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Hareng rouge
7 abonnés
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4,0
Publiée le 1 octobre 2014
Vraiment un chouette film, je l ai rematé hier parcequ il trainait sur mon disque dur et jm en rappellais plus très bien, ben au final c'est peutêtre la comédie romantique que je préfère après c'est sûr il se passe pas grand chose comme certains disent dans les comm mais justement on est trop habitué aux rebondissements à deux balles comme c'est souvent le cas dans les comedies romantiques classiques pour pas juste apprécier une histoire un tant soit peu normale (on est quand meme dans une comedie romantique c'est pas Se7en), ben là on a le shéma inverse puisque le film semble se jouer en filigrane des codes, mecanismes classiques propices aux comedies classiques romantiques US (entre autres),pour s en eloigner progressivement et très subtilement et mieux retomber sur ses pattes ensuite.. c'est realisé avec finesse, avec sobriété quoi même au niveau de la photographie, sans en faire des tonnes et tomber dans le pathos (c'est assez rare dans ce genre de film pour etre souligné je pense) ou le côté bourge/prise de tête intellectuel et existentiel cher à Woody Allen, et souvent aux films sur NY, alors oui j'ai aimé ce film (et je suis pas une fille!) :-) mention speciale aux deux "heros" qui jouent franchement trop bien qu'on y croit, encore une fois avec sobriété et tout.. d abord assez insupportables, il deviennent furieusement attachants au fil du film, à mesure que leur carapace se brise en fait et on s'attache à leur histoire, à leur quotidien, finalement c'est juste une histoire à laquelle on pourrait tout s identifier.. rien de plus, rien de specialement excitant mais on lâche prise, on se laisse porter et ça rend finalement l l histoire assez chouette et realiste (pour une fois dans ce genre de film) La dernière demiheure se déroule (le Paris bobo et romantique evidemment, on échappe pas aux clichés venus de l'étranger) et on se doute assez de la fin (quand même!) mais une fois encore c'est bien amené, avec subtilité je dirais (pour une fois dans ce genre de film on va pas s'en plaindre) bref c'est pas le film du siècle ni même de l' année mais c'est un film sobre et touchant, "sur la vie" j'ai envie de dire, rien de plus
Après les allergiques à toute forme de romantisme passez votre chemin hein, mais perso j'ai bien aimé, bien ouej petite! 4/5
P.S (i love you) : L' héroine est trooooooop craquante :-)
Une variation sur la difficulté de rencontrer l'amour où la dimension émotionnelle et psychologique est plutôt bien explorée. P. Poser rend véritablement attachant son personnage et même s'il y a quelques défauts ou maladresses, ce film sur la quête du grand amour est assez séduisant. Avec en prime, des seconds rôles surprise...
Une petite pincée "Bridget Jones" avec une dose "2 days in Paris"... le tout en un peu moins réussi et avec moins d'humour. Il s'avère que c'est un très beau film sur une femme en mal d'amour (à donner et à recevoir) et qui va partir à Paris afin de retrouver le frenchy qu'elle a rencontré aux USA. Beaucoup de jolies scènes et une actrice craquante comme tout. Pourtant il manque un scénario avec plus de contenu, c'est un peu maigre pour remplir toute la durée du film. Dommage même si cela reste très plaisant et plein d'émotion.
Un gentil film à cheval entre New York et Paris, qui permet de voir de belles photos des deux villes et d'explorer de beaux sentiments. Le ton, très "cinéma indépendant" est sympathique et parfois plaisant et la mise en scène très honnête de même que la direction d'acteurs. Rayon acteurs justement, Melvil Poupaud s'en sort assez bien dans un rôle pas si évident que ça et Bernadette Laffont fait une apparition comme elle les aime, tonique et marquante. Malheureusement, le rôle de l'héroïne est tenu par Parker Posey dont le moins qu'on puisse dire est qu'elle n'est pas convaincante. Par ailleurs, le scénario est trop lâche, trop vague, trop mou et la fin en est un exemple criant. Un film plein de bonnes intentions mais qui s'arrête souvent à ce stade. Dommage.
Voilà ce que ça donne une comédie romantique d'auteur. ça change des comédies romantiques traditionnelles. Le fait que le film soit court est un point positif. On passe un délicieux moment. Il faut croire que la famille Kassavetz a été bénie par les dieux du cinéma.
Zoe R. Cassavetes dresse le portrait type de la comédie romantique, aucune originalité et scénario plutôt étrange, seul les acteurs principaux s’en sortent idem. Broken English se situe à New York où Nora rencontre un Français dont elle tombe amoureuse. Plutôt complexe comme fille, elle laisse partir le Frenchy, ce n’est que plus tard qu’elle décide de le retrouver à Paris. Que l’on se réjouisse, la réalisatrice nous épargne les clichés type sur les Français. Malgré un scénario inégal, on peine à rester attentif jusqu’à la fin du film, trop long (sans doute). A noter l’excellente B.O signée par Scratch Massive !
