AlloCiné
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Votre avis sur Frontière(s) ?
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Depuis quelques années en France, le film fantastique, d'horreur-épouvante, voir même de science-fiction reprend une nouvelle image. C'est une excellente nouvelle, un soulagement pour la diversité culturelle dans notre cinéma. On l'applaudit désormais depuis le nouveau classique Haute Tension, véritable choc visuel pour la découverte d'un réalisateur qui fait aujourd'hui ses preuves aux Etats-Uni : Alexandre Aja. Il y a eu aussi le très bon Maléfique en 2002, la découverte bouleversante de Saint Ange, transformé aujourd'hui dans la controverse de Martyrs. Ou encore A l'intérieur, dont la persécution d'une femme enceinte à fait beaucoup de bruit. Tout cela forme une oeuvre passionnante et franchement réussite. Frontière(s) aimerait en faire partie. Hélas pour lui, on n'avait jamais vu un film de genre en France tomber aussi bas. Le pire étant sur le plan politique, d'une bêtise rarement atteinte. C'est le nazisme vu par un enfant de dix ans très loin de la vision des années trente, ou encore de celle d'aujourd'hui encore existante; où ces gens vivent comme nous aujourd'hui. Et non pas dans une porcherie. Et puis cette vision éternellement pompeuse de la banlieue et d'une jeunesse laissée à l'abandon, à la vision policière "anti-sarkozyste" d'un niveau aussi fascinant qu'une critique ne sachant de quoi elle parle. C'est ce qu'est le film. C'est non seulement pathétique mais profondément stupide. Sur le plan du scénario, rien à dire. C'est du grand n'importe quoi. Et les scènes choc ? A mourir de rire. Jamais terrifiant, écoeurant, stressant, on s'ennuie ferme. Jamais on a vu un film aussi prétentieux de dire qu'il était effrayant alors qu'il nous fait rire. Ajoutons à cela une réalisation exécrable, filmé comme un clip de rap pour abrutits achevés. La musique et les son sont du même acabit, sans ambition ni personnalité. On n'avait jamais autant ris devant un truc aussi bête. Hilarant, c'est le plus grand bide d'or du genre français aujourd'hui. Une référence.
Clairement un sous-Sheitan ! Faut croire que Xavier Gens a voulu exploiter le filon avec ses gros sabots, mais ça colle pas parce qu'il se prend au sérieux. Des racailles dans la France profonde, ça demande un minimum de talent pour faire mouche, Monsieur ! Le début et la fin du film (essentiellement !) sur fond de montée de l'extrême droite qu'on explique aux infos, c'est tellement grossier que ça décribilise complètement le vrai danger que cela représente ! D'ailleurs tout est grossier dans ce film, surjoué (mention spéciale à la gamine semi-attardée !) Peut-on m'expliquer pourquoi le père de famille est le sosie du Gueule de Brique de Snatch, avec son accent ridicule et ses cochons ? Et puis ça valait bien la peine de faire une affiche aussi racoleuse ! "Scènes de boucheries réalistes et éprouvantes", non mais je rêve ! Je les attends toujours ! Dire que Xavier Gens a débuté comme assistant-réalisateur pour le film La Captive (adapté de Proust !), il est tombé bien bas !
Voir arriver le sigle europa en début de film n'est jamais bon signe,tant ses productions sont sans imagination et rempli de clichés.Et ce n'est pas frontière(s) qui échappera a cette règle,car tout les clichés du réalisateur qui n'a pas de talent ni de génie créatif sont présents.Son idée principal étant de faire rencontrer des braqueurs banlieusards avec des péquenots facho.La rencontre des deux dans le seul but de faire place a du gore sans aucune histoire.De plus tout ça est très mal interprété par une brochette de ringard de la première heure.Ceci dit les personnages restes a leur hauteur car comme leur jeu ils sont grotesques et caricaturaux.Lebhian étant l'un des pires,puisque comme Cassel dans sheitan,il nous interprète le pecnot avec un cliché rare et incomparable.L'image quand a elle est horriblement travailler,quand on a pas de talent il ne faut pas jouer au réalisateur,car avoir vu massacre a la tronçonneuse ne suffit pas pour a son tour faire un film.La merde filmique a encore de beau jour devant elle puisque europa semble être décidé a en produire et surtout a en être l'un de ses principaux acteurs.
pierrre s.
