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Jerome Jst
3 critiques
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5,0
Publiée le 15 juin 2022
Peut-être un des seuls films que je suis capable de voir sans m'en lasser, avec une préférence pour la VO même si la VF est de belle qualité. L'intrigue est belle, le message est universel, et le soin apporté à l'image nous immerge dans un océan d'empathie. Un film qui met à l'honneur le travail de sur la création de personnage. A voir et à revoir sans modération !
Un film magnifique avec des paysages incroyables, c'est histoire vraie est très touchante et nous fait une belle critique de la société de consommation etc... Le film est long (2h27) mais je ne me suis pas ennuyé. Très bon film !
2h de film pour découvrir // spoil // qu'il meurt comme une merd*, tout seul, égoïstement, bloqué par un fleuve et après avoir mangé une plante vénéneuse, tout ça pour suivre son idéal pseudo philosophique anti "tout"... quel conn*** ! Bref 2h perdu de ma vie. Rien appris. Il y a une petite teinte anti consumériste, un début de critique sociétale qui s'étouffe bien vite. On m'a vendu du rêve sur ce film, ma déception n'en est que plus grande. Passez votre chemin, c'est a peine divertissant sinon long et inutile. Moult choses à voir bien avant...
Basé sur l’histoire vraie de Christopher McCandless, le film de Sean Penn est un hymne amère à l’échappée solitaire. Jouant sur la frontière ténue entre fuite en avant et aventure spirituelle, ce récit personnel et intime, parfaitement incarné par Emile Hirsch, a quelque chose de viscéral. Comme une fable de Lafontaine, le long-métrage profondément humain est une épopée tant relationnelle que solitaire qui, par sa morale rétrospective, fait réfléchir sur le sens à donner à sa vie. La grandiose photographie capture de plus ces splendides paysages sauvages jusqu’à en faire l’un des personnages principaux de l’oeuvre.
Un chef d’œuvre. J’ai longtemps attendu avant de regarder ce film pour oublier toutes les critiques positives et négatives à son sujet. J’attendais d’être prêt et avoir l’esprit libre. 2h30 incroyables… spoiler: la vie de ce jeune homme me donne envie. Il a vécu pleinement la vie au lieu de vivre une vie qui lui avait été pre-écritspoiler: e. Je l’envie énormément. Que d’émotions vraiment.
La liberté totale, échappée de tout consumérisme, nous permet-t-elle d'accéder au bonheur ? Question philosophique auquel Into the Wild tente d'apporter des éléments de réponse. Réalisé par Sean Penn, ce film reste un des plus marquant de ma vie. Il propose de suivre l'histoire vraie d'un jeune américain diplomé qui au début des années 90 va fuir sa famille et la société capitaliste pour partir à l'aventure à travers le pays. Avec lui on découvre et rencontre, sur le rythme des sublimes musiques folk d'Eddie Vedder (chanteur de Pearl Jam), une diversité de paysages et de personnes. Les images sont magnifiques, le film est superbement narré et monté, faisant des aller-retour entre le vagabondage de Christopher/Alexander et sa destination finale, un bus abandonné au milieu des espaces sauvages de l'Alaska. La mise en scène parle souvent à la place des mots ici. La morale est une leçon de vie, la fin est évidemment magnifique mais tout le film nous transperse le coeur par sa beauté visuelle et son humanisme. Il nous invite à l'évasion, sortir un peu de nos vies rangées, mais en nous avertissant tout de même des dangers de la liberté absolue... BOULEVERSANT ET IMMANQUABLE !
Un film réussi est beau sur la courte vie d'un jeune homme qui fuit l'hypocrisie, les routes toutes tracées et le matérialisme car il est épris d'absolu, de liberté et de nature. Mais son rêve va virer au drame sur un malentendu.
Le film est bien réalisé, les acteurs jouent bien. De plus les paysages américains sont sublimes. Le film est long mais on ne sent pas le temps passer et il fallait prendre le temps de s'immerger dans le parcours de d'Alexandre Le Vagabond. On est juste un peu perdu entre les allers-retours fréquents que fait le réalisateur.
