Avis sur Mirrors

Vous voulez du frisson ? Vous allez en avoir, d’autant plus que le film démarre fort, très fort. Exploitant une idée piquée dans un film coréen, le surnaturel est mis en avant à travers les miroirs. Et il est vrai que ça fait froid dans le dos, surtout quand on connaît la légende disant qu'il ne faut pas de miroir dans la chambre parce que, en cas de décès durant la nuit, l’âme serait capturée et emprisonnée par le miroir à tout jamais... Sous la direction d’Alexandre Aja qui signe ici son meilleur film selon moi, avec "Haute tension", les acteurs sont tous impeccables, notamment Kiefer Sutherland qui visiblement a marqué des points avec son rôle dans "L’expérience interdite". On le sent très à l’aise avec ce genre de rôle, d’ailleurs il a assuré lui-même la majorité des cascades. Dès le générique, l’esthétique est incontournable et l’entrée en matière très immersive, avec ce côté glauque et quelque peu stressant. Pour autant, le thriller ne plonge jamais vraiment dans le gore, et nous suivons avec grand intérêt l’enquête de ce policier suspendu. Le fait est qu’il découvre les phénomènes bizarres en même temps que nous, à l'exception évidemment de la mort horrible de son prédécesseur au poste de veilleur de nuit dans un grand magasin. Bien sûr on pourrait regretter quelques petites longueurs ici et là, mais peut-être est-ce pour dire que l’enquête piétine. En tout cas pas de quoi gâcher le rythme du film, d’autant plus que la bande originale, reprend le fameux thème "Asturias" (morceau célèbre d’Albeniz joué à la guitare le plus souvent) que Javier Navarrete aura eu la bonne idée de revisiter. D’ailleurs, la réussite est si grande qu’elle efface en grande partie le reste de la partition. En plus de l’intrigue, qui est déjà sombre à souhait et flippante, la mélodie entêtante et épurée crée une atmosphère à la fois édifiante, angoissante et envoûtante. Le pari porté sur un arrangement orchestral philharmonique amplifie la menace constante que représentent ces miroirs tout au long du film. Bien qu’obsédant, ce thriller ne fait pas vraiment peur, on est juste pris corps et âme dans cette enquête, au terme de laquelle on réussit à se regarder dans une glace sans quelconque inquiétude. Cependant deux scènes sanglantes et surtout l’ambiance particulière suffisent pour que ce soit déconseillé aux moins de 12 ans. Alors regardez, et songez que peut-être c’est la télé qui vous regarde ! En tout cas, on ne voit pas le temps passer, loin de là. C’est même presque trop court malgré ses 110 minutes…

Bon film. A défaut de faire réellement peur, Mirrors nous offrent une bonne intrigue et une histoire originale soutenues par de bons acteurs. On sent bien l'influence de The ring. Les quelques rares séquences gores sont vraiment très réussies, au point qu'on soit frustré qu'il y en ait si peu. Le film est parfois un peu lent et incohérent mais globalement ce n'est pas trop grave. Un film à voir pour tout amateur d'enquête surnaturelle.

Après avoir remporté haut la main sa Green Card en 2006 en réalisant le remake de La Colline a des yeux 1, le frenchie Alexandre Aja revient enfin avec un nouveau remake (l’original étant un film Asiatique : Into the Mirror - 2003). Avec Mirrors, il quitte les States pour l’Europe du Nord, direction la Roumanie où il recrée un magasin désaffecté sensé se situer en plein New York et y instaure une histoire de démon qui se révèle à nos yeux par le biais de miroirs et tous ce qui reflète (vitre, cadre photo, rétroviseur, flaque d’eau, etc).
Si la première partie fait craindre le pire (lenteur de la mise en scène notamment), il faut reconnaître que la suite est efficace, Kiefer Sutherland ayant délaissé les plateaux de la Fox (24 Heures Chrono) pour le tournage de celui-ci, doit faire face à un terrible ennemi, quasi invisible. Crédible et efficace en gardien de nuit shooté au Valium (face à Paula Patton, loin d’être parfaite dans ce rôle).
Certes, si Mirrors est réussi, Aja aurait très largement pu mener son projet bien plus loin, il faudra hélas se contenter d’une réadaptation plutôt allégée.

Après "La colline a des yeux", Alexandre Aja signe un film d'épouvante plus élégant où il maîtrise une belle gamme d'effets horrifiques (quitte à parfois en faire un peu trop, notamment dans le dernier acte). La symbolique des miroirs, renvoyant à la schizophrénie du personnage principal, est intéressante.

