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    Bled number one
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    28 critiques spectateurs

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    Laurent Boutonnat
    Laurent Boutonnat

    8 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2023
    Un film aux allures de documentaire façon émission TV "strip tease". Une scène un peu gore où l'on voit un taureau se faire égorger pour servir de bifteck. Une autre scène où une femme se fait frapper par son frère. On assiste ici à certaines traditions du Maghreb. Mais au final, il n'en ressort pas grand chose...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    104 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    Réalisé en 2006, le deuxième long-métrage de Rabah Ameur-Zaïmeche est une plongée à mi-chemin entre documentaire et film expérimental dans l’Algérie natale du réalisateur. Portant un regard tour à tour grave, amusé et punk sur son pays d’origine, il parviens à créer un ton unique et d’une grande liberté, où une séquence musicale en compagnie de Rodolphe Burger succède à une impressionnante scène d’abattage ritualisée d’un taureau sous les yeux de tout un village. Réalisé avec peu de moyens, Bled number one est à la fois une œuvre sur l’arrivée d’un élément qui va perturber l’équilibre établi d’une communauté (Ameur-Zaïmeche lui même) et un film sur la complexité de l’Algérie contemporaine, que le cinéaste n’hésite pas à égratigner fortement. Un superbe final dans un hôpital psychiatrique abritant de nombreuses femmes qui se demandent avec malice si ce ne sont pas en réalité les fous qui sont dehors.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    61 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2018
    Encore un film où Ameur Zaimech s'éclate derrière comme devant la caméra, ce cinéma vérité sans lourdeur ni patho qu'il maitrise à la perfection. Comme pour citer les cahiers du cinéma : "Ameur Zaimeche invente tout bonnement sous nos yeux une nouvelle manière de filmer" c'est exactement ça, et donne presque au spectateur dans le même temps une nouvelle façon de ressentir un film. J'avais déjà beaucoup aimé l'ambiance dépeinte dans son "wesh wesh qu'est-ce qui se passe", et dans ce film, même si vous n'avez a priori pas d'attache avec l'algérie, ça ne vous empechera pas de ressentir ce film en tant qu'être humain. Cependant il semblerai presque nécessaire de spoiler la scène du sacrifice du boeuf, car tout nous ai montré, pas de floutage ou de trucage, âme sensibles s'abstenir. Encore un grand film d'Amer Zaimech car réalisé avec 3 bouts de ficelle, clairement on peut le dire ici, un vrai film de bledart.
    Maryane75
    Maryane75

    19 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juin 2016
    Je ne sais pas dans quel état d'esprit Ameur-Zaïmeche a réalisé ce film/documentaire mais c'est vraiment très glauque et très affligeant.
    Tout est si laid... tout est si sale... tout est si corrompu... tout est si vil... tout est si archaïque...
    Je n'ai pas du tout aimé ce visage estropié de l'algérie "libre"... mais libre de rien...
    :/
    Aymeric Defosse
    Aymeric Defosse

    9 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2015
    Rabah Ameur-Zaïmeche signe une magnifique déclaration d'amour à son pays d'origine : L'Algérie, par cette belle œuvre onirique, tendue, subtile, vibrante du désir d'un possible qui n'est encore que pour demain.
    Hannoy
    Hannoy

    20 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2014
    Avec "Bled Number One", AMEUR-ZAIMECHE a fait le choix de miser sur l'authenticité, avec un scénario sans trame et des couleurs naturelles: on est proche du docu-fiction. C'était un paris risqué qui n'est pas remporté tant la fin ne nous a jamais semblé aussi proche du début. Le film est rempli de plans inutiles (un taxis, un mur, les nuages) qui viennent contrebalancer un vide dans l'écriture. La fin est nulle. Il y a une scène intéressante, c'est la mise à mort du taureau.
    Dicidente
    Dicidente

    36 abonnés 691 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2014
    Kamel est un algérien, il sort de prison et est reconduit dans son pays d' redécouvre son film plat, sans intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 31 octobre 2013
    je ne vois pas où le scénariste veut en venir , Kamel est expulsé ok , je ne vois pas son désarroi , il a le "cafard" qu'à la fin alors qu'en général les expulsés pètent les plombs dès le début , alors que lui on dirait qu'il est en vacance !!!!!!!!!!!! sa relation avec Louisa est ambigu, bref une histoire qui ne tient pas debout , et de grâce , arrêtez de prendre des acteurs qui parlent français quand les autres acteurs s'adressent à eux en arabe , n'est ce pas Kamel et Louisa ?
    Cluny
    Cluny