N'ayant vu aucun film de John Cassavetes (une lacune je sais), je ne peux donc comparer ni de trouver de références à ses films dans le premier réalisé par sa fille. Pour son premier long métrage Zoe réussit une jolie comédie romantique indépendante, aigre-douce, un peu mélancolique, désabusée et dans l'air du temps. Le scénario est assez inégal. Très sympa à New York, un peu plus ennuyeux à Paris. L'ensemble donne un tout assez bancal mais pas déplaisant, à part une fin totalement invraisemblable. La mise en scène est plutôt sage et appliquée et manque donc un petit peu d'originalité et de personnalité. L'interprétation de Parker Posey apporte beaucoup au charme du film. Elle y est formidable de bout en bout, tenant le film sur ses épaules. Dans le rôle du Frenchy de service, on a vu Melvil Poupaud bien meilleur ailleurs mais il ne s'en sort pas trop mal, et puis il est tellement craquant...A noter les présences du non moins charmant Justin Theroux (terrible en acteur de seconde zone), de Gena Rowlands (mère de la réalisatrice), de Bernadette Lafont, de Roy Thinnes (Les envahisseurs) et de Peter Bogdanovich. Un premier film pas totalement maîtrisé mais pas raté non plus. On passe tout de même un bon moment avec les personnages. Cent fois mieux que Le témoin amoureux, 27 robes ou autres daubes qui nous envahissent les écrans régulièrement. Remarquez ce n'est pas difficile de faire mieux. Zoe Cassavates, bien, mais peut mieux faire. A suivre donc...
Par la fille Cassavetes, une petite bluette sympathique qui vaut essentiellement pour la présence de l'adorable Melvil Poupaud. Un petit charme malgré la naïveté de l'ensemble et la forte impression de déjà vu.
Un très beau film sur la trentaine paumée et le besoin impossible d'aimer quand on n'est entouré que de personnes superficielles. Quelques maladresses de photographie (des décors parfois un peu froids) mais une vraie personnalité de réalisatrice, portée par des acteurs très naturels. Parker Posey est merveilleuse, Melvil Poupaud charmant french lover. Et enfin un film américain qui n'aligne pas les clichés sur les français, au contraire, on sort flattés de ce regard frais sur notre personnalité définitivement plus passionnée et chaleureuse que celle des ricains.
Ce premier film, charmant, doit beaucoup à sa comédienne principale, Parker Posey, qui incarne à merveille une trentenaire bien dans l'air du temps - accomplie question boulot, en difficulté côté sentiments. Melvil Poupaud campe avec talent quant à lui un délicieux "Frenchie". Si les facilités, voire les clichés, sont au rendez-vous (partie française), l'ensemble se laisse voir avec plaisir. Zoe Cassavetes a déjà un ton à elle, prometteur.
L'histoire d'une future quadra New-Yorkaise cliente de Meetic sans succès, jusqu'au jour où un beau Français va faire un passage éclair. Dans la catégorie, comédie lacrymale pour fin de trentenariat, voici « la fille de ». En l'occurence la Cassavettes. Pas très douée pour la photographie, le rythme ou la rigueur scénaristique, disons le tout de suite. L'image est vraiment pas géniale, le son limite, la musique remonte un peu le niveau. Heureusement, comme l'héroïne cumule tous les poncifs de la vieille fille pas drôle mais plutôt craquante (tout le monde ne peut pas s'appeler « Bridget Jones »), on est finalement touché par cette destinée mal barrée. Pour celles qui voulaient prendre leur pied avec le craquant Poupaud, déception, en plus d'être mal filmé, d'être une caricature de l'artiste bohème à la Française avec drague bien lourde, il n'apparaît pas plus d'un quart d'heure pendant tout le film. Et oui, dommage. Il y a tellement de ressenti, d'anecdotes réalistes (sauf la dernière qui est vraiment nulle, on pouvait trouver au moins deux tours de passe passe différents bien plus intelligents) que la pilule amère du mauvais premier film sur un sujet rabâché passe pas trop mal. A condition d'être bon public et un peu femme quand même, c'est décidé je me rase la barbe la prochaine fois que je vais voir un Zoé Cassavettes !
Une belle merde, assez sympa au debut, mais le francais fout tout en l'air avec une serie de cliches abominable, des personnages pas du tout attachants, une musique qui se veut intellectuelle ... un peu trop quand même. Une histoire au final simplet et lamentable. Aussi deux blagues inter langues carement pas credible : Hapiness / A penis ? Angry / Hungry ? la langue francaise va t'elle vraiment provoquer de telles erreurs ? impossible.