En tant que réalisateur, Sean Penn n’a pas souvent œuvré mais lorsqu’il s’y colle il ne fait pas les choses à moitié. Avec « Into the wild », sorti en 2007, il frappe même très fort en retraçant l’histoire réelle d’un jeune américain brillant (Emile Hirsch) fuyant le monde de la consommation au début des années 1990. Au gré de ses pérégrinations, on découvre des personnages vivant plus ou moins en marge de la société. Toutes ces rencontres sont émotionnellement puissantes et magnifiquement sublimées par les paysages naturels des Etats-Unis. Le thème de la solitude et a contrario du partage des amitiés prend ici une dimension dramatique rarement atteinte au cinéma. A noter que le vrai bus 142, abandonné en Alaska mais devenu un lieu de pèlerinage pour de nombreux hippies, a dû être transféré dans un lieu sécurisé pour éviter de nouvelles mésaventures. Bref, une œuvre intense et intemporelle.
Recette du navet mariné. Commencer par émincer le navet dans un bol et rajouté y un personnage désespéré et désespérant. Verser dans une casserole des protagonistes secondaires anecdotiques. A cela ajouter une doctrine anarcho-primitivisme. Saupoudrer le tout par des plans infinis et soporifiques Et enfin laisser reposer le plat avec une mort consternante. Et voilà ! La recette vous prendra environ 2h28 à réaliser.
Brillant et tout juste diplômé, Christopher ne veut pas de ce chemin tracé vers la réussite sociale. Il a soif de liberté, de grands espaces. Il décide de partir vivre son idéal et prend la route à travers les Etats-Unis vers l’Alaska sauvage. On ne ressort pas indemne après avoir vu ce film réalisé par Sean Penn, où la nature prend tout son espace, où l’homme se rencontre lui-même en solitaire et applique jusqu’au bout ses idéaux. Un film humain et touchant
Sean Penn abandonne temporairement son métier d'acteur pour passer derrière la caméra et nous présenter l'histoire de Christopher McCandless... un jeune homme de 22 ans qui décide de tout plaquer pour vivre seul, face à la nature. Sa réalisation est fluide et il filme avec passion les magnifiques paysages Américains que traverse son personnage principal. Ce dernier, idéalement interprété par Emile Hirsh (une vraie révélation), fait preuve d'une grande simplicité et d'une étonnante force de conviction. Les rencontres qu'il fait et sa réflexion sur la vie et la société nous font passer 2h30 en dehors du temps, comme suspendu à ses rêves. Le scénario, habilement tiré d'une histoire vraie, incite fortement à la réflexion et nous fait réviser (bien sûr) notre propre rapport à « Mère Nature ». Le résultat est tellement dense et on s'y retrouve tellement impliqué (immergé) qu'il est impossible de s'ennuyer, ne serait-ce qu'une petite seconde. Au final « Into the wild » s'impose immédiatement comme un chef-d’œuvre, très émouvant et profondément ancré dans son époque. A noter enfin, l'imparable bande originale, signée Eddie Vedder le chanteur du groupe « Pearl Jam ». Indispensable, tout simplement !
Le film en lui même n'est pas trop mal fait, mais est que cette histoire mérite un film voir même un documentaire. Ou comment un jeune bobo révolté n'ayant même pas les connaissance pour faire un trek un peu musclé pense vivre en pleine nature et fini par mourir à 30km d'une route. spoiler: En faite le film raconte l'histoire d'un mec stupide qui serai resté inconnu s' il n était pas mort dans des circonstances idiotes
Je n'ai pas grand chose à reprocher à ce film quand j'y pense bien si ce n'est qu'il m'a nnuyé ! A vrai dire, à part les paysages qui sont grandioses, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire (certes véridique) de ce jeune homme ! Je ne le trouve pas attachant, je ne trouve pas son road trip palpitant et ses rencontres m'ont laissé de marbre ! Je pensais vivre un grand moment de cinéma, j'ai juste vécu une soirée fort longuette... Dommage !!