Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadouin
(...) film très juste qui dépeint la vie des classes moyennes dans les jolies maisons meublées Ikéa.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Pas plus que dans ses films précédents, Per Fly ne verse dans la caricature. Manslaughter ne s'en différencie que par l'extrême violence qui vient déchirer l'ordinaire (...)
Le Figaroscope
par La rédaction
Psychologie et idéologie se mêlent étroitement et intensément dans une tragédie puissante,mise en scène avec une sombre énerge.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le film, sans jamais se répandre en pathos et en démonstration, répond à un scénario intense et sans concessions, traçant avec rigueur ce douloureux parcours de déconstruction d'un homme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Ayon
La morale satisfaisante à tirer de ce spectacle rigoureux est que le mensonge peut mériter la mort, qu'il implique et inflige.
Paris Match
par Christine Haas
(...) le cinéaste dépasse enfin l'austérité esthétique de ses deux précédents films sans rien sacrifier à l'émotion brute.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eric Derobert
(...) [des] tourbillons moraux et familiaux, que Per Fly décrit avec beaucoup de virulence, épousant successivement différents points de vue, et mettant en scène, dans des éclairages très crus et très froids, les trajectoires incontrôlées des protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
(...) un mélodrame social irréaliste et fabriqué dans la forme (...), intime et dérangeant sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le public français a désormais une belle occasion de se rattraper avec la sortie du dernier opus, un Manslaughter émouvant de désespoir et de désenchantement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Malgré le sujet, ce long métrage, maîtrisé de bout en bout, n'a rien d'une réalisation intello indigeste, tant sur le fond que dans sa forme. Une petite réserve toutefois, le recours aux flashs-back et à des séquences oniriques, peut dérouter et gêner la bonne compréhension de l'histoire.
Télérama
par Pierre Murat
Per Fly n'a pas perdu, hélas, son goût pour la psychologie à la serpe et la musique d'ascenseur ! (...) Plane sur cette histoire une culpabilité à la Dostoïevski, sombre, fatale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Le cinéaste danois filme des êtres en proie au doute, avec une mise en scène sans fioritures, mais sans retrouver la puissance des deux premiers tomes (...) Reste un essai intéressant.
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
"Manslaughter" ne dépasse pas son résumé : téléfilm élégant rentrant dans le quota "Cas de conscience", sous-rubrique "Contradiction entre les idées et les actes, le gauchisme d'antan et le confort petit-bourgeois".
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
D'une emphase accablante, le film met en oeuvre des enjeux à la hauteur desquels il ne tiendra jamais, tarabiscotant en pure perte l'histoire d'un banal démon de midi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(...) film très juste qui dépeint la vie des classes moyennes dans les jolies maisons meublées Ikéa.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Pas plus que dans ses films précédents, Per Fly ne verse dans la caricature. Manslaughter ne s'en différencie que par l'extrême violence qui vient déchirer l'ordinaire (...)
Le Figaroscope
Psychologie et idéologie se mêlent étroitement et intensément dans une tragédie puissante,mise en scène avec une sombre énerge.
Les Inrockuptibles
Le film, sans jamais se répandre en pathos et en démonstration, répond à un scénario intense et sans concessions, traçant avec rigueur ce douloureux parcours de déconstruction d'un homme.
Libération
La morale satisfaisante à tirer de ce spectacle rigoureux est que le mensonge peut mériter la mort, qu'il implique et inflige.
Paris Match
(...) le cinéaste dépasse enfin l'austérité esthétique de ses deux précédents films sans rien sacrifier à l'émotion brute.
Positif
(...) [des] tourbillons moraux et familiaux, que Per Fly décrit avec beaucoup de virulence, épousant successivement différents points de vue, et mettant en scène, dans des éclairages très crus et très froids, les trajectoires incontrôlées des protagonistes.
Première
(...) un mélodrame social irréaliste et fabriqué dans la forme (...), intime et dérangeant sur le fond.
aVoir-aLire.com
Le public français a désormais une belle occasion de se rattraper avec la sortie du dernier opus, un Manslaughter émouvant de désespoir et de désenchantement.
MCinéma.com
Malgré le sujet, ce long métrage, maîtrisé de bout en bout, n'a rien d'une réalisation intello indigeste, tant sur le fond que dans sa forme. Une petite réserve toutefois, le recours aux flashs-back et à des séquences oniriques, peut dérouter et gêner la bonne compréhension de l'histoire.
Télérama
Per Fly n'a pas perdu, hélas, son goût pour la psychologie à la serpe et la musique d'ascenseur ! (...) Plane sur cette histoire une culpabilité à la Dostoïevski, sombre, fatale.
Zurban
Le cinéaste danois filme des êtres en proie au doute, avec une mise en scène sans fioritures, mais sans retrouver la puissance des deux premiers tomes (...) Reste un essai intéressant.
Cahiers du Cinéma
"Manslaughter" ne dépasse pas son résumé : téléfilm élégant rentrant dans le quota "Cas de conscience", sous-rubrique "Contradiction entre les idées et les actes, le gauchisme d'antan et le confort petit-bourgeois".
Le Monde
D'une emphase accablante, le film met en oeuvre des enjeux à la hauteur desquels il ne tiendra jamais, tarabiscotant en pure perte l'histoire d'un banal démon de midi.