Au delà d'un certain point, il n'y a plus de mots pour qualifier le ridule...
C'est un film dont les cruels défauts sautent aux yeux: mal éclairé (la photo est franchement foireuse), plutôt mal joué (mise à part son actrice principale, pas grand chose à sauver et les plus pathétiques sont les plus connus!) pas très bien écrit (c'est, disons, maladroit...)... Néanmoins, contrairement à ce que j'ai pu lire, il ne s'agit pas d'un torture-porn à la "Hostel" ou "Saw", deux immondes bouses compilant des supplices infligés aux personnages comme si ça pouvait servir de scénario! Non, il s'agit d'un survival hardcore chez une bande de dégénérés de la France profonde! Le film est hyper sanglant mais n'est absolument pas la compilation de scènes dégoûtantes annoncée. Il regorge même d'excellentes idées inabouties, mal exploitées ou mal écrites... un matériau brut qui pourrait aisément s'avérer génial entre d'autres mains ou simplement avec un vrai budget! Xavier Gens démontre un talent indéniable pour créer des images marquantes, d'une puissance esthétique et d'une radicalité rares et fait preuve d'un jusqu'au-boutisme qui force le respect! L'actrice principale, en robe de mariée, entièrement couverte de sang, traînant son état de choc dans la boue et poussant des cris d'horreur vous hantera longtemps après la fin du film... Bancal mais puissant!
"Frontière(s)" est d'une nullité affligeante. Sorte de "sous-Hostel", le film est hyper mal réalisé. Son scénario est ridicule. Le film est bourré de clichés et certaines idées véhiculées sont même nauséabondes. Les acteurs sont très mauvais. De plus, certaines scènes sont de la pure bouffonnerie et vraiment risibles. A éviter!
Frontières est un film surprenant par sa dénonciation. Dès le début, j'ai tout de suite compris que cette œuvre s'adressait à un public cultivé, versé dans les lectures à deux niveaux tel que Voltaire les concevait. Humaniste, il nous met en garde contre les dangers du totalitarisme et des bandes de paysans dépravés fascistes issus de l'engeance nazis que notre campagne française abrite, dans toutes les chaumières. Véritable œuvre artistique, la performance de Samuel le Bihan qui, pour le rôle, à manger du gras au beurre frit dans de l'huile avec des amphétamines, n'égale que celle d 'Estelle Lefébure, dont on n'attendait pas moins après ses performances dans les publicités mixabébé. L'horreur est d'une rare finesse, en témoigne les scènes de séquestrations qui ne sont pas, ho que non, des plagias de grands films comme Calvaire, ou Massacre à la Tronçonneuse, mais des hommages tonitruant renvoyant à une connaissance profonde du cinéma. Visionnaire,Xavier Gens nous dévoile ses capacités subtils de réalisateur, construisant des scènes toujours justes, criantes de vérité, des véritables pamphlets humanistes s'adressant à un public fin, concerné, impliqué dans la vie politique de nôtre pays, ayant une grande connaissance de l'actualité et de l'état lamentable de La France pliant sous le joug de la menace totalitarisme.
Je conseille de montrer ce film, que dis-je, ce chef d'oeuvre, dans toutes les écoles primaires, et je félicite pour leur intelligence toutes les personnes qui ont noté ce film à quatre étoile.
Je conseille de montrer ce film, que dis-je, ce chef d'oeuvre, dans toutes les écoles primaires, et je félicite pour leur intelligence toutes les personnes qui ont noté ce film à quatre étoile.
