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Emmanuel et Philippe (Lambert Wilson et Pascal Elbé) forment un couple de quadras homosexuels BCBG -l'un est pédiatre, l'autre avocat. Ils se séparent lorqu'Emmanuel impose à Philippe sa vonlonté d'avoir un enfant.
La comédie de Vincent Garenq passe en revue tous les moyens, généralement frauduleux, et toutes les difficultés, pour un gay, qui plus est seul, de découvrir les joies de la paternité. A ce sujet, le réalisateur revendique-t-il et assume-t-il tous les clichés et les situations bateau qui constituent le scénario? Si oui, c'est un mauvais choix car on se lasse assez vite de cette histoire basique et évidente additionnant les personnages et lieux communs.: spoiler: adoption ratée lorsque l'assistante sociale découvre une photo mal cachée d'Emmanuel enlaçant Philippe; copine célibataire et frustrée (Anne Brochet), stérilité d'Emmanuel, mariage blanc et mère porteuse qui s'éprend du bel homo
...Tout y passe dans un esprit de générosité et de bons sentiments.
Au final, on peut regretter que l'auteur n'ait pas abordé ce thème de société avec moins d'exhaustivité mais plus de causticité et de singularité, on n'ose pas dire de truculence. Lambert Wilson, l'éternel séducteur hétéro, est heureusement un atout de la comédie dans ce contre-emploi de gay désemparé et souvent maladroit.
La comédie de Vincent Garenq passe en revue tous les moyens, généralement frauduleux, et toutes les difficultés, pour un gay, qui plus est seul, de découvrir les joies de la paternité. A ce sujet, le réalisateur revendique-t-il et assume-t-il tous les clichés et les situations bateau qui constituent le scénario? Si oui, c'est un mauvais choix car on se lasse assez vite de cette histoire basique et évidente additionnant les personnages et lieux communs.: spoiler: adoption ratée lorsque l'assistante sociale découvre une photo mal cachée d'Emmanuel enlaçant Philippe; copine célibataire et frustrée (Anne Brochet), stérilité d'Emmanuel, mariage blanc et mère porteuse qui s'éprend du bel homo
...Tout y passe dans un esprit de générosité et de bons sentiments.
Au final, on peut regretter que l'auteur n'ait pas abordé ce thème de société avec moins d'exhaustivité mais plus de causticité et de singularité, on n'ose pas dire de truculence. Lambert Wilson, l'éternel séducteur hétéro, est heureusement un atout de la comédie dans ce contre-emploi de gay désemparé et souvent maladroit.
Thème de l'homoparentalité abordé très brillamment. Bon au niveau du scénario c'est vrai que Lambert Wilson n'a pas de chance. Tout semble se liguer contre lui : son copain ne veut pas d'enfant, l'assistante sociale tombe sur une photo compromettante, il est stérile, la mère porteuse ne veut plus... C'est un peu une compilation de tous les problèmes possibles. Mais je trouve que le sujet est abordé sans clichés. Lambert Wilson est un homo comme les autres, il le vit bien, son entourage aussi et on en fait pas tout un plat. Il y a aussi quelques personnages secondaires drôles comme la copine célibataire.
Je trouve qu'il y a quelques maladresses dans les dialogues notamment qui sont parfois peu crédibles ou sonnent faux. Mais par contre j'ai vraiment été ému à certains moments.
Je trouve qu'il y a quelques maladresses dans les dialogues notamment qui sont parfois peu crédibles ou sonnent faux. Mais par contre j'ai vraiment été ému à certains moments.
Comme les autres est très beau et il y a une très belle réalisation. Il y a de belles personnes mais il n'y a aucune passion dans ce film. C'est simplement un film stérile et il n'y a pas de chaleur la chaleur qui vient des éléments humains. L'histoire les relations le toucher tout est presque trop parfait a tel point que cela semble froid. Il est très difficile de se connecter avec l'un des personnages de quelque façon que ce soit. De plus l'histoire est assez prévisible si nous n'avons jamais regardé de films sur l'homosexualité ou l'adoption par des homosexuels nous trouveront peut-être l'absence de chaleur peu réconfortante. C'est un film gay écrit et réalisé par un homme ou une femme hétérosexuelle donc pas vraiment impliquée dans son sujet...
