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« Le ring a ses lois...la famille a les siennes ! » Premier long-mètrage de Magaly Richard-Serrano qui ne sait trop où se placer face à un coach, sa fille, sa nièce, sa femme ou sa maîtresse! La rèalisatrice saupoudre le tout de notes sociales et sentimentales avec un scènario souvent conventionnel! Ni bon ni mauvais, Richard Anconina joue les coachs de boxe sans jamais être dècisif! Perruque blonde, Maria de Medeiros chante « Le gèant de papier » , le tube cèlèbre de Jean Jacques Lafon et Ninon Brètècher fait un numèro de pom-pom girl assez navrant! A voir surtout pour la prestation sauvage de Louise Szpindel (bien plus affutèe que Soko) qui cogne dur en exprimant sa rage et en libèrant sa puissance de vie! Le film bènèficie aussi de la prèsence de Bruno Putzulu et Jean-Pierre Kalfon! Pas d'uppercut de prèvu mais un drame sportif à accepter tel quel, avec ses combats qui ne manquent pas de punch ( « Une finale ça ne se perd pas, c'est la guerre, on cogne! » ) et ses clichès...
Requiemovies
Film bancal. Son petit budget en est un des facteurs principaux, cependant la réalisation peut parfois relever le niveau. Hélas nous sommes face à une réalisatrice qui n'assume pas d'un bout à l'autre ses partis pris de réalisation. casting correct, jeu des comédiens léger et juste, ne suffise pas à extraire une moëlle intéressante de ce film "social". Hélas l'écriture "pêche" également, on n'y croit que rarement, trop d'excès et de mélanges des genres (destin social, film sportif...) à trop osciller entre formes et fonds différents rien ne prend pied dans ce premier long...les débuts au cinéma d'une réalisatrice de "plus belle la vie" essort les mauvais tics d'une télévision poubelle et sans doute (on le resent parfois) le désir et l'envie profonde de faire un film touchant...elle râte la cible mais sera peut-être plus à l'aise une prochaine fois...dommage...les intentions étaient présentes...
Quelques années après Girlsfight, ce film reprend les mêmes ficelles mais à la sauce frenchies.
Cette boxeuse reste tout de même très attachante et son périple remarquable.
Cette boxeuse reste tout de même très attachante et son périple remarquable.
La bande-annonce laissait présager un « Million Dollar Baby » à la française , or , pas du tout , « Dans les cordes » est un honnête mais maladroit premier film de l'ex-boxeuse Magaly Richard Serrano. En bonne connaisseuse de l'univers des rings , la réalisatrice a choisi de planter le décor de son film dans un club de boxe , et brode ainsi autour de cela , une sombre histoire de famille alliée à une peinture sociale d'une France morose mais vivant avec la pointe d'espoir d'exister réellement. La boxe , devient donc ici une métaphore des différentes étapes de la vie , un combat sans merci , ou se mêle différents sentiments et sacrifices. Le scénario se base sur la remise en cause des questions tournant autour de l'honneur , de la reconnaissance , de la franchise , et de la fraternité , et de la solidité d'une famille. Ces questions vont se révéler autour de la lente rivalité qui va s'instaurer entre deux filles boxeuses , entraînées par le même homme , l'une étant sa fille , l'autre sa nièce. Cette rivalité va alors dévoiler les véritables facettes de chacun des personnages et curieusement , c'est à partir ce ce moment que le film déçoit , puisqu'il verse avec beaucoup de facilité et quelques clichés , dans le film familio-social vu et revu ou les coups de théâtres plus ou moins explicite et desservant le récit arrivent en masse. La réalisation de Magaly Richard Serrano ambitieuse au départ , mais qui par des séquences (oniriques ?) devient approximative sur la fin et fait totalement décrocher le spectateur. Il reste néanmoins une révélation Louise Szpindel très intense et ce monde de la boxe si bien décrit par ses personnages oscillants entre humanité , simplicité , désespoir et inlassable envie de croire que le meilleur est à venir.
Dans les cordes est un film coup de poing dans le jeune cinéma français. Un film qui montre bien le relâchement d’une pression sourde suite à un terrible secret familial. La boxe, pourtant ici mise en scène par une spécialiste, n’est qu’un prétexte à la rupture des idéaux parentaux afin que la plus frêle des boxeuses résolve au mieux sa crise d’adolescence. Les deux jeunes filles sont étourdissantes de justesse. Richard Anconina a rarement été aussi juste ; il cerne au mieux un entraîneur volontaire et humain. Dans un second rôle, est aussi très bon. Il ne faut pas oublier une mise en scène efficace, que cela soit dans le filmage des combats (une des rares fois où on voit de la boxe française au cinéma) où dans des scènes en apparence anodines telle la longue balade dans la nuit éclairée où une des deux boxeuses court sur le pont tout en éteignant les lampadaires. Un film classique (qui s’inspire autant de Million dollar baby que des films d’Eric Zonca) mais efficace et fin dans l’analyse des comportements humains. Un film habité.
