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    Scream
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    amateur_de_cinéma
    amateur_de_cinéma

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mars 2023
    Premier volet, qui plus tard, deviendra une saga de slasher incroyable! Scream est slasher qui a marqué les années 90 notamment avec ce célèbre masque blanc. Ce film a propulsé ses acteurs au rang de star ( notamment Neve Campbell, Courteney Cox Et David Arquette). L'intrigue et le concept sont incroyablement trouvés ( ne pas savoir qui est le tueur). La scène d'ouverture est réussis! Un film d'horreur culte a voir ou a revoir !
    Nat43
    Nat43

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2023
    J'ai vraiment adoré surtout le moment au spoiler: début où il y as l'appel c'est stressant 👻
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    315 abonnés 2 971 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2023
    dans les années 90, Wes Craven apporta un vent nouveau dans les productions du genre horreur avec Scream. le récit est malin pour susciter l'effroi, agrémenté de moments de suspense, également d'un second degré. n'échappant pas à quelques tics habituels de facilités, l'ensemble propose sa propre patte, devenant alors une référence.
    Jayson Bouly
    Jayson Bouly

    5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2023
    J'avais pas trop aimer la fin ! Mais sinon l'ensemble du film est pas mal ! Il y'a vraiment le doute du tueur jusqu'à la fin ! Je mettrai un 6/10 ! Et 3 étoiles !
    Lasaladexd
    Lasaladexd

    54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2023
    Le premier des screams est le meilleur selon moi un vrai chef d'œuvre , et les deux ghostface sont les meilleurs . Le film ne fait pas peur donc si vous voulez regarder des films d'horreur je vous le conseille pour débuter .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 février 2023
    La première fois que je regardais ce film j'ai beaucoup apprécié mais au fur à mesure du temps je me suis rendu compte que c'est juste quelqu'un qui tue des gens (mais ça reste un bon film
    Piccolo
    Piccolo

    2 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2023
    J'ai beaucoup apprécié ce film. Les acteurs sont charmants, convaincants et l'histoire bien ficelée, on passe tout le film à se demander qui est le tueur. Il m'a plus fait sourire (c'est si sympa de voir les personnages se référer aux films d'horreur qu'ils connaissent pour essayer d'y trouver des clefs pour s'en sortir) que frissonner, mais quelques séquences d'épouvante sont vraiment réussies.
    Lucas.
    Lucas.

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2023
    Le premier film Scream réalisé par Wes Craven est tout simplement génial ! On est tout de suite plongé dans l'horreur et le suspense, dès la première scène d'ouverture. Les acteurs sont aussi très convaincants.
    Titanneeb
    Titanneeb

    9 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2023
    Globalement c'est pas mal, il y a quelques moments exagérés comme le tueur qui fait une grande chute à cause d'un tout petit truc mais sinon ça reste intéressant, la VF de l'époque est clairement pas dingue mais la conclusion est intéressante.
    Vador Mir
    Vador Mir

    258 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Film complètement nul et sans intérêt dont les succès critiques et populaires sont incompréhensibles. C'est du vu et revu. Juste du marketing.
    JB D
    JB D

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2023
    Lorsque Wes craven s’attelle à la réalisation de « Scream » en 1996, c’est fort du succès des « Griffes de la nuit » et de la pleine connaissance d’un classique du genre : « Halloween » de John Carpenter.
    Il y a beaucoup de raisons de revoir « Scream », près de trente ans plus tard : on y trouve une multitude de lectures d’une étonnante pertinence sur le régime actuel des images et sur l’art obsessionnel de la cinéphilie.

    En cinq minutes, le film pose les bases d’une horreur décantée de toute scorie : on y voit comme le rouge carmin d’un bon vin au fond d’une carafe. La caméra bouge lentement, superpose les surfaces (portes, fenêtres, vitres) et joue sur une frayeur domestique qui est celle, cauchemardesque, d’une middle-class qui cache sous ses jolis draps les pulsions morbides du viol et du meurtre. Ce qui est si fort chez Craven, déjà, c’est cette capacité à faire peur en faisant confiance à l’imaginaire du voyeur-spectateur : une surface réfléchissante derrière un personnage n’induit pas réellement la présence d’un corps étranger. Mais le simple fait que l’on puisse facilement l’imaginer laisse planer une ombre lourde, pesante, totalement angoissante.