Un bon film qui m'a énormément touché plein de tendresse et d amour et aussi sait un film d actualité
Le plaisir éprouvé en voyant ce film tient en deux éléments principaux : les acteurs et le scénario. Côté acteurs, la star espagnole Pilar Lopez de Ayala est une vraie découverte pour moi. Quel talent ! Quelle justesse dans les scènes d'amour, de jalousie et de déception ! Quant au reste du casting, c'est là aussi un sans faute : Anne Brochet, Pascal Elbé et Lambert Wilson sont parfaits. Côté scénario, il y a des scènes très drôles, des émotions bien palpables,
spoiler:
on évite le happy-end irréaliste de l'homo retrouvant la voie de l'hétérosexualité mais
on est surtout en face d'un film bien pensé car construit autour de situations qui ne sont pas spécifiquement celles des homosexuels et parlent tout à fait aux hétérosexuels. Ainsi, on y voit, loin des clichés habituels du genre, des gays vivants, comme les autres, spoiler: des séparations de couple, des divergences de vue sur l'avenir, des démarches administratives d'adoption ou la naissance de leur progéniture
... Un grand bravo au réalisateur-scénariste Vincent Garenq pour ce très beau premier film.
on est surtout en face d'un film bien pensé car construit autour de situations qui ne sont pas spécifiquement celles des homosexuels et parlent tout à fait aux hétérosexuels. Ainsi, on y voit, loin des clichés habituels du genre, des gays vivants, comme les autres, spoiler: des séparations de couple, des divergences de vue sur l'avenir, des démarches administratives d'adoption ou la naissance de leur progéniture
... Un grand bravo au réalisateur-scénariste Vincent Garenq pour ce très beau premier film.
Assez surpris par ce film.
Je l'ai regardé un peu par hasard et pas vraiment pour moi mais je me suis laisser prendre dans l'histoire pour finalement terminer entièrement le long métrage.
Pourtant le pitch de départ est assez banal : un homosexuel voulant absolument un enfant.
Mais le sujet est plutôt bien abordé le scénario tient bien la durée du film sans creux avec des rebondissements certes attendus mais qui ont le mérite d'exister.
Le casting est bon avec une mention spéciale pour Pilar de Ayala que j'ai vraiment trouvé très juste.
La fin est malheureusement un peu trop romancée pour rester crédible mais le reste tient la route et il y a parfois un peu d'humour pas piqué des hannetons
Je l'ai regardé un peu par hasard et pas vraiment pour moi mais je me suis laisser prendre dans l'histoire pour finalement terminer entièrement le long métrage.
Pourtant le pitch de départ est assez banal : un homosexuel voulant absolument un enfant.
Mais le sujet est plutôt bien abordé le scénario tient bien la durée du film sans creux avec des rebondissements certes attendus mais qui ont le mérite d'exister.
Le casting est bon avec une mention spéciale pour Pilar de Ayala que j'ai vraiment trouvé très juste.
La fin est malheureusement un peu trop romancée pour rester crédible mais le reste tient la route et il y a parfois un peu d'humour pas piqué des hannetons
Un film sur le besoin d'être père dans le contexte de l'homoparentalité. On y trouve une riche matière à réflexion au-delà des habituels points de vue dogmatiques qui s'excluent mutuellement. À mon grand étonnement j'avoue avoir été conquis par le sujet, magnifiquement traité par le metteur en scène et les acteurs. Que des compliments !