La mise en scène est plutôt brouillon mais les acteurs relèvent vraiment le niveau du film et arrivent à nous tenir en haleine jusqu'à la fin du film.
Sans être un spécialiste (loin de là) de la boxe française, on devine que les scènes de combat et d'entraînement sont très crédibles, réalisées avec une caméra légère, au plus proche des actrices. En dehors du ring, les personnages ne quittent pas ou presque leurs attitudes, entre affrontement et chorégraphie. Le film ne tient pas constamment cette belle ambition, lensemble est inégal, avec des scènes étonnantes, souvent dues à la grâce à la fois belliqueuse et légère de Louise Szpindel, mais aussi dautres moins efficaces, répétitives, peut-être un peu trop centrées sur le contexte et pas assez sur les sentiments qui unissent ou déchirent les quatre personnages.
Le récit est souvent prenant, nerveux, mais aussi parfois en déséquilibre passionnel : le mélange de la boxe et du drame familial nest pas toujours réussi. On évitera bien sûr la comparaison avec Million Dollar Baby, les deux films nont pas grand chose à voir lun avec lautre, ni dans le fond, ni dans la forme.
Le récit est souvent prenant, nerveux, mais aussi parfois en déséquilibre passionnel : le mélange de la boxe et du drame familial nest pas toujours réussi. On évitera bien sûr la comparaison avec Million Dollar Baby, les deux films nont pas grand chose à voir lun avec lautre, ni dans le fond, ni dans la forme.
"Dans les cordes" dépeint l'univers social des 2 jeunes boxeuses dans une banlieue parisienne. Appartement tout petit, histoires de famille, la compétition et la rivalité... tout ça est beaucoup pour 2 ados. Dès les premières images de combat on est imprégné du jeu des actrices (surtout Louise Spinzdel excellente) et avec intensité on les suit, entourées d'un Richard Anconina qui joue juste. 2 très bonnes étoiles.
Malgré une volonté criante d'aller au fond des choses, DANS LES CORDES pêche en grande partie de par son manque de panache visuel et le peu de maitrise de son auteur du support cinéma, rendant le tout difficile à suivre malgré l'investissement évident de ses interprètes. Une digression sur la boxe au féminin certes beaucoup plus intéressante qu'un girl fight nauséabond, mais tellement handicapée par la lourdeur de son traitement visuel que l'on peine à aller jusqu'au bout du film non sans une certaine impatience...
La bande annonce m'avait clouée sur place et le film lui m'a cloué d'ennui. Je le trouve tout juste moyen et ça, c'est à cause de l'actrice qui jour la Nièce la et du scénario, tous deux moisis. L'actrice principale s'en sort plus que très bien, c'est à elle que j'attribue la ptite étoile. Sinon bah à part deux ou 3 scences bien pencées j'aurai vite fait d'oublier ce film. Dommage
Malgré une volonté criante d'aller au fond des choses,DANS LES CORDES pêche en grande partie de par son manque de panache visuel et le peu de maitrise de son auteur du support cinéma,rendant le tout difficile à suivre malgré l'investissement évident de ses interprètes. Une digression sur la boxe au féminin certes beaucoup plus intéressante qu'un girl fight nauséabond,mais tellement handicapée par la lourdeur de son traitement visuel que l'on peine à aller jusqu'au bout du film non sans une certaine impatience...
Je pensais voir un film sur la boxe féminine amateur, un peu à la Million Dollar Baby du vieux mais toujours Clint Eastwood, ce qui d'ailleurs est bien le cas lors des trente première minutes du film, ensuite, le film bascule plus dans le drame, la jalousie entre deux boxeuses de la même famille, quand l'une gagne et l'autre perd, les deux soeurs deviennent des rivales. C'est à ce moment que le film part en dérive et qu'on commence à s'ennuyer.
Richard Anconina, beaucoup trop rare sur nos écrans, revient enfin à l'affiche d'un nouveau film. Après l'insipide Alive, il fallait absolument qu'il se remette en selle. Et, malheureusement, il tombe encore plus bas, au point que le spectateur a mal pour lui. En effet, ce film est une catastrophe cinématographique à tous les niveaux : la réalisation est aggressive, le scénario sans intérêt et les personnages sont juste effleurés au point qu'on ne s'attache pas à eux. Quand à Richard Anconina, il est bien loin de ses capacités et est même ridicule par moment (voir la scène de la pom-pom girl tout simplement affligeante). Ceci est donc un appel aux réalisateurs : en grande admiratrice de Mr Anconina, je vous en prie, proposez-lui des films intéressants.
Bien que le développement des personnages soit assez bien réalisé, le scénario n'arrive pas vraiment à décoller, et le résultat est assez ennuyant, malgré de bonnes interprétations, de R. Anconina, L. Szpindel, et S. Sokolinski. Dommage.
Un film sans grand intérêt. Une histoire qui n'a ni queue ni tete. Les personnages sont pas attachant, on comprend pas le but de l'histoire. Bref un film qui est vraiment baclé, vraiment ennuyeux...
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