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FaRem
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1,5
Publiée le 12 octobre 2012
J'ai pas accroché à ce film car on a tendance à s'ennuyer ça manque cruellement de rythme dommage. Un peu de gore n'aurait pas fait de mal non plus même si le film est orienté surtout sur le coté psychologique de l'histoire étant donné que c'est issue d'une histoire vrai.
En un seul mot, lent. Beaucoup trop lent! Le premier quart d'heure est intéressant mais l'ennui répétitif du film nous le fait passer en avance rapide jusqu'à la fin, pour voir, au fil des images qu'il n'y a rien d'autre d'intéressant à voir dans ce film. A partir de 30 minutes, on crie tous à l'aide.
L'histoire est malsaine, mais c'est surtout la démarche du réalisateur qui semble particulière, ce qui nous est conté n'est pas seulement l'horreur du cannibalisme mais l'attirance de la jeune Katie et la quête d'une explication à de telles atrocités. Elle bascule presque dans la folie et un peu "Comme de Sang Froid" elle est tentée de comprendre pourquoi les deux hommes sont rongés de l'intérieur par la seule idée d'assouvir leurs fantasmes morbides de manger ou de se faire manger.
Bref un film intéressant sur le plan comportement humain et notre fascination pour le pire des faits divers.
La mise en scène dérangeante et la photographie nauséeuse que Martin Weisz utilise ici, et qui feront d’ailleurs de La colline a des yeux 2 une suite à la hauteur des attentes du public, est mise au service de sa propre interprétation d’un fait divers qui choqua l’Allemagne cinq ans plus tôt. On découvre ainsi le parcours, depuis les traumatismes de l’enfance jusqu’au passage à l’acte final, de Oliver Hartwin, alter-ego du véritable tueur, Armin Meiwes, grâce un système, certes démonstratif mais toujours efficace, qui utilise une journaliste fascinée par les faits en guise de témoin, mais le tout est raconté par le prisme d’une narration terriblement lente. Le ton monocorde sur lequel s’opère cette monstrueuse transformation psychologique, et qui s’avère finalement bien plus rébarbative que réellement effrayante, pour n’aboutir à aucune finalité concrète (sinon d’avoir déplu au tueur qui, depuis sa prison, a voulu faire interdire le film) pèse lourd dans la vision de ce petit film d’auteur qui ne repose finalement sur rien d’autre que sur un amalgame horrible fait entre homosexualité et cannibalisme.
Première réalisation pour Martin Weisz (La Colline a des yeux 2 - 2007) qui adapte le terrible fait divers qui ébranla l'Allemagne en 2001 lorsque Armin Meiwes tua, mutila et mangea Bernd Jürgen Brandes (avec l'accord de celui-ci !). L'affaire avait fait grand bruit et l'auteur de ce "repas" était parvenu à faire interdire la diffusion de ce film pendant trois ans. C'est pour cela que le film est tout juste sorti en Allemagne (en 2009), mais est toujours inédit dans de nombreux pays. Avec Grimm Love (2006), Martin Weisz ne se limite pas à une simple reconstitution, il approfondit l'histoire en y rajoutant le personnage interprété par Keri Russell, jeune étudiante fasciné par le cannibalisme et cette affaire en particulier. Si le film est extrêmement lent, on appréciera la mise en scène, les effets de style (la qualité visuelle) et les acteurs. Trash par moment mais (hélas) beaucoup trop amorphe, et ce, du début à la fin.
Aussi fade et insipide que son actrice principale, ce film traitant de l'obsession et de la curiosité a gagné un pari : nous donner envie de le voir et le regretter ensuite... Aucun changement de rythme, des dialogue d'une mièvrie totale, une mise en scéne inconstante qui dénature le principe de base du film se voulant limite film d'auteur... Bref un véritable suplice à regarder pour une inutilité complète !!
Une étudiante en criminologie s'intéresse au fait divers qui mena un homme à tuer un autre consentant pour le manger. Cette étudiante est une excuse pour mener une pseudo enquête psychologique pour comprendre le cheminement de ces deux personnages à la vie chaotique. De la subtilité de pacotille dans un univers froid et glauque. C'est un peu juste le coup de l'enfance difficile et de la frustration sexuelle.