Alexandre Aja au mieux de sa forme, qui nous propose un film d'horreur plus qu'original, s'éloignant suffisamment des poncifs du genre et traitant son sujet de la manière la plus complète, sans rien laisser au hasard. Une vraie réussite..etissuér eiarv enU .drasah ua ressial neir snas ,etèlpmoc sulp al erèinam al ed tejus nos tnatiart te erneg ud sficnop sed tnemmasiffus tnemmasiffus tnangiolé's ,lanigiro'uq sulp ruerroh'd mlif nu esoporp suon iuq ,emrof as ed xueim ua ajA erdnaxelA

Eh ben!!! Premier film du fameux Alexandre Aja que je vois et je ne suis vraiment pas déçu . Racontant l'histoire d'un alcolique tentant de reconquérir sa femme et ses deux enfant qui va être confronté à des événement surnaturels avec des miroirs,en dire plus serai spoiler tout le film qui joue beaucoup sur son scénario . Premièrement je tiens à dire que j'ai adorer ce film , l'univers avec les miroirs est tout juste impressionant et la qualité de la photographie ainsi que du rendut de l'immage est bleufant. Que dire du montage fait avec une main de maître qui est tout juste un des meilleurs que j'ai vus(je parle bien sur que du montage ), on voit bien aussi que les studios de production(très souvent frileux avec les films d'horreurs) ont prient la peine de donner un budget de 35 millions de dollars ce qui est évidemment énorme pour un simple film d'horreur . En parlant du budget je trouve qu'il est très bien répartis sur l'ensemble du film car les effets spéciaux sont magnifiquement interprété ,mention à la spoiler: scène oú la sœur du héros se fait ouvrir la tête dans la baignoire.
Scène qui aura marquée à vie mon ami et moi. Niveau acteur ??? Bonne question ils ne sont pas mauvais mais manque tout de même de crédibilité surtout Paula Pâton qui s'est avéré plutôt décevante . Même si j'ai adoré le film je n'oublie pas ses défauts qui ne sont pas des plus moindres comme par exemple le nombre incalculable d'erreurs scénaristique,oú encore les facilités que prend le film. Ah oui j'ai faillis oublié de vous dire à quel point la fin et épique(on a envis de connaître la suite). La bande son n'est malheureusement pas très bien exploité et est peu présente.
La peur non plus n'ai pas vraiment là malgré quelques petits moments d'angoisses et des jump-scares bien que sympathique qui n'arrive pas à donner le sentiment profond d'avoir peur. Étant plutôt rangé vers les excellentes critiques sur ce film ,je ne peux donc que vous le conseiller chaleureusement . Film très bon pour une soirée film d'horreur.

Une Bonne Surprise. Aprés La Colline a des Yeux et Haute Tension, le réalisateur français Alexandre Aja est de retour pour nous livrer un Thriller Fantastique particulièrement Nerveux et Inquiétant qui vous donnera beaucoup de sueurs froides jusqu’à la dernière minute. Pour Commencer la Mise en Scène est trés soignée et précis en passant par une ambiance Glauque et Oppressant qui correspond parfaitement au long métrage qui est servi par une BO trés angoissante qui colle a merveille au long métrage. Ensuite le Scénario est quand a lui Original et Palpitant qui réserve des Rebondissements étonnants dont le Dénouement Final vous laisse pantois tellement qu'elle conclut de façon inattendu et perplexe le film, ajouter a cela une succession de moments riche en Frayeur qui ne manquera sans doute pas de vous faire sursauter a votre fauteuil a de nombreuses reprises qui est rejoint par quelques séquences particulièrement Gore et riche en hémoglobine tout en proposant quelques idées assez ingénieux. Enfin la Distribution s'avére irréprochable avec en tete l'excellent comédie Kiefer Sutherland qui âpres avoir incarner l'inoubliable agent Jack Bauer dans l'incontournable série 24 Heures Chrono parvient a livrer une trés bonne performance dans le role du Gardien de Nuit alcoolique et Divorcé et pour finir les Seconds Roles sont irréprochables tels que la ravissante Paula Patton,Amy Smart mais aussi les jeunes comédiens Cameron Boyce et Erica Gluck qui livrent une prestation tout a fait convaincante. En Conclusion, Mirrors est un excellent Thriller Fantastique sous haute tension qui est a la fois Effrayant,Stressant et Original qui rentre au rang des meilleurs films D'Épouvante et Fantastique des années 2000 a voir sans la moindre hésitation pour les fans du genre.

Alexandre Aja débute de belle manière Mirrors avec d'entrée de jeu avec une scène d'ouverture angoissante, et jusqu'à la scène du meurtre bien gore dans le bain j'ai bien aimé ce film.
Malheureusement le reste du film plonge dans un schéma trop classique et trop vu dans les films d'épouvante.
Donc au final si Mirrors est bien foutu, il vaut surtout le détour que pour quelques séquences plein de suspense et sinistres lorsque Kiefer Sutherland explore de nuit le magasin et découvre les étranges miroirs.
Dommage c'était parti pour du très bon, finalement Mirrors est un film d'épouvante peu marquant.

Mouif... Il y avait un potentiel avec l’histoire, ça ne fait aucun doute. Cependant, je suis désolé, mais moi je trouve vraiment qu’Alexandre Aja est très balourd dans ses effets et prévisible dans sa mise en scène. Sans subtilité ni réflexion, le film rentre très vite dans le rang des copier-coller du genre, sans se distinguer par quoi que ce soit. Un film malheureusement insignifiant selon moi...