Merde, faudrait quand même arrêter de nous prendre pour des cons ! Le genre est déjà suffisamment mal vu comme ça sans qu'on en rajoute ! Bordel, ce genre commence à peine à émerger et à sortir de sa grotte qu'on lui refout un coup de plus sur le crâne pour l'y renfoncer !
L'affiche : A chier. Typiquement le genre d'affiche grande gueule et hyper marketing pour faire débouler le spectateur lambda qui se tape des pougnettes devant Mortelle Saint-Valentin ou Buffy.
Foutre de Dieu, après une scène d'introduction plutôt sympathique, voilà que tonton Gens n'a rien trouvé de mieux à faire que de nous sortir le pauvre remake mal foutu du Massacre à la tronçonneuse d'Hooper et du Sheitan de Chapiron.
En gros, des jeunes voulant quitter la France après le passage au second tour des élections présidentielles d'un pote de JMLP (peut-on penser à 2002 ?), se retrouvent pour une nuit dans une auberge où les gérants ont la sale manie d'être d'odieux coprophages sanguinaires, n'aimant pas les jeunes de banlieue car étant d'affreux méchant nazis.
Le scénario se limite à "Ouais ma couille, vas chercher Farid steuplai ma pute !" ou encore "vas-y enculé, t'fais moins l'malin hein tête de fouf' !" ... Bordel, art et essai quand tu nous tiens ...
1h48 (et putain qu'elles sont longues ...) d'insultes tout droit sorties de quartiers sympas à Aulnay-sous-Bois ou tortures minables et prévisibles au possible, Frontière(s) s'en sort avec euh ... bah pas grand chose au final. Le chef op' devait être complètement déchiré, le caméraman manchot, le preneur de son sourd et les acteurs au LSD. Putain ouais ... prenons l'odieux papa de la famille, le nazillard se sentant obligé de parler allemand avant de nous faire de suite la traduction dans la langue de Molière (à chaque fois qu'il ouvre sa gueule) ne fait même pas peur.
Hahaha ! Et puis leur repas, avec la grande réplique, en regardant le plat puis la demoiselle qu'ils s'amusent à séquestrer : "Vous vous connaissiez je crois ? (rire machiavélique)" ... Putain, Hooper, vient crier au plagia (la qualité en moins), par pitié.
Surtout que leur humain cuisiné ressemble plus à un gigot d'agneau qu'autre chose ...
Bref, vous l'aurez compris : Voyez le si vous avez du temps à perdre (beaucoup .. beaucoup de temps à perdre), sinon, passez votre chemin. Par pitié. Laissez ce film se perdre dans les abysses de l'oubli.
Palme d'or du gérard du film d'horreur français des années 2000. On va lui mettre 0,5/5 parce qu'on ne peut pas mettre en-dessous... Ou alors on va trouver une raison !
Allez, disons... 0,5/5 : Pour la scène d'intro', et le gigot d'agneau.
L'affiche : A chier. Typiquement le genre d'affiche grande gueule et hyper marketing pour faire débouler le spectateur lambda qui se tape des pougnettes devant Mortelle Saint-Valentin ou Buffy.
Foutre de Dieu, après une scène d'introduction plutôt sympathique, voilà que tonton Gens n'a rien trouvé de mieux à faire que de nous sortir le pauvre remake mal foutu du Massacre à la tronçonneuse d'Hooper et du Sheitan de Chapiron.
En gros, des jeunes voulant quitter la France après le passage au second tour des élections présidentielles d'un pote de JMLP (peut-on penser à 2002 ?), se retrouvent pour une nuit dans une auberge où les gérants ont la sale manie d'être d'odieux coprophages sanguinaires, n'aimant pas les jeunes de banlieue car étant d'affreux méchant nazis.
Le scénario se limite à "Ouais ma couille, vas chercher Farid steuplai ma pute !" ou encore "vas-y enculé, t'fais moins l'malin hein tête de fouf' !" ... Bordel, art et essai quand tu nous tiens ...