Emmanuel alias Manu aime Philippe! Et il veut un enfant! Bref, il veut vivre « comme les autres » ! Lambert Wilson et Pascal Elbè forment un couple avec ses conflits, son dèsir d'enfant...ou pas! Le sujet de ce beau film romantique à rebondissements, c'est la galère de dèsir d'enfant quand on est hors les normes! Vont se succèder les possibilitès de l'adoption, des lesbiennes, de la meilleure amie avec qui on veut faire un enfant (Anne Brochet)...jusqu'à la rencontre avec une jeune argentine (Pilar Lopez de Ayala) qui, èventuellement, pourrait être une mère porteuse [...] Ce n'est pas un film sur l'homoparentalitè mais plutôt un film très moderne sur la confusion des sentiments dans le sens où il redèfinit la notion de famille! Homo d'un côtè / hètèro de l'autre! il y a mille couleurs, mille possibilitès d'amour dans cette comèdie sociale « comme les autres » , tournèe dans la capitale! Formidable (voire èmouvant quand il est allongè auprès d'un enfant), Wilson est dècidèment un acteur multi-facette, capable de tout jouer! Si ce film peut changer les mentalitès alors c'est gènial...
Une comédie plaisante, bien enlevée avec des moments d'émotion et des moments d'humour à laquelle on a envie d'adhérer. Mais quand on prend un peu de distance, de quoi s'agit-il ? d'un couple d'homos, dont l'un veut devenir père et l'autre non ; d'une femme sans papier ... et ça se termine par une GPA en échange d'une régularisation, avec un père biologique qui est le compagnon du père adoptif.... et tout le monde est comptant.
Certes c'est d'actualité, voire c'était prémonitoire il y a une dizaine d'années quand le film a été tourné. La prouesse (un peu manipulatrice) du réalisateur est de rendre sympathiques et comme allant de soit, des pratiques auxquelles me semble-t'il la majoruté de nos concitoyens sont opposés
Certes c'est d'actualité, voire c'était prémonitoire il y a une dizaine d'années quand le film a été tourné. La prouesse (un peu manipulatrice) du réalisateur est de rendre sympathiques et comme allant de soit, des pratiques auxquelles me semble-t'il la majoruté de nos concitoyens sont opposés
C'est du pur téléfilm avec un scénario qui aligne les lieux communs et dont on devine à l'avance tout le dénouement. A ce stade, c'en est même presque un chef d'oeuvre tant jamais le film ne dévie de son aspect prévisible.
Film drôle et émouvant, dans l’air du temps, qui raconte le parcours du combattant pour les couples homos en mal d’enfants. Jeu des acteurs efficace et crédible. A voir.
Stephenballade
Le mot qui m’est venu à l’esprit est : étonnant. D’autant plus étonnant quand on sait que cette fiction a été écrite à partir d’anecdotes réelles. Etonnant aussi par le savant mélange de marginalité et de conformisme, un mélange qui correspond à l’évolution des mœurs et de la mentalité des gens. Cependant le pari était loin d’être gagné du fait des tabous encore bien présents quant à l’homosexualité et à la parentalité des homosexuels, qu’ils soient hommes ou femmes. La preuve en est avec des appréciations très disparates de la part des spectateurs. Pour intéresser le public, le casting a fait appel à des têtes connues : Lambert Wilson et Pascal Elbé en tête. Mais vous savez tous comme moi qu’un casting prestigieux ne suffit pas à faire la qualité d’un film, et à fortiori le succès. Alors que nous aurions pu tomber dans une éventuelle bataille juridique longue et fastidieuse, il a été intégré un personnage féminin pour donner un juste équilibre dans l’histoire afin de favoriser l’identification du public à ce film, que les spectateurs soient homos, hétéros, avec ou sans enfant(s), ou même en conflit par rapport au désir de parentalité. Outre le fait d’avoir la surprise de voir les deux principaux acteurs dans le rôle d’homosexuels, la vraie surprise vient du rôle féminin principal, joué par une actrice hispanique du nom de Pilar López de Ayala. Le jeu d’acteur