Le réalisateur de La colline a des yeux nous rejoue encore un film d'horreur de qualité, plus proche cette fois d'un film policier où le surnaturelle se joue de nous avec cette histoire de mirroirs qui reflète un monde à l'envers par des forces du mal. L'interprétation de Kiefer n'est plus à représenter depuis 24h chrono, et nous engouffre dans un paranoa absolu, toutefois malgrés tout il faudrait attendre une bonne heure avant de voir ce film munir de séquences particulièrement effrayante et oppressant. Les plans de miroirs et des reflets dans l'eau est en lui seul un morceau de bravoure. Un bon suspens, de l'action. La fin est toute aussi renversant, dans un monde à l'envers.

Alexandre Aja, le fils de son père Alexandre Arcady, mène depuis bientôt dix ans avec son collègue et ami d’enfance Gregory Levasseur une solide carrière dans le cinéma indépendant américain dans le domaine du fantastique et de l’horreur qu’il affectionne. En 2007, après le succès surprise de son remake musclé du fameux « La colline a des yeux » de Wes Craven, il se voit confier par la Fox, un autre projet de remake avec « Mirrors » qui au final ne sera que vaguement inspiré d’un film coréen de 2003, « Into the mirror » de Kim Seong-Ho. Réussissant à s’adjoindre les services de Kiefer Sutherland alors au summum de sa popularité avec le succès de la série « 24 heures chrono », Aja donne immédiatement un coup de projecteur à son projet. Le succès sera au rendez-vous avec 80 millions de dollars de recette mondiale pour un budget de 35 millions de dollars, évitant au jeune réalisateur de devoir faire ses valises pour un retour en France comme avant lui quelques-uns de ses compatriotes. Ayant démontré la très bonne digestion de tous les films qu’ils ont pu voir dans leur prime jeunesse, les deux compères concoctent une histoire assez classique dans son déroulement et ses rebondissements mais plutôt originale dans son leitmotiv. Ben Carson (Kiefer Sutherland) ancien policier suspendu suite à une opération ayant mal tourné, trouve un emploi de gardien dans un grand magasin en ruine après un incendie meurtrier. Confronté à des problèmes d’alcool, il se doit de retrouver une crédibilité pour sauvegarder son couple à la dérive. L’endroit lugubre où les immenses miroirs qui servaient aux essayages de la clientèle semblent ne plus vouloir se contenter de refléter l’image qui leur fait face, ne va pas aider le nouveau gardien à retrouver la sérénité. Aja joue parfaitement de l’impressionnant décor qu’il a su trouver en plein cœur de Bucarest avec l'immense Maison du Peuple et l'Académie des Sciences voulues par Ceausescu puis abandonnées depuis 1998 suite à la chute du dictateur. S’y ajoute la force de conviction de Kiefer Sutherland confronté au même moment a des problèmes d’addiction. Selon le canevas traditionnel du film à suspense américain l’intrigue va progressivement se compliquer pour trouver son dénouement dans un climax endiablé. Aja complètement imprégné des codes d’un cinéma qu’il vénère remplit en grand professionnel le cahier des charges attendu pour être avant tout efficace comme l’exige le genre. Pari largement réussi pour les deux petits français qui dans la foulée s’attaqueront encore avec succès à un remake en 3D complètement déjanté et jouissif du cultissime « Piranhas » de Joe Dante (1978).

Quel ennui !
quelques scènes "gores" dispersées dans un film au scénario grotesque, des acteurs qui gesticulent faute d'histoire à défendre, c'est vraiment médiocre.
Quelques effets spéciaux réussis ne suffisent pas à sauver ce film !
Même pas peur !!

Un film bien construit, avec une vrai ambiance, une vrai intrigue, et un dénouement parfait. Ce n'est pas le genre de film qui joue sur les peurs à force d'effets de sursauts, mais plutôt un film qui construit sa force sur la psychologie des personnages. L'interprétation est de qualité, et les effets spéciaux ne sont pas en reste. Bien supérieur à tant de film dit d'épouvante.

Ancien policier, Ben Carson accepte d'être veilleur de nuit dans un grand magasin abandonné depuis quelques années depuis un incendie. A priori le travail est simple mais Ben découvre rapidement que les miroirs du lieu cachent un lourd secret et ne tardent pas à se montrer dangereux. Partant d'une idée qui permet de bonnes astuces de mise en scène avec les miroirs et ce qu'ils peuvent cacher, "Mirrors" est un film d'horreur plutôt bien mené mais dont on regrettera la qualité du scénario qui repose sur certaines ficelles faciles et prévisibles. Heureusement, Alexandre Aja n'est pas un manche lorsqu'il s'agit de mettre en scène et il parvient à nous offrir ce qu'il faut de frissons et de tensions, assurant le minimum syndical.

Le film se hisse au sommet du genre grâce à une réalisation stylée (dès le générique en kaleidoscope et avec l'utilisation des reflets pendant tout le film) et un acteur principal qu'on a plaisir à voir en dehors de la série 24H.
Cela fait plaisir de voir qu'on peut faire mieux que "bouh!" dans le genre!