1h48 (et putain qu'elles sont longues ...) d'insultes tout droit sorties de quartiers sympas à Aulnay-sous-Bois ou tortures minables et prévisibles au possible, Frontière(s) s'en sort avec euh ... bah pas grand chose au final. Le chef op' devait être complètement déchiré, le caméraman manchot, le preneur de son sourd et les acteurs au LSD. Putain ouais ... prenons l'odieux papa de la famille, le nazillard se sentant obligé de parler allemand avant de nous faire de suite la traduction dans la langue de Molière (à chaque fois qu'il ouvre sa gueule) ne fait même pas peur.
Hahaha ! Et puis leur repas, avec la grande réplique, en regardant le plat puis la demoiselle qu'ils s'amusent à séquestrer : "Vous vous connaissiez je crois ? (rire machiavélique)" ... Putain, Hooper, vient crier au plagia (la qualité en moins), par pitié.
Surtout que leur humain cuisiné ressemble plus à un gigot d'agneau qu'autre chose ...
Bref, vous l'aurez compris : Voyez le si vous avez du temps à perdre (beaucoup .. beaucoup de temps à perdre), sinon, passez votre chemin. Par pitié. Laissez ce film se perdre dans les abysses de l'oubli.
Palme d'or du gérard du film d'horreur français des années 2000. On va lui mettre 0,5/5 parce qu'on ne peut pas mettre en-dessous... Ou alors on va trouver une raison !
Allez, disons... 0,5/5 : Pour la scène d'intro', et le gigot d'agneau.
Un film au scénario sans queue ni tête, et des acteurs complètement mauvais et pas du tout crédibles... Un véritable navet !
Un bon film d'horreur. Ce film est un hommage aux classiques US (surtout "Massacre à la Tronçonneuse") où le réalisateur de "Hitman", pour son premier film, s'en tire pas mal. Malgré cela, la seule chose qui m'a déçue, c'est qu'il n'y a pas tant de scènes choquantes comme le dit l'affiche. Les acteurs sont convaincants en dégénérés de la méthode Nazi (Samuel Le Bihan fait flipper). Un film qui ne restera pas dans les annales mais qui conviendra parfaitement pour les fans de gore. Bon film 4/5
Désolé, mais pour faire une copie de Hostel... Ca n'arrive pas à la cheville de l'original, pourtant pas mal de choses en sont honteusement plagiées.
Pour résumer, avec ce film, on a droit à vraiment tous les clichés possibles et imaginables :
- Politique : la droite nationale française comparée aux nazis
- Les nazis du film sont évidemment cannibales, dégénérés, tortionnaires, consanguins et que sais-je encore (difficile de trouver d'autres choses, sinon ils en auraient été affublés, les vilains méchants pas beaux du film)
- Et enfin le meilleur pour la fin : les invraisemblances (en nombre) ! Mais spoiler donc je cache, pour les inconscients qui voudraient gâcher 2 heures de leur temps spoiler: La seule fille du groupe, qui pèse 30kg et est enceinte, et qui n'arrive pas à marcher droit tellement elle est choquée par ce qui se passe, arrive tout de même (après la mort de ses amis bien sûr sinon c'est pas drôle) à devenir super-héros, rassembler tous ses esprits et sa coordination physique, et donc abattre un à un tous les membres de cette famille dégénérée, qui bien sûr lui donnent chaque fois l'occasion de les tuer sans crainte et commettent toutes les bourdes possibles : et vas-y que musclor défonce la fille/brindille mais que celle-ci est toujours vaillante, et vas-y que la fille de 30kg arrive à mettre à terre une montagne de muscles de 100kg, et vas-y que je me retourne pour parler seul dans mon coin et te laisser prendre la hache sans que je m'en rende compte (mais où ai-je la tête ? bon, pas grave, je n'en aurai bientôt plus), et vas-y que je vide 2 chargeurs de mitrailleuse dans un mur devant moi (mais... pourquoi ???) alors que je sais bien que tu es cachée derrière le cageot en paille juste en-dessous (petite maline ! ça protège tellement des balles tu as bien raison), et vas-y que je te fais un discours de 3 plombes alors que je t'ai en joue depuis quinze ans et que je m'approche assez pour bien sûr te laisser prendre mon arme (ah, j'ai une sensation de déjà-vu, cf plus loin), et vas-y que je te tire dessus à plusieurs reprises à à peine 5 mètres de moi mais je te rate bien sûr (pareil, déjà-vu), etc. etc. Bref une succession de grand n'importe quoi qui ne donne