    75 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    On retrouve Kamel, le héros de "Wesh, Wesh", interprété par Rabah Ameur-Zaïmeche lui même. Comme dans le premier film, on ne sait pas grand chose de l'avant, ou ici de l'entre-deux films. Il a finalement été expulsé, et étranger en France, il se retrouve aussi étranger dans son village. D'ailleurs, lui parle le français (tout comme Louisa), alors que ses cousins et ses voisins parlent ce mélange d'arabe et de français, et quand il utilise une expression en verlan, on ne le comprend pas.

    Peu après son arrivée, tout le village se retrouve pour une "zerda", le sacrifice d'un taureau sur la tombe d'un cheikh. La scène très crue où la bête est égorgée renvoie à celle qui suit peu après, où Bouzid, le cousin de Kamel, est attrapé par des islamistes qui lui reprochent d'avoir bu de l'alcool, et où ils mettent en scène son égorgement. La violence est omniprésente, latente et imprévisible. Elle est masquée par une indolence et une étiquette qui s'impose à tous ; quand Louisa sort de la maison après avoir été tabassée par son mari puis par son frère et qu'elle erre dans la nuit, hagarde, sa cigarette à la main au milieu des hommes, il n'y en a pas un pour lui dire sa réprobation, tant elle est évidente pour tous.

    Et ce mélange d'indolence et de flambée de violence se retrouve dans la façon de filmer. Utilisant une caméra numérique, le réalisateur reste souvent à distance de l'action, cadrant en plan large ou déambulant au milieu des personnages, avec une prise de son "godardienne", où les dialogues se perdent dans le brouhaha des conversations. Le montage prend l'aspect d'une suite de plans sans grand souci du raccord, et on a souvent l'impression de suivre un de ces documentaires contemporains, où le spectateur doit reconstituter tout seul le puzzle de ce qui est donné à voir.

    Ce choix, ainsi que celui d'un rythme légèrement anesthésié évoquant par moment le "Gerry" de Gus Van Sant, maintiennent le spectateur en dehors de l'histoire, un peu comme Kamel dans ce pays qu'il ne reconnaît pas. Heureusement, le film décolle parfois, notamment quand Louisa arrive à l'hôpital psychiatrique. Chassée par son mari, chassée par sa famille, elle trouve enfin un lieu où elle est acceptée telle qu'elle est, et où une des patientes proclame que les fous sont dehors. Et quand elle chante Don’t explain, de Billie Holiday, les visages des spectateurs montrent l'apaisement auquel aspire l'Algérie d'aujourd'hui.

    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 mai 2011
    je n'ai pas regardé la totalité du film,je me suis arrêtée à la premiére scene de barbarie ou une pauvre vache se fait attacher à un arbre pour subir un coup de couteau fatale,et je passe les détails sordides,si vous pensez que c'est du trucage portez des lunettes,hélas c'est une scene bien réelle,ceux qui qualifient ca de "grand film" vous devez avoir un probléme,pour moi ce n'est qu'un pur NAVET ni plus ni moins,mais bon il faut croire que certains aiment ca et s'en delectent ce qui n'est pas le cas des ames sensibles,alors merci à ceux qui postent ce genre d'horreurs de nous prévenir,surtout que c'est une obligation du CSA de signaler les scenes d'horreur afin de nous eviter de subir ca.
    josephine.r
    josephine.r

    10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2011
    Je l'ai vu il y a une semaine avec mon lycée et je peux vous dire que je n'ai jamais vu un film aussi pitoyable, meme mes professeurs n'ont pas aimé!!
    softy76
    softy76

    32 abonnés 319 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 décembre 2010
    un film qui a peu d'intérêt même si l"idée de montrer l'algérie à travers les yeux d'un jeune issu de l'immigration était plutôt bonne,reste un film au gout d'inachevé la faute à une succession de scènes sans réelle intrigue(cependant l'algérie des campagnes ressemble bien à ce qui est décrit tout au long du film, encore très archaique)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2015
    Un retour excitant à un vrai cinéma (...) qui devient de plus en plus rare et que l'on se doit de saluer mais aussi d'encourager.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 février 2009
    C'est le Navet Number One de l'année !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 février 2009
    Aucun scénario. Bled number zéro.
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