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    Destricted
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    32 critiques spectateurs

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    Vinz1
    Vinz1

    180 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2017
    Sous couvert d’une démarche « arty » censée nous donner sans concession la vision de la pornographie par des réalisateurs dits « sulfureux », ce « Destricted » n’est qu’un vulgaire assemblage de courts-métrages ratés. Ratés car sans réel scénario et ressemblant juste à des « happenings » réservés aux plus endurcis et non aux néophytes. Le court de la Serbe Marina Abramovic sur les coutumes sexuelles de la Serbie traditionnelle est assez drôle en soi mais pas non plus extraordinaire. Pourtant ce sera le plus abouti, c’est dire ! Parce qu’entre les deux accélérés de pornos vintage pathétiques, celui où un homme se masturbe dans le désert de la Vallée de la mort, celui où un autre fait l’amour à sa machine, celui de Gaspard Noé où l’on assiste à trois masturbations différentes, celui de Larry Clark où de jeunes « harders » sont auditionnés avec à la clé pour le sélectionné le choix de sa partenaire sexuelle et posant des questions vraiment réductrices sur le porno en général, on n’est pas gâté. Je préfère alors regarder un vrai film porno pour le coup plutôt que ce simili long-métrage pitoyable !
    ferdinand75
    ferdinand75

    550 abonnés 3 869 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Un assemblage plutôt raté de courts métrages à tendance érotique. Surtout parce que la plupart ressemblent surtout à des « Art performance », sans vrai scénario .Et le vrai cinéma c’est avant tout un bon scénario, même dans le court métrage. C’est là où on comprend qu’il y a une vraie différence entre la « Vidéo performance » et le Cinéma. Dans le style les pires performances « arty » on trouve celle de Sam Taylor Wood, ( c’est pourtant elle qui réalisera en 2014, le beaucoup plus classique « 50 Shade of Grey ») : Un homme vient se masturber dans la « Death Valley » , plan fixe de 9 mn , pour nous montrer que finalement il n’arrive pas a à jouir. Est-ce parce que c’est la Vallée de la mort ? Inintéressant. Ensuite Matthew Barney (fiancé de Bjork), un homme noir, fait l’amour au pignon de son gros camion. Ésotérique, dingo, improbable.,inintéressant. Même le Gaspar Noè est faible : « Fuck your self », où l’on assiste à trois masturbations en solitaire, en parallèle : un homme sur sa poupée gonflable, une jeune fille avec son gros nounours, et un hardeur avec Katsuni ( faut -il en déduire que Katsuni ne vaut pas mieux qu’une poupée gonflable plastique ?) où que dans tous les cas de figure on est toujours seul quand on fait l’amour ? Auquel cas le thème aurait pu être intéressant, mais le tournage en lumière stroboscopique est très fatiguant pour les yeux et n’apporte rien. Larry Clark fidèle à lui même ; nous livre le meilleur Short ( qui vaut 4 étoiles) ,il s’agit d’un double casting , tout d’abord la sélection d’un jeune garçon amateur de porno, mais non professionnel, l’élu devra ensuite choisir sa future partenaire entre une demie douzaine d’actrices porno célèbres. Il choisit sa préférée et ils ont droit ensemble à une séance de full sexe . Ce qui est passionnant dans ce Larry Clark c’est que l’on voit toute la différence avec le vrai porno. Il filme des parties de corps que l’on ne voit jamais dans le X .Il y a des ralentis, des gros plans ,des plans de sueurs, du cinéma vérité , y compris quand Nancy Vee subit un problème « technique » , un peu dégoutant, Larry continue à tourner , on voit la face B du porno , le devant et le derrière du rideau, C’est passionnant , c’est juste . A noter la très belle prestation de Nancy Vee , star du porno US, qui continuera à faire une grosse carrière, et surtout l’incroyable naturel du jeune homme acteur « Daniel » ? ,sosie parfait de Robin Taylor, acteur qui joue le « Pinguoin » dans la série Gotham ?! . Larry Clark toujours magistral dans sa direction d'acteurs. Les deux derniers short « House cells » et le « clip » de Brambillia sont des accélérés de Hard vintage, absolument nuls. Le short de la Serbe Marina Abramovic , sur les coutumes sexuelles de la Serbie traditionnelle est assez marrant et sympathique .
    Sébastien D
    Sébastien D