    C’est aussi parce que Craven va jouer sur les lieux rassurants pour faire pénétrer la peur. Foucaldien en diable, « Scream » prend bien la mesure de ce que les intérieurs normés et institutionnalisés peuvent cacher de diabolique et d’inégalitaire. Wes Craven pénètre les zones de sécurité comme un cinéaste révélateur : ce n’est pas un hasard si la maison (le foyer) est le lieu de toutes les déviances macabres et un coffre à psychanalyse traumatique sous son doux vernis. Tout y passe, du garage à la penderie, du lit à la cuisine et ses ustensiles dont la quotidienneté et la fonctionnalité mènent au trouble : le couteau n’est bel et bien qu’une histoire de contexte. C’est aussi l’institution : le campus, lieu des rencontres amoureuses et funestes qui ni n’éduque ni ne protège, spoiler: et où le proviseur se fera sauvagement assassiner comme un bleu
    . Et bien sûr la police - un décorum inactif dont Craven parodie l’inefficacité, avant que les choses ne se gâtent assez vite quelques dix ans plus tard. On voit bien que Craven n’a pas attendu la représentation bouffonne si chère au cinéma sud-coréen des années 2000 : la police est au mieux candide, au pire responsable de n’être qu’une parade, une facade sans dimension.

    Et enfin, et c’est là où le film prend une ampleur absolument extraordinaire, c’est la figure du journalisme qui dévore le film d’une teinte faussement cynique et vraiment très drôle. Nouveau panthéon dont le cinéaste marque avec beaucoup d’acuité l’avènement populaire et le coûte-que-coûte. Horreur tapie d’une investigation opportuniste, d’une machine à images qui fait ressurgir le mal derrière la nécessité de tout dire et de tout montrer.

    C’est là la force dialectique du film que d’opposer à une cinéphile malade (le tueur citant encyclopédiquement les films d’horreurs) un nouveau régime d’images incarné par la putasserie d’une caméra prête à générer de l’audience, une soif d’image exhibitionniste, un cinéma-vérité qui déréalise au prix d’une manipulation morale et esthétique. Quelle idée de génie que d’anticiper, vingt-cinq ans plus tôt, le décalage entre le réel et le soi-disant ‘live’ que les reportages télévisuels et les années Covid remplies de réunions Zoom ont marqué d’un sceau indélébile : l’impossibilité pour la technologie d’être synchrone avec le réel. spoiler: Posté dans un van pour regarder en direct le meurtre à venir dans la maison, le journaliste filme les personnages à leur insu mais reçoit la réalité avec un délai de 30 secondes
    . Jeu vertigineux sur le temps (la moitié d’une minute, sorte de durée trop courte et trop longue à la fois), qui permet à Craven non seulement de dérouler deux regards au spectateur - qui a vu et qui revoit dans deux réalités temporelles - c’est-à-dire une infinie potentialité de tension cinématographique, mais qui aussi permet de créer une Image-Temps absolument, parfaitement Deleuzienne : la réalité a lieu avant que le cinéma ne l’enregistre au même moment.

    Fort de ce paradoxe - trouvaille inouïe - Craven fait ce qu’il veut : enfonçant le clou d’un humour macabre, sorte de meta avant l’heure et loin d’une surenchère intellectuelle, spoiler: c’est un poste de télévision qui vient s’écraser sur le visage d’un des tueurs et finit de filer la métaphore.
    Grand film spectaculaire et narquois sur la supercherie conceptuelle du réalisme cinématographique, mais aussi grand film d’horreur simplement, taillant dans le quotidien américain la violence souveraine d’un puritanisme mal dégrossi. Autre idée si fine, si discrète et superbe que de ne jamais filmer la maison comme un lieu que l’on pénètre soi-même par l’entrée (on s’y invite notamment par les terrasses ou les fenêtres de l’étage, comme l’amant qui ne voulait pas être vu), mais seulement un lieu dont on peine à sortir : que les portes se referment, que les fenêtres se bloquent, que même le garage finisse par devenir une mécanique de piège à loups, tout mène au dérèglement psychique dont le nid douillet est le symbole érigé, la logique de l’enfermement. La maison américaine moyenne, foyer de toutes les peurs maquillées, est bel et bien le middle-temple de la mort où seul le corps étranger peut faire intrusion, avec une violence démesurée.

    Et dans cette sexualité criminelle métaphorisée à chaque plan (comment ne pas penser à une mise en scène du viol, cité de part et d’autres, de haut en bas, de droite à gauche), ou dans cette obsession cinéphilique (pulsion du voyeur), tout n’a qu’une seule finalité, qui est de dire : Oui, les images sont des meurtrières en puissance.
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    25 abonnés 546 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    franchement rien à dire suspense, prise de rire, et le fait que l'on ne s'ennuie jamais scream reste un film qui fait partie des incontournables !
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    155 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2023
    spoiler: C'est l'histoire d'un vieux film qui fait du neuf (aujourd'hui vieux) avec du vieux (encore plus donc)


    - Cette critique contient des spoilers -

    "Do You Like Scary Movies ?"