de Pascal Elbé et de Lambert Wilson est sobre, et je ne saurai dire s’il est bon ou pas, du fait que je ne connais personne dans mon entourage qui soit dans cette condition homosexuelle. Cependant, je les sentais un peu gênés aux entournures, mais je préfère mettre cela sur le compte du différent existant entre leur personnage respectif. Peu importe, ils nous sont rapidement sympathiques et on finit même par s’attacher à eux. Mais la vraie perle d’interprétation revient à ce petit bout de femme espagnole, avec un jeu tout en finesse, profondément humain, superbe de fragilité et de tendresse. Elle mérite d’être une star dans son pays, et il est injuste qu’elle soit une parfaite inconnue en France (et ailleurs). "Comme les autres" se caractérise par la véracité dans son propos : rien n’a été surfait, rien n’a été exagéré, et surtout Pilar López de Ayala a dû apprendre le français pour les besoins du tournage, évitant ainsi tout risque d’un doublage raté en français. Pour ceux qui pensent voir une comédie et bien se marrer, passez votre chemin. "Comme les autres" est selon moi à cataloguer plus dans le genre de comédie dramatique, car si quelques scènes prêtent à sourire, on ne rit jamais à gorge déployée. Au contraire, "Comme les autres" offre une vraie réflexion sur le sujet, grâce à la qualité de l’écriture, profonde (non, il n'y a pas de jeu de mot, mais je préfère préciser parce qu'en me relisant, je me suis rendu compte que ça pouvait porter à confusion). Cela en fait un film certes gentillet et se laissant suivre agréablement, mais qui a le mérite de poser le débat de façon constructive, en opposant le pour et le contre, tout en tenant compte de toutes les conséquences possibles et imaginables.
L'HOMME EST UNE FEMME COMME LES AUTRES. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Sur un sujet d'actualité,l'homoparentalité, ce jeune réalisateur accouche d'un film vieux, lourd, baclé, surjoué et abuse de clichés. Même les acteurs n'y croient pas. Le cinéma c'est tout sauf ça. Du piment bordel!!!
On ne sait guère de choses sur Vincent Garenq, le réalisateur, sinon qu'il a à son actif deux films jusqu'alors (2014) dont "présumé coupable" évoquant l'affaire d'Outreau, assez moyen. Celui-ci est son premier et on attend les deux qui devraient sortir en 2015. Je m'attendais à un film de plus sur les pédés, non que je sois homophobe, mais qu'une tendance à abuser du thème (même les films TV) finit par lasser. Que nenni, cette comédie franchouillarde est amusante au point que ces deux gays nous deviennent très sympathiques, voire touchants. Comme élément féminin et empêcheuse de tourner en rond, le réalisateur nous a dégotté une petite merveille espagnole : la superbe Pilar Lopez de Ayala qu'on ne voit malheureusement pas assez sur nos écrans ! Quelle perle ! On passe un très bon moment avec Lambert Wilson et Pascal Elbé (excellent) sauf quand on se met dans la peau du premier qui embrasse le second sur la bouche. Beurrk ! J'eusse préféré celle de Pilar ! A voir sans préjugés. Un insuccès immérité. Comme quoi on peut réussir à divertir sans budgets faramineux.
willycopresto
willycopresto
Tout est dit dans le titre, car oui, les homos veulent vivre comme les autres, aimer comme les autres. Et les extrémistes devraient regarder cette jolie histoire, et ils se rendraient compte qu'effectivement, quand un homme est homo, il n'est pas capable d'aimer une femme, mais c'est comme ça, c'est sa nature, et que celui-ci désire se marier ou adopter, c'est juste pour vivre comme les autres.
Les acteurs sont excellents, avec une mention spéciale pour Pilar Lopez de Ayala, tout simplement magnifique de fraîcheur et de beauté. Un très bon moment.
Les acteurs sont excellents, avec une mention spéciale pour Pilar Lopez de Ayala, tout simplement magnifique de fraîcheur et de beauté. Un très bon moment.
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