    107 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 avril 2015
    Honteux. Ca se veut original, artistique ou osé, mais c'est juste du porno pur et simple. En plus c'est laid, mal filmé et le son était a deux doigts de faire couler le sang de mes oreilles. Appeler ça du "cinema", certainement pas.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Mon Dieu, que c'est mauvais. Encore une fois, excluez d'emblée le puritanisme, ou ce genre de stupidités, à la liste des causes possibles de la note minimale que j'accorde à Destricted. Simplement, il existe à mon sens, même si c'est légèrement caricaturer, deux grandes manières d'apprécier le sexe, ou plutôt deux tendances fortes qui forment les deux extrémités d'un spectre plutôt large. D'un côté, la sexualité passée à la moulinette de la culture et des bienséances, qui devient la réalisation pleine, poétique et fusionnelle d'un véritable amour. De l'autre, une vision anti-spirituelle qui regarde la sexualité comme un penchant organique trivial, sinon bestial. Certes, d'innombrables nuances existent entre ces deux extrêmes mais pour un tel projet, il était inévitable qu'on choisisse globalement une vision radicale. Dès lors, l'une comme l'autre sont forcément limitées, comme à mes yeux tout ce qui ne comporte pas assez de largesse d'esprit. Ici, avec un projet si évidemment arty, il était inévitable qu'on opte pour la version crasseuse à l'opposé du maquillage sociétal habituel qui prête au sexe des lettres de noblesse, à tout le moins des apparences convenables. Le problème, c'est que dès lors, il n'y a pas grand chose à dire, à part poser un constat difficile à étendre ou à enrichir par la suite. Cinq des sept court-métrages choisissent en fait une approche volontairement inconfortable, pour les yeux comme pour la pensée. Ceux-là, même We fuck alone, le court épileptique de Gaspard Noé, se limitent à une idée, parfois assez pauvre, qui ne s'étoffe jamais par la suite. Parfois, pendant parfois une dizaine de minutes, on se coltine alors la répétition d'images crues et sans apport sémantique, le réalisateur se cachant à chaque fois derrière le label "artistique" du projet. Pour au final, ne rien dire du tout. Deux segments diffèrent cependant, en premier lieu celui de Larry Clark, documentaire centré sur les effets de la consommation de porno sur le rapport au sexe des jeunes générations. Le constat, excusez-moi, n'a rien de très original. Enfin, Balkan Erotic Epic prétend lier sexe et tradition, dans un mélange hasardeux entre culture (donc traits humains) et animalité, mais sans aucune inspiration visuelle. A l'instar de tout le reste d'ailleurs, qui ne sait rien inspirer au-delà de quelques évidences prosaïques et d'un malaise général. L'idée n'est pourtant pas à jeter, mais sa réalisation est purement inutile.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2013
    Donner un tel sujet que le porno à ces réalisateurs semblait être un sujet fait pour eux. Malheureusement très peu savent l'aborder sans faire un truc blindé d'effets visuels,ou totalement désincarné. La tentative n'est pas très concluante.
    gnurff
    gnurff