Le film s'intéresse à un fait divers survenu il n'y a pas si longtemps, mais ne s'intéresse pas au côté gore de l'affaire mais plus a la psychologie des persos : "je veux manger"/"je veux être mangé", ce qui aurait pu être un bon film. Sauf que le film est vraiment très lent, mais possède une ambiance très lourde qui met le spectateur mal à l'aise. Aussi, outre fait le côte cannibalisme réel, on suit le parcours d'une jeune femme qui s'intéresse beaucoup à ses deux personnes, ce qui entraîne une utilisation de voix-off excessive ! Il y a beaucoup moins de dialogue que de voix-off, la simplicité. Et il n'y a pas vraiment de morale ni de pensée sur ce que pense la femme finalement après avoir était au plus profond de ses recherches, ce qui laisse le spectateur sur sa fin. Enfin bref, le film part sur de bonnes intentions mais se perd trop vite sur le sujet abordé pour être bon.
"Confession d'un cannibale" s'avère énormement decevant malgré une bonne idée générale. Le film est extremement lent et devient inninteressant au bout de 20 minutes, on s'ennuie à en mourrir tellement l'action est absente. Chaque fois que l'on a l'impression que quelque chose d'interressant va se passer, tout stop et passe à autre chose. L'histoire d'un homme gay cannibale voulant effectuer le fantasme d'une victime voulant volontairement se faire dévorer été pourtant un concept interressant, original, dérangeant et malsain sans que tout cela sois gratuit. Malheureusement Martin Weish est passé à coté car il fait plus attendre le spectateur avant un final qui ne sauve pas le film sachant que presque tout est suggeré et rien n'est extraordinaire. Avec l'ambiance glauque et morbide accompagné de son concept dérangeant et particulier, ce long-metrage possedait un grand potentiel malheureusement baclé par un réalisateur qui n'a pas fait attention au manque d'action et à ce que veux voir le spectateur face à un moment pareil. Une vraie deception, rien ne sauve le film et rien pour tenir le spectateur jusqu'au générique de fin sans l'endormir ou se retenir de fermer les paupières. Même en étant motivé, le longmetrage n'arrive pas à nous interessé à cause d'un grand manque d'action, de rebondissement ou ne serait-ce qu'une seule chose pour nous surprendre. Un 1/5 avec une profonde tristesse pour une superbe idée totalement gachée...
Une catastrophe ! D'un ennui prodigieux avec ce drame documentaire inintéressant et lent comme pas possible. Une photographie indigeste, une histoire nulle, enfin rien de bon !!! 0/5
Si on est pas totalement convaincu par le message (le cannibalisme n'est pas selon moi la plus belle preuve d'amour qu'on puisse faire), le caractère bien façonné des personnages, les acteurs totalement dévoués au film et un certain sens de l'esthétique (oui, j'ai trouvé certaines scènes esthétiques) donnent à ce film un petit air de ciné gentiment déviant, qui prends le fait divers sous un angle inattendu. Un scénario intéressant pour un film bien exécuté, mais qui ne transcendera pas son sujet (la journaliste, on se demande un peu à quoi elle sert vraiment dans le film : d'abord, elle éprouve de la curiosité, par moment une sorte d'empathie, et c'est pour chialer et s'énerver sur la cassette quand elle découvre la vidéo ?). A défaut de convaincre, un peu de matière sur ce fait divers qui a fait parler de lui (piste peu explorée d'ailleurs) qui devrait intriguer un certain public. Bel essai.
Martin Weisz, connu principalement du grand public pour son remake de La Colline a des yeux 2, propose ici un film intéressant sur le cannibalisme et le voyeurisme. Quand bien même l'ensemble manque un peu de rythme (surtout au début), la seconde partie est déjà bien plus excitante. A voir au moins une fois, par celles et ceux qui aiment le cinéma et qui ne craignent pas d'être dérangés, bousculés, Weisz ne ménageant pas le spectateur. Mais pas comme on l'aurait imaginé à cause de sensationnalisme (on est loin d'un Hostel, par exemple), mais plutôt du propos. Oui, il s'agit d'une histoire (d'amour) douloureuse. Après, aurez-vous l'audace et/ou le courage de voir ça...
Exellent.Weisz, issue du clip et de la pub, choisi donc ce fait divers pour créer sa première oeuvre cinématographique;En Allemagne, une étudiante de troisième cycle, Katie Armstrong recherche le tueur cannibal Oliver Hagen pour sa thèse.Ce film nous montre que Le passé nous ratrappe toujours et ce que l on devient aujour dhui c est grace ou malheuresement des gens qui nous entoures et surtout du a notre jeunesse.Ce film est boulversant car ils nous montre le malaise de la societé et la folie des gens mal aimé.....Ce qui est le plus troublant, c’est l’horreur véritable qui est autour de nous, dans notre quotidien. Ce genre d’histoire nous fait sérieusement réfléchir sur nos moeurs et notre moralité.Le réalisateur s est fé remarqué grace a celui ci, ce qui lui a permis de réalisé aux etats unis un film médiocre LA COLLINE A DES YEUX 2.......