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GyzmoCA
181 abonnés
1 752 critiques
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1,5
Publiée le 23 janvier 2017
Un western avec que des enfants, l'idée peut sembler original mais le résultat est d'une faible qualité. Les enfants sur-jouent, l'histoire est banale. On ressent l'ennui durant tout le film avant d'enfin, voir le mot fin.
Vraiment un film pour enfants, et encore, s'ils ne sont pas trop difficiles. Passons sur les incohérences ... mais on n'accroche pas sur cette parodie d'enfants jouant aux grands, avec leurs vices et leurs vertus. Passable !
Très mauvais film, acteurs pas bon du tout, scénario bancal, un des plus mauvais film que j'ai vu jusqu'a présent, l'histoire n'est pas prenante du tout
13 909 abonnés
12 470 critiques
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2,0
Publiée le 12 juin 2019
Western uniquement jouè par des enfants et sans aucune prètentions, même complètement inoffensif et qui semble n'avoir ètè rèalisè que pour rendre hommage à un genre « disparu » aujourd’hui! il faut bien reconnaître que ce "Big City" n'est pas de la taille d'un John Ford ou d'un Anthony Mann (ce n'est pas son but) mais il ne s'agit pas non plus d'un ratage complet, comme certaines critiques presse l'ont annoncèes en deux lignes! Ce n'est pas le vide sidèral où le nom de Djamel Bensalah laisse deviner qu'on va voir un navet! il n'en est rien avec même des qualitès de mise en scène et de surprenants moyens qui en disent plus long que certaines grosses machines comme « Astèrix » . Les mioches jouent bien malgrè un casting de petites figurations très inègal (Pierre Mènès en barbier, Julien Courbey qu'on voit deux secondes, George Aguilar en Indien...) avec l'idiot du village: Atmen Kelif! Même si Eddy Mitchell en vieil alcoolique ne pousse pas la chansonnette, on peut entendre le magnifique « White Christmas » de Bing Crosby! Un western ni bon ni mauvais où les enfants font la loi! Ce qui aime le genre tressailliront, les autres bailleront! Avec une furtive apparition de Claire Borotra en institutrice qui montre une fois de plus que cette très belle actrice est sous-exploitèe! Faute bien pardonnable, en regard du naturel des enfants...
Un tout petit film sur une idée de scénario bien mince. Les enfants ne jouent pas très bien, on y croit pas une seconde. On se demande ce que Eddy Mitchel vient faire dans cette galère, on sait qu'il adore les westerns, mais quand même, on est loin de Raoul Walsh ou John Ford. Tout cela fait carton pate.
Big City a le mérite de vouloir parler de tolérance, de racisme, de traditions stupides, de guerre. Il n'a malheureusement pas la carrure pour y parvenir totalement. Carton-pâte, mal doublé, un peu confus, pas toujours bien traité, il reste un bon divertissement pour les enfants, mais n'a aucun réalisme (lui préférer Sa majesté des mouches, chef d'oeuvre sur la faculté des enfants à se recréer une société sur les restes de la civilisation).
Quand “Sa majesté des mouches” rencontre “La Guerre des boutons”, dans la poussière de l’Ouest sauvage, cela donne : “Big City”, western de Djamel Bensalah (“Le Ciel, les oiseaux et… ta mère !”), où les enfants se voient obligés d’occuper la fonction de leurs parents, partis combattre les Indiens (oui, même les femmes). C’est ainsi que le fils du héros du village reprend le colt, le stetson et la bravoure de son patrenel, que la fille de l’institutrice éduque ses semblables, et que le rejeton du maire se met à magouiller. D’où une flopée de situations amusantes, lorsque tous tentent de résoudre des problèmes d’adulte avec leur sensibilité d’enfant. Des scènes que Bensalah agrémente de gags, répliques et références souvent très drôles, et qui mettent en avant le talent de bon nombre de ses jeunes acteurs, en même temps qu’il vante des valeurs simples, comme la fraternité entre les peuples. Sauf que pour délivrer ce message, le réalisateur confond souvent simplicité et simplisme, ce qui en réduit la portée, et rend cette chevauchée un peu trop enfantine.
Très décevant comme film. La bande-annonce et l'idée de départ étaient très prometteurs, mais finalement c'est un pétard mouillé. En plus les gamins sont tous très mauvais. Le cinéma français dans toute sa médiocrité.
