avec un film comme celui la on s'attendai avoir un genre comme " il etait une fois en amerique ou "il etait une fois dans le bronx" mais en faite on est a cote de la plaque!!!! car si le casting est plutot bon , la mise en scene est catastrophique, et le film est d'une platitude , donc sans grande surprise sauf deux trois passages bien reussit!!! le seul qui tire son epingle du jeux est quand meme chazz plaminterri,dommage!!!
Il était une fois dans le Queens est l'histoire touchante et véridique d'un groupe d'adolescents qui tentent tant bien que mal de s'en sortir, dans l'univers sans pitié du quartier le plus cruel de New-York. C'est un sujet qui s'avère difficile, mais Dito Montiel parvient sans peine à nous plonger dans les rues du Queens de son enfance et dans l'enfer de la vie qu'il menait aux côtés de ses amis, tout en nous amenant à réfléchir sur les conséquences mentales d'une telle vie et les possibilités d'avenir que cela offre. Les acteurs endossent tous à la perfection leur rôle, et, bien que nous refusions d'admettre que de telles horreurs puissent être le quotidien de certaines personnes, nous n'avons finalement aucune chance de ne pas y croire. Shia Laboeuf et Channing Tatum sont littéralement au sommet de leur art, et parviennent à transmettre une jolie palette d'émotions et de sentiments différents, parfois même paradoxaux, tandis que Robert Downey Jr. épate par son indéniable talent et sa présence (particulièrement sur la fin du film), malgré ses scènes peu nombreuses. Enfin, la Bande Originale est excellente, tout comme la photographie qui exploite parfaitement le quartier tristement célèbre du Queens. Un film à voir donc, qui donne une belle leçon sur le pouvoir que l'on a de contrôler notre humanité même dans un monde qui ne semble pas, à priori, accepter une telle qualité.
Se penchant sur ses souvenirs d'enfance, Dito Montiel signe un drame certes peu original mais plein d'émotion et d'une sincérité désarmante, le tout renforcé par une mise en scène énergique et par un casting épatant.
Les qualités du premier film de Dito Montiel sont principalement le fait qu'il est d'un réalisme prenant, l'atmosphère du Queens est parfaitement retranscrite. Ce réalisme doit en partie au fait que c'est un film autobiographique. Le réalisateur abordent plusieurs thèmes classiques comme la relation père/fils difficile, l'adolescence, les amis, la pauvreté, etc... Touchant par moment et parfois très dur "Il était une fois dans le Queens" est un film fort et intéressant à suivre. Le casting (jeune notamment) "assure". La réalisation n'est pas splendide mais correcte. L'ambiance du film est néanmoins un peu lourde et pesante pour le spectateur pour moment mais le film reste très prenant.
Histoire simple, film poignant mais qui n'atteint pas l'oeuvre-opéra qu'est "Il était une fois en Amérique". Et si Robert joue bien son rôle, c'est pour une fois LaBeouf qui laisse son empreinte, y'a pas photo.....
Un film épatant tant par sa mise en scène, que par le jeu d'acteurs ou la bande originale. On se sent vraiment à New York dans les années 80. Chaning Tatum et Shia Le Beouf trouve chaussures à leur pied pour une fois, et sans conteste, Robert Downey Jr crève l'écran (malgré finalement le peu de temps qu'il est à l'écran). Je me suis posé beaucoup de questions après avoir vu ce film, car il est d'une certaine profondeur malgré un scénario qui semble en effet convenu. Peut être parce qu'il est autobiographique...
Le point fort du film est définitivement le casting et le jeu d'acteur qui va avec. Je crois que c'est tout car le scénario, claire mais vu et revu, contenant en plus de sérieux longueurs, où des scènes confuses ou il est difficile de comprendre ce qui se passe. Dito Montiel a ajouté au montage des effets qui embrouille plus qu'autres choses. Un film un peu brouillon est qui aurait pu être très bon si les petites imperfections, trop nombreuses, avaient été évité.
Traduit en France pour rappeler une filiation avec les films de Sergio Leone et Robert De Niro (lui aussi déjà mal traduit, pour la filiation avec le film de l'Italien), ce premier film de Dito Montiel est un pétard mouillé, un sous-Scorcese sans grand talent de mise en scène, empruntant des idées à Spike Lee (les personnages qui parlent à la caméra) et à Martin Scorcese (les personnages viennent de Little Italy et sont des apprentis gangster ) sans les transcender ni même apporter quelque chose de nouveau.
En effet, il n'y a absolument rien de neuf dans ce drame familial très boursouflé, à la technique approximative (jamais les faces caméras ne sont légitimes) et aux acteurs plus que moyens. Si Channing Tatum s'en sort vraiment bien, tous les autres sont dans le surjeu constant ou le sous-jeu. Par ailleurs, le fait de marquer "For Antonio" à la fin du film est la seule vraie bonne idée du film, étant donné que le seul personnage vraiment travaillé, c'est Antonio (excellent Eric Roberts à la fin).
Au final, ce n'est pas détestable, mais c'est vraiment trop long, trop vu et revu et vraiment ennuyeux. Dommage.
Belle histoire, bien joué, bien réalisé, belle photographie, bref une réussite. Il manque juste le petit détail qui fait exploser le film et le fixe dans la mémoire. Ce film restera pour moi un excellent film sur le coup, mais oublié presque aussi vite après... (sans pouvoir réellement expliquer pourquoi)
Dito Montiel livre avec A Guide to Recognizing Your Saints un très bon premier film, servit par un excellent casting. La mise en scène et correct et le scénario solide. Le film a quand même du mal à décoller et semble trop court pour exploiter pleinement son histoire. Un film à voir.