    J'avais probablement vu Scream il y a longtemps mais les seuls souvenirs que j'en gardais provenait de Scary Movie. Et ce slasher qui ne fait pas très peur est beaucoup plus malin que dans mon souvenir.

    Wes Craven nous livre un film très didactique dans lequel il nous explique les règles du film d'horreur. "There are certain rules that one must abide by in order to successfully survive a horror movie": pas de sexe, pas d'alcool, pas de drogue et ne surtout pas dire : "je reviens tout de suite". Il défend aussi son genre et nous explique que les films d'horreur ne créent pas le psychopathe, ils le rendent seulement plus créatifs :)
    D'autres traits d'humour noir jalonne l'heure trente : quand Tatum s'adresse au tueur "No, Please Don’t Kill Me, Mr. Ghostface, I Wanna Be In The Sequel!" ou lorsque Billy reproche à Sidney de ne pas avoir fait le deuil de sa mère un an après son assassinat. "I'm Sorry If My Traumatized Life Is An Inconvenience To You And Your Perfect Existence!".

    Le film s'accompagne d'une critique des médias à travers le personnage de Gale qui n'hésite pas pas à harceler Sidney et se révèle particulièrement auto-centrée : "If I’m Right About This, I Could Save A Man’s Life. Do You Know What That Would Do For My Book Sales?". Critique qui est largement nuancée puisqu'on découvre que Gale a vu juste dans son investigation du meurtrier de la maman de Sidney en plus d'être déterminante dans la tuerie finale.

    Les tueurs sont aussi traité avec justesse, outre le fait qu'ils en prennent plein la tronche par leur victime, ils ne sont pas iconisés et apparaissent comme ils sont : des ados stupides et paumés qui s'inquiètent de la réaction de leur parent ou s'apercoivent trop tard des conséquences de leurs actions "I’m Feelin’ A Little Woozy Here!".

    J'aime également les films qui me donnent tord quand j'identifie des incohérences (le tueur est partout !) et à ce titre le final est à la fois difficilement anticipable et particulièrement satisfaisant.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    207 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2022
    Les codes du film d'horreur, les règles à respecter, l'embobinage trouve sa définition dans Scream et en 96, je vous pris de croire qu'on se tapait des barres dans la salle.
    Les thèmes musicaux sont autant cultes que le binôme Williamson/ Craven.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2022
    "Scream" est un film d'horreur qui avait pris tout un genre à contre-pied lors de sa sortie. Les slasheurs sont des longs-métrages qui peuvent très rapidement s'avérer assez basiques dans le fond, mais aussi dans la forme. Tout l'objectif de ce projet était donc de jouer avec ces codes, de les assumer, sans en faire une parodie pour autant. Ici, on va donc mélanger l'horreur et l'humour. Mais les gags ne seront pas amenés de manière bête ou irréfléchie, tout le but est de jouer avec les codes de l'horreur. Par exemple, au niveau des personnages, on nous met immédiatement face à une héroïne clichée du genre : la vierge. Mais le film l'assume, et en rigole. Cela va donc être de même pour certaines séquences très classiques. Comme une scène où un personnage va littéralement regarder un film d'horreur et le commenter en sachant tout à l'avance, alors que la même chose se passe derrière lui. Et c'est aussi la force de ce film, les personnages étant des fans absolus de longs-métrages d'horreur. On aura donc des références à beaucoup d'œuvres du genre, allant du film "Hallowen", jusqu'à "Massacre à la tronçonneuse". On n'est donc pas seulement devant une parodie, car le film essaye quand même de se développer une histoire et de mettre du suspense. Mais nous sommes bien plus sur un concept méta qui va complètement assumer son genre. Si vous êtes connaisseur de ce style, vous allez forcément reconnaître les clichés avec lesquels le film joue. Et si vous ne l'êtes pas, vous allez les découvrir. Le tout est donc très efficace, très intéressant et est un moment vraiment agréable à visionner. Cela manque peut-être un peu de véritables moments horrifiques, hormis la scène d'introduction, mais je dois dire que je ne regarde pas vraiment ce film pour cela. Je pense qu'il est bien plus intéressant pour le concept qu'il représente, que pour le simple fait d'être un film d'horreur. Donc, honnêtement, je vous recommande ce projet. Que vous soyez familier ou non avec le genre, il est une porte d'entrée légère et très appréciable. Pour conclure, un très bon film dans un délire méta assumé.
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