    25 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 août 2012
    Rien... Je n'ai vraiment rien à dire sur cette série de court-métrage... Je ne sais pas où ils ont voulu en venir... La démarche est vide, la provocation aussi... A éviter
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2012
    A peu près dans l'ordre, voici mes impressions sur ce curieux projet: on attaque fort cette série de courts-métrage avec le complétement déglingo Matthew Barney dont j'entends parler depuis longtemps sans avoir eu la possibilité de voir ses films. Il n'est pas surprenant qu'il soit le compagnon de Björk vu la créativité artistique de ces individus. Quelle imagination que ce rapprochement sexuel entre le sauvage et la machinerie infernale dévastant son environnement! C'est le plus étrange et le plus intéressant tant il laisse perplexe, c'est pourquoi je me permets quelques mots. Richard Prince nous illustre avec une image excessivement sale, le coït d'un toubib et de sa patiente telle une classique scène de porno qui n'apporte rien(?). Marina Abramovic nous rappelle les profondes croyances de ses aînés avec des situations assez cocasses et plutôt drôles. S'interpose un très bel essai purement visuel de Marco Brambilla qui a dû passé du temps au montage pour cette enchaînement ultra rapide et frénétique de scènes de sexe. S'en suit le plus ennuyeux de tous avec cette masturbation d'un cowboy en pleine nature filmé en plan fixe par Sam Taylor-Wood dont je me demande bien la signification(?). Mais on peut dire qu'on finit en beauté par une excellente idée de Larry Clark de faire un casting pour proposer une relation sexuelle avec une vraie actrice porno. On retrouve sa mise en scène quasi documentaire de ses films où il se montre pertinent dans l'interrogatoire de ces jeunes et leurs rapports au sexe à notre époque. Et je ne serais pas surpris qu'il ait prévu le petit incident dégradant durant la sodomie pour apporter sa petite touche malsaine habituelle car il est loin de sa 1ère expérience. Pour clôturer, rien de tel que Gaspar Noé qui abuse encore et toujours du stromboscope, d'un son perturbant et caverneux et d'idées plutôt originales pour faire passer son message même si c'est un peu longuet à venir: "We fuck alone". Enfin, beaucoup d'interrogations sur ce projet qui au départ partait plutôt d'une bonne idée mais il n'est pas toujours aisé de se mettre dans le cerveau des ses artistes underground issus de milieux aussi divers que variés dont la vision peut en dérouter plus d'un...
    Sylvain P
    Sylvain P

    338 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2012
    En guise de 7 courts-métrage érotiques, Destricted n'est qu'une succession de 6 « art-video performances » absolument pas excitantes et d'un documentaire de Larry Clark. Sortent du lot, Larry Clark avec ses interviews de jeunes amateurs de films pornographiques souhaitant participer à un tournage. Marco Brambilla, avec un montage rapide clipesque et Gaspard Noe, avec deux scènes de masturbations habilement montées, quoi que bien longues. Le reste n'est pas à la hauteur : Marina Abramovic montre un délire historico-religieux risible; Matthew Barney, le seul à avoir une prétention esthétique, ne donne pas assez d'indices pour comprendre sa démarche; Sam Taylor-Wood manque d'idée; et Richard Prince a du confondre court-métrage de cinéma et délire sur Youtube. Comme souvent, une compilation de courts-métrages est inégale, ici elle est inégalement tirée vers le bas...
    Sildenafil
    Sildenafil

    77 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2010
    De l'ensemble des réalisateurs de Destricted, Larry Clark et Gaspar Noe sont les seuls qui sortent vraiment du lot.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 mai 2010
    Juste pour celui de Matthew Barney, qui est tout simplement magnifique et captivant.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mai 2013
    Lamentable. Autant le principe était original malgré le sujet tabou qu'il utilise (le porno), autant cette compilation de courts-métrages est franchement navrante. En fait, ce sont plus exactement les courts eux-mêmes qui sont ratés. Si Marco Brambilla s'en sort bien avec un étonnant montage d'une scène de sexe simulée grâce à des centaines d'images de films, le reste est piètrement convenable... De Gaspard Noé qui poursuit son trip épileptique en filmant une scène entrecoupée de flashs à Matthew Barney qui filme un homme qui se masturbe dans une sorte de pièce mécanique bizarroïde, le plus intéressant et au final le plus raté reste Larry Clarke, qui continue de poser des questions aux jeunes sous la forme d'un documentaire hélas plat et sans imagination... Nous avons donc droit à du "Qu'est-ce que vous pensez du porno ? Hmm... D'accord, on va te faire baiser avec une actrice." Trop à part pour convaincre, pas assez original pour être élogieux, Destricted est un ratage en bonne et due forme censé nous montrer que le porno aussi peut être de l'art. Peut-être une prochaine fois...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 octobre 2008
    Destricted regroupe l'ambition de plusieurs réalisateurs qui tentent de prouver que l'art et le sexe ne sont pas incompatibles. Si le court métrage de Larry C. se revèle surprenant et saisissant dans la première moitié, soulignée par une photographie très soignée, la dernière partie tombe malheureusement dans le porno consensuel. En tout cas, Clark a l'art de poser les questions essentielles, l'air de rien parfois, sur la jeunesse. Et les jeunes d'y répondre dans une attitude étonnante puisque très serein dans leurs réponses. Une première partie choc. Gaspar Noé choisit un thème fort pour son court: l'isolement face au désir. Malgré un sujet attrayant, le parti pris de la mise en scène et particulièrement de l'image saccadée et la musique qui l'accompagne reste dérangeant. Trop.
    Hoist de Matthew B. est clairement le plus imaginatif. On y voit un homme qui tente de modeler, façonner son sexe et de s'unir au contact d'une machine. Les plans sont subtils et la caméra rusée, ce qui donne un ensemble très créatif. On aime ou on aime pas je ne connais personne qui y soit resté insensible. Le manque de fond se fait aussi ressentir dans ce court, dommage. Death valley évoque aussi la solitude au travers de cet homme au milieu d'un environnement aride et sec. Le tout filmé en un seul long plan. L'impression d'avoir a faire à un combat entre l'acteur face à son orgasme est très étrange. Le court sur les Balkans où la réalisatrice a sans doute envie de parler de ses racines et sa culture est inégal lui aussi. La mise en scène est trop irréelle pour y croire et adhérer au message de fond: l'osmose de la nature & de l'homme. Richard Price tente un remodelage sur un film x des 70s sur douze minutes. C'est long. Sync s'oppose a House Call en termes de durée puisqu'il ne dure qu'une 1 minute. Une minute dans lesquelles on y voit un mix, une succession d'images de films à la fois populaires et pornographiques.
    Des idées subversives mais un ensemble inégal.
    Pierre E
    Pierre E