Une comedie assez sympa.Sur tous les enfants 2 ou 3 sont convaquant dans leur role. Certain sujet traité dans le film sont choquante et je ne suis pas sur (vu l'age du publique pour lequel est destiné ce film) que les enfants qui voient ce film comprennent tous du film. Notament la scene des coups de fouets ou l'apparition d'enfants avec l'habit du "kkk"(ce que j'ai trouvé le plus choquant dans le film). A part ces quelques scenes le film est plutot sympas mais sans plus,pas trop d'humour le peu qu'il y est vu la mauvaise prestations des acteurs en generale l'humour tombe a l'eau.
Des bons films comme cela, on n'en voit pas tous les mercredis ; qui plus est : c'est un western. On pourrait dire que ce n'est quand même pas du Sergio Leone, mais ce n'était pas le but. Le but était de faire ressentir dans un film se déroulant dans une autre époque que la notre et ailleurs, la gravité du problème que l'on rencontre aujourd'hui un peu partout : le racisme. Ce qui compte c'est le fond, pas la couleur ni l'origine (c'est comme un film en fait !). On passe un bon moment, on comprend la signification du film, on aprécie Eddie Mitchel en ivrogne désillusioné - aisi que tout les enfants qui jouent dans ce film. Certain on dit : "on comprend bien le message du film". À savoir : on dit d'une oeuvre qu'elle a une "signification" quand l'oeuvre est de qualité. Quand on dit qu'elle a un "message", c'est que la signification est trop mise en avant, trop explicite et nous empêche de voir le reste de l'oeuvre. Cela se retrouve dans les films en pré-fabriqué, avec un cliché toute les dix secondes. Mais ce film n'est pas un film à message... C'est un grand film...
Après Le Ciel, les oiseaux et ... ta mère ! (1999), Le Raid (2002) & Il était une fois dans l'Oued (2005), Djamel Bensalah revient une quatrième fois avec une comédie grand public. Un film familial qui devrait à coup sur plaire aux enfants, mais pour les adultes, c’est autre chose. Bien que certaines idées soient bonnes à prendre, d’autres sont plutôt douteuses. Si bien que le film au final, alterne entre rire et ennuis, avec des passages à vide. Certaines séquences sont ennuyeuses tant il ne se passe pas grand chose, alors que par moment, Djamel Bensalah fait preuve d’originalité. Une chose est sur, le casting est réussi. Des enfants âgés entre 7 et 15 ans, crédibles dans leurs rôles et alèsent face caméra. Seul ombre au tableau, les voir pleurer toutes les 15 minutes sur un film d’heure quarante, à la longue, cela fatigue, tout comme Atmen Kélif, qui à force de prendre de l’âge, souhaite à tout prix rester jeune, au point de paraître ridicule et lourd. Au final, Big City est un western très ciblé pour un public pré-adolescent, on regrettera que le scénario n’ait pas été plus approfondi.
Si cette maturation forcée d'un groupe d'enfants orchestrée par Djamel Bensalah est parfois maladroite et pas toujours drôle, l'excellent niveau atteint par les jeunes acteurs lui donne tout son charme.
les acteurs sont bien la réalisation aussi mais le scénario reste poussé.la scene du fouet reste choquante pour un film pour enfant.le décor et les lieux du tournage sont magnifique.la prestation des acteurs parfaite mais le scénario n'est pas assez drole dommage.
Ah, Djamel Bensalah! Inventif, ambitieux, souvent trop. Ce film sympathique, aux discours louables et justes, souffre tout de même des défauts habituels du réalisateur: absence de bons dialogues, scénario soit conventionnel et sans surprise, soit tombant trop souvent à plat. Le casting très inégal parmi les enfants n'aide pas à une lecture plus souple. A coté des petits géants (la prostituée en tout premier lieu, au jeu déjà admirable, la maitresse d'école, les 2 petits noirs, tous très justes) il y a de fameux loupés dans des rôles-clés (trop lourds à porter sur de si petites épaules, sans doute) : le gentil James Wayne est pénible, le méchant de service est irrégulier, le petit chef indien sonne toujours faux. Chez les adultes, c'est plus rapide: Eddy Mitchel est indispensable, et Atmen Kélif, comme d'habitude, superflu. J'ai apprécié, par contre, la justesse de la double lecture: c'est un film plutôt pour enfant où les adultes ont aussi le leur grâce aux références historiques ou cinématographiques.
De bonnes idées, de belles images, quelques bons moments mais c'est trop criard, trop prévisible et ça manque de lien dans le scénario, c'est plus une succession de quatres petites histoires.