qu'une envie, crier : "mais que quelqu'un abatte cette brailleuse couverte de sang qui marche comme un pantin, à la fin !!" Ah oui j'oubliais, au début du film elle se fait poursuivre par un flic qui se retrouve coincé (quelle chance !) par... Une porte automatique ! Ah et j'oubliais encore : son ex petit-ami se fait courser encore plus tôt dans le film par 4 ou 5 flics qui n'ont apparemment jamais pris de cours de tir, et un seul d'entre eux (va savoir pourquoi) arrive à le rattraper et bien sûr se met tellement proche de lui qu'il se fait piquer son arme (le con !). Comme quoi la vie fait bien les choses parfois hein :) Enfin surtout quand on est scénariste et que la vie fait ce qu'on lui demande (souvent des âneries malheureusement)
Et c'est sans compter toutes les erreurs de tournage qu'on découvre sans surprise tout au long du film.
Les acteurs sont peu crédibles, le scénario n'est pas poussé, il est là juste parce qu'il en fallait bien un. Ce film me rappelle complètement une autre bouse française : Martyre.
C'est dommage car pour une fois ils font un effort dans le style de film, mais il faudrait arrêter de faire du "comme par hasard !" dans les films !
Bref, ne le louez pas, ça n'en vaut pas la peine. Dans le même genre prenez Hostel alors, qui est mieux.
Pour résumer, avec ce film, on a droit à vraiment tous les clichés possibles et imaginables :
- Politique : la droite nationale française comparée aux nazis
- Les nazis du film sont évidemment cannibales, dégénérés, tortionnaires, consanguins et que sais-je encore (difficile de trouver d'autres choses, sinon ils en auraient été affublés, les vilains méchants pas beaux du film)
- Et enfin le meilleur pour la fin : les invraisemblances (en nombre) ! Mais spoiler donc je cache, pour les inconscients qui voudraient gâcher 2 heures de leur temps spoiler: La seule fille du groupe, qui pèse 30kg et est enceinte, et qui n'arrive pas à marcher droit tellement elle est choquée par ce qui se passe, arrive tout de même (après la mort de ses amis bien sûr sinon c'est pas drôle) à devenir super-héros, rassembler tous ses esprits et sa coordination physique, et donc abattre un à un tous les membres de cette famille dégénérée, qui bien sûr lui donnent chaque fois l'occasion de les tuer sans crainte et commettent toutes les bourdes possibles : et vas-y que musclor défonce la fille/brindille mais que celle-ci est toujours vaillante, et vas-y que la fille de 30kg arrive à mettre à terre une montagne de muscles de 100kg, et vas-y que je me retourne pour parler seul dans mon coin et te laisser prendre la hache sans que je m'en rende compte (mais où ai-je la tête ? bon, pas grave, je n'en aurai bientôt plus), et vas-y que je vide 2 chargeurs de mitrailleuse dans un mur devant moi (mais... pourquoi ???) alors que je sais bien que tu es cachée derrière le cageot en paille juste en-dessous (petite maline ! ça protège tellement des balles tu as bien raison), et vas-y que je te fais un discours de 3 plombes alors que je t'ai en joue depuis quinze ans et que je m'approche assez pour bien sûr te laisser prendre mon arme (ah, j'ai une sensation de déjà-vu, cf plus loin), et vas-y que je te tire dessus à plusieurs reprises à à peine 5 mètres de moi mais je te rate bien sûr (pareil, déjà-vu), etc. etc. Bref une succession de grand n'importe quoi qui ne donne qu'une envie, crier : "mais que quelqu'un abatte cette brailleuse couverte de sang qui marche comme un pantin, à la fin !!" Ah oui j'oubliais, au début du film elle se fait poursuivre par un flic qui se retrouve coincé (quelle chance !) par... Une porte automatique ! Ah et j'oubliais encore : son ex petit-ami se fait courser encore plus tôt dans le film par 4 ou 5 flics qui n'ont apparemment jamais pris de cours de tir, et un seul d'entre eux (va savoir pourquoi) arrive à le rattraper et bien sûr se met tellement proche de lui qu'il se fait piquer son arme (le con !). Comme quoi la vie fait bien les choses parfois hein :) Enfin surtout quand on est scénariste et que la vie fait ce qu'on lui demande (souvent des âneries malheureusement)
Et c'est sans compter toutes les erreurs de tournage qu'on découvre sans surprise tout au long du film.