    212 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2009
    Supposé nous éclairer quant à la filiation possible entre sexe, pornographie et art cinématographique, DESTRICTED pâtit d’un résultat inégal. Présenté en 2006 à la Semaine de la Critique sous le parrainage de Gaspar Noé, cette singulière entreprise propose donc 7 visions du porno de 7 réalisateurs, plus ou moins expérimentés dans le domaine artistique. La première moitié déconcerte autant par sa bizarrerie que sa vacuité, artistique ou symbolique : HOIST, de Matthew Barney (compagnon de Björk), outre sa bizarrerie malsaine, n’a d’intérêt que la froideur de ‘l’échange’ entre l’homme et la machine. BALKAN EROTIC EPIC - Marina Abramovic, comporte quelques touches de burlesque… sans doute involontaires ; pour ne pas parler de ridicule. HOUSE CALL - Richard Price, est un vulgaire porno façon 70’s, long, dégueulasse, sans intérêt si ce n’est ce style ‘retro’. La seconde moitié est marquée par le pivot de l’œuvre : brut, provocant, mature – IMPALED ; le nihiliste Larry Clark observe le rapport de jeunes hommes américains à la pornographie, l’influence qu’elle a sur leur propre sexualité, en les mettant face à des actrices porno qui évoquent leur expérience. Suit le très efficace clip de Marco Brambilla, SYNC. Les deux derniers évoquent la solitude face au désir : DEATH VALLEY de Sam Taylor Wood, dont la discutable réussite réside dans la forme visuelle et sonore. WE FUCK ALONE de Gaspar Noé, avec son titre évocateur, ne passe pas à côté de son sujet en proposant un intéressant jeu de miroir entre deux adeptes du plaisir solitaire : une femme et son ours en peluche et un homme et sa poupée gonflable. Malsain sur le fond, stylisé dans la forme, le court fonctionne, en dépit d’une certaine longueur pas nécessairement justifiée. Au terme de cette expérience, il apparait qu’autant l’idée de départ n’était pas trop mauvaise, le résultat est franchement laborieux, DESTRICTED est sans doute l’ultime preuve que le cinéma avec un grand C ne se conjugue pas avec la pornographie.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 septembre 2008
    1 etoile pour l'idée : faire realiser des films X par des realisateurs traditionnels. Par contre, zero pour le resultat. Sans aucun interet ni d'un point de vue libidinesque, ni d'un point de vue cinematographique. Certains courts metrages sont carrement irregardables. Dommage.
    Marc H
    Marc H

    61 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2008
    sur les 9 courts métrages, seulement 5 d'interessants et l'ensemble est platement organisé. bof.
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