comme par exemple Ulrich Mühe).
A côté, c'est une représentation intéressante de la vie en RDA quelques années avant la chute du mur et de la réunification. On pourra peut être regretter une mise en scène qui manque parfois un peu d'audace, mais c'est un premier film.
En tout cas j'ai vraiment beaucoup aimé.
Le film repose vraiment sur le scénario (et sur le jeu des acteurs, comme par exemple Ulrich Mühe).
A côté, c'est une représentation intéressante de la vie en RDA quelques années avant la chute du mur et de la réunification. On pourra peut être regretter une mise en scène qui manque parfois un peu d'audace, mais c'est un premier film.
En tout cas j'ai vraiment beaucoup aimé.
Une oeuvre certes classique dans sa réalisation, mais d'une efficacité redoutable, puissante émotionnellement, brillamment interprétée et ultra captivante. Une expérience inoubliable qui ne nécessite pas d'en parler des heures, comme une sorte de machine dont les rouages ne laisse pas de place à une quelconque amélioration ou innovation.
selenie
Heureux de voir que pour une rare fois la grosse majorité des spectateurs ont aimé ce magnifique film !
Des acteurs superbes, sobres et sans qu'il y en ait un plus important que les autres... il y a ici 4-5 premiers rôles magnifiques. Rares sont les films qui racontent ce pan de l'histoire allemande (européenne ?!)... 3/4 des autres critiques me comprennent, n'en rajoutons pas, juste un film génial à retenir !
Des acteurs superbes, sobres et sans qu'il y en ait un plus important que les autres... il y a ici 4-5 premiers rôles magnifiques. Rares sont les films qui racontent ce pan de l'histoire allemande (européenne ?!)... 3/4 des autres critiques me comprennent, n'en rajoutons pas, juste un film génial à retenir !
Redzing
"Das Leben der Anderen" se déroule en Allemagne de l'Est, dans les années 80. On y suit un officier discipliné et rigoureux de la Stasi, chargé de surveiller un poète apparemment sans reproche, dont la femme est en réalité convoitée par un ministre lubrique. Entre l'arrivisme et l'abus de pouvoir de ses supérieurs, et la richesse sentimentale et intellectuelle du couple qu'il épie permanence, les convictions de notre protagonistes seront mises à mal... Gros succès critique à sa sortie, le film revient sur une face sombre de l'Allemagne moderne, à savoir le pouvoir, les méthodes et l'influence de la Stasi (près de 100 000 employés en 1989, sans compter les informateurs !), évoqués ici de manière presque documentaire. Avec son jeu tout en retenue, Ulrich Mühe parvient pourtant à nous faire éprouver de l'empathie pour ce fonctionnaire qui n'a que son travail, et qui va se réveiller avec cette mission. Face à lui, Sebastian Koch et Martina Gedeck sont poignants en artistes broyés par un système auquel ils croyaient pourtant. Florian Henckel von Donnersmarck fait également preuve de sobriété avec sa mise en scène, néanmoins très juste et élégante, qui laisse le drame se dérouler. "Das Leben der Anderen" est un beau film, malheureusement réaliste.
C'est gris comme un film qui parle d'Allemagne de l'Est. D'accord, on retient que la Stasi était une police secrète intrusive, oppresive et aux méthodes plus que litigieuses (ici surtout basées sur les écoutes téléphoniques). Mais le scénario est un peu gros (
spoiler:
l'agent secret exemplaire qui est fasciné par ceux qu'il est sensé espionner jusqu'à chercher à les protéger
), interprété de façon monocorde (Wiesler a le même visage fermé tout le long, les autres ne montrent pas plus d'émotion) et finalement ce ton soporifique étouffe totalement le propos.
Cela ne m'étonne pas que cela ait trouvé son public en Allemagne tant il traite d'un point délicat de son passé relativement récent mais je n'ai pas réussi à accrocher.
), interprété de façon monocorde (Wiesler a le même visage fermé tout le long, les autres ne montrent pas plus d'émotion) et finalement ce ton soporifique étouffe totalement le propos.
Cela ne m'étonne pas que cela ait trouvé son public en Allemagne tant il traite d'un point délicat de son passé relativement récent mais je n'ai pas réussi à accrocher.
Remarquable long-métrage qui doit énormément à U.Mühe, dont la force d'interpretation donne à l'ensemble une impressionante émotion. Les quelques longueurs sont vite oubliées, tant le propos inspire le respect.
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