Les acteurs sont peu crédibles, le scénario n'est pas poussé, il est là juste parce qu'il en fallait bien un. Ce film me rappelle complètement une autre bouse française : Martyre.
C'est dommage car pour une fois ils font un effort dans le style de film, mais il faudrait arrêter de faire du "comme par hasard !" dans les films !
Bref, ne le louez pas, ça n'en vaut pas la peine. Dans le même genre prenez Hostel alors, qui est mieux.
Et encore, 0.5 c'est parce que l'on ne peut pas mettre 0. Comment un film peut-il aligner autant de clichés ? Rarement vu un film aussi mauvais, au scénario aussi débile, véhiculant un message se voulant proche des banlieues aussi manichéen... Non vraiment, ce film est d'une rare nullité, se voulant sérieux. Vous voulez du clichés ? : un ex encore amoureux de sa nana enceinte, des consanguins cannibales qui attirent les gens de passages trop fatigués, une scène lesbo/incestueuse presque obligatoire, le repas plagiat à massacre à la tronçonneuse, la survivante qui se transforme en Rambo et la scène de fin qui veut dire : ben tiens tu as été torturée, tu tombes sur ça maintenant. Non vraiment, passez votre chemin et vous gagnerez 1h47 de votre vie. Mais au fait, c'est une production EuropaCorp... Ceci expliquant celà...
Parfois on attend beaucoup d’un film, et surtout qu’il nous surprenne. On songe beaucoup à ce film, on espère beaucoup, on se fait des idées…Frontière(s) n’est pas la surprise que j’espérais mais une toute autre, et très agréable surprise.
Le film est annoncé ainsi : « Ce film accumule des scènes de boucheries particulièrement réalistes et éprouvantes »
Pourtant, le gore est plutôt modéré…Les scènes visuellement insoutenables ne sont pas si insoutenables. Mais Xavier Gens sait où frapper… et il y va fort !
Le film est très efficace, sincère…radical !
La violence est ailleurs que ces films gore qui en montrent toujours plus. Elle est éprouvante car on a une très forte empathie pour la pauvre Yasmine (Karina Testa) qui s’en prend plein la tronche du début à la fin !!! Soulignons d’ailleurs la superbe interprétation de l’actrice qui porte pas mal sur ses frêles épaules. Elle est éprouvante également car la tension est présente et ne se relâche jamais.
Le film débute par un petit clin d’œil au traumatisme vécu lors des présidentielles de 2002…A savoir, l’arrivée au second tour de l’extrême droite…Alors que le pays, sous le choc doit faire face à la violence extrême de manifestants…Un petit groupe d’amis décide de se sauver de ce pays. Sur la route ils et s’arrêtent dans une auberge à la Frontière Française.
Le hic…Est que cette auberge est tenue par une famille néo-nazi cannibale dont le chef est un croisement entre Hitler et Lepen… (C’est pour dire comme c’est flippant !)
Le film cumule les scènes chocs avec une montée en puissance tout au long du film.
On arrive même à oublier qu’il s’agit là d’un film de genre, Français…Quoi que…on ne va pas trop se plaindre du cinéma Français…Depuis quelque temps, il y a des ptits genis qui ont décidés de montrer que les Français peuvent également être capable de faire de bons (voir très bons) films d’horreurs (il était temps)…
Autre point fort du film…La présence d’Estelle Lefebure qui est excellente, Samuel
Le film est annoncé ainsi : « Ce film accumule des scènes de boucheries particulièrement réalistes et éprouvantes »
Pourtant, le gore est plutôt modéré…Les scènes visuellement insoutenables ne sont pas si insoutenables. Mais Xavier Gens sait où frapper… et il y va fort !
Le film est très efficace, sincère…radical !
La violence est ailleurs que ces films gore qui en montrent toujours plus. Elle est éprouvante car on a une très forte empathie pour la pauvre Yasmine (Karina Testa) qui s’en prend plein la tronche du début à la fin !!! Soulignons d’ailleurs la superbe interprétation de l’actrice qui porte pas mal sur ses frêles épaules. Elle est éprouvante également car la tension est présente et ne se relâche jamais.
Le film débute par un petit clin d’œil au traumatisme vécu lors des présidentielles de 2002…A savoir, l’arrivée au second tour de l’extrême droite…Alors que le pays, sous le choc doit faire face à la violence extrême de manifestants…Un petit groupe d’amis décide de se sauver de ce pays. Sur la route ils et s’arrêtent dans une auberge à la Frontière Française.
Le hic…Est que cette auberge est tenue par une famille néo-nazi cannibale dont le chef est un croisement entre Hitler et Lepen… (C’est pour dire comme c’est flippant !)
Le film cumule les scènes chocs avec une montée en puissance tout au long du film.
On arrive même à oublier qu’il s’agit là d’un film de genre, Français…Quoi que…on ne va pas trop se plaindre du cinéma Français…Depuis quelque temps, il y a des ptits genis qui ont décidés de montrer que les Français peuvent également être capable de faire de bons (voir très bons) films d’horreurs (il était temps)…
Autre point fort du film…La présence d’Estelle Lefebure qui est excellente, Samuel
J'en avais entendu parler comme d'un super film d'Epouvante à la Française, mais franchement je m'attendais à bien mieux. L'histoire est quand assez original, on accroche au début mais franchement passez une bonne demi-heure c'est pas du tout crédible. La petite tribu militante du National Socialisme élevant des porcs et collectionnant une galerie de cadavre humains, honnêtement on y croit pas une seconde. Le film n'effraie même pas, juste du gore qui en fin de compte est limite pitoyable. Ce film confirme ce que je pensais, les film d'Epouvante c'est vraiment pas ce que je préfère. J'ai hésiter entre 1 et 0 étoile (comme je le disais, le début du film est plutôt bien) mais en y repensant c'est vraiment un gros nanar!
Faire un film de genre (avec brio) n'excuse pas tout. En l'occurence, ça n'excuse pas les acteurs parfois passables souvent médiocres, ça n'excuse pas la réalisation épileptique lors des films d'actions, ça n'excuse la publicité mensongère faite autour du film, et surtout, surtout, ça n'excuse pas le faux message politique mélangeant tout et n'importe quoi, qu'on croirait écrit par un ignorant pour des ignorants. Le personnage du nazi est le summum de la caricature du méchant, il ne manquait plus qu'un salut, bras bien tendu, tous les doigts raides comme des barres de métal pour que je parte dans un fou rire qui aurait mérité une étoile. Frontière(s) est pire qu'un navet, c'est un gouffre artistique, cinématographique, idéologique où il fait bien sombre...
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