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Audrey L
Touchant de vérité. Le titre anglais est un peu plus parlant, donc "Il était une fois dans le Queens" (qui fait plutôt penser que tout est faux alors que c'est une histoire vraie, autobiographie du réalisateur Dito Montiel) sera plus juste sous le titre "A guide to recognizing your saints" (un guide pour reconnaître vos saints, pour les moins anglophones). Car il s'agit bien de cela, de se retrouver dans une figure autoritaire, au-dessus de nous. Sans parler de religion, le film évoque justement le père du jeune Dito (excellent Shia LaBoeuf) qui devient muet dès lors qu'il doit montrer un signe d'affection à son fils, pire, il devient violent car son blocage le frustre. Comment le jeune Dito réussira-t-il à voir une image toute puissante et bienveillante dans l'homme qui préfère son meilleur ami Antonio, plus grand, plus fort, plus débrouillard ? Le film répond par ce qui est malheureusement loin d'être un cliché dans les quartiers sans avenir de la "grande" Amérique : drogue, violence, gangs de rues, haine... Les conflits ne manquent pas et chacun tente tant bien mal de se trouver quelque chose à choyer, qui redonne goût à la vie dans ces milieux défavorisés. "A Guide to recognizing your Saints" est un film criant d'une réalité taboue, celle qu'a connu le réalisateur et souhaite (après son livre) nous la faire partager. Les acteurs sont excellents, n'en font jamais de trop, et racontent tous ensemble une histoire magnifique. Très dur mais très beau. A voir absolument.
Excellent film du genre, Dito Montiel nous livre un très bon film rempli d'émotion. A voir !
Le casting de fou, Robert Downey (Iron man). Shia LaBeouf, (Transformers). Channing Tatum (cher John) Rosario Dawson (Sept vies). Tout ce beau monde est réunir pour un drame sur le Queens dans les années 60. Mais malheureusement, c'est du déjà vu. Certes, l'atmosphère y est. Et le scénario tient la route. Mais le temps et long. Bien trop long. Sur les 1h30 que dur celui-ci il ne ce passe presque rien. Il n'empêche que juste pour le casting et l'interprétation parfaite de chacun d'eux. Il était une fois dans le Queens mérite d'être vu au moins une fois.
On fait toujours grand cas des films sélectionner pour le festival du film de Sundance et dans le cas présent cette sélection est vraiment méritée. Ce film est tout simplement magnifique. Loin de la grosse machine hollywoodienne cette adaptation du livre de Dito Montiel est un bijou tant au niveau de la réalisation que niveau du scénario ou de la performance des acteurs. L’histoire en flash-back et celle d’un écrivain qui revient sur les lieux de son enfance pour voir son père malade et qui se remémore l’été où sa vie a basculé. Le tout se passe dans un New York populaire, loin des clichés de Manhattan et de la 5ème avenue. On y suit 4 gamins paumés et en crise tant avec leurs parents qu’avec le quartier où ils vivent. La pudeur des sentiments et la vérité des situations en fait un film prenant et émouvant sans sensiblerie aucune. Pour moi il est à mettre avec un film comme Slippers tant pour la densité de l’histoire et la qualité de la réalisation que pour la possibilité qu’il nous donne de voir une autre facette de New York et des vrai gens qui y vivent. Si vous ne l’avez pas encore vu n’hésitez pas plus longtemps vous allez vivre un petit moment de grâce.
sans grand intéret, aucune émotion dégagée par les acteurs, ennuyeux à souhaits.
une très belle histoire sur le même schéma que "il était une fois en amérique"j'adore ce schéma et je me ferais toujours avoir par celui ci une bande copain qui grandit ensemble et certains tourne mal d'autres meurt .....des acteurs très doué l'excellent robert downey jr et les trops rares eric roberts et chazz palminteri
Il était une fois dans le Queens est l'histoire touchante et véridique d'un groupe d'adolescents qui tentent tant bien que mal de s'en sortir, dans l'univers sans pitié du quartier le plus cruel de New-York. C'est un sujet qui s'avère difficile, mais Dito Montiel parvient sans peine à nous plonger dans les rues du Queens de son enfance et dans l'enfer de la vie qu'il menait aux côtés de ses amis, tout en nous amenant à réfléchir sur les conséquences mentales d'une telle vie et les possibilités d'avenir que cela offre. Les acteurs endossent tous à la perfection leur rôle, et, bien que nous refusions d'admettre que de telles horreurs puissent être le quotidien de certaines personnes, nous n'avons finalement aucune chance de ne pas y croire. Shia Laboeuf et Channing Tatum sont littéralement au sommet de leur art, et parviennent à transmettre une jolie palette d'émotions et de sentiments différents, parfois même paradoxaux, tandis que Robert Downey Jr. épate par son indéniable talent et sa présence (particulièrement sur la fin du film), malgré ses scènes peu nombreuses. Enfin, la Bande Originale est excellente, tout comme la photographie qui exploite parfaitement le quartier tristement célèbre du Queens. Un film à voir donc, qui donne une belle leçon sur le pouvoir que l'on a de contrôler notre humanité même dans un monde qui ne semble pas, à priori, accepter une telle qualité.
C'est un film ennuyeux qui est artificiel et désordonné. Ce ne sont là que quelques-uns des mots qui décrivent à quel point ce film est mauvais. Dianne Wiest est trop bonne actrice pour ces bêtises. Robert Downy Jr en tant que Dito adulte n'est pas convaincant sa présence est plus une distraction qu'autre chose. Channing Tatum dans le rôle du jeune mauvais garçon Antonio est exagéré et ridicule. Shia Labeouf est complètement perdu car l'histoire aurait dû rester dans le passé et se concentrer sur lui. Le reste de la distribution est oubliable. Le va et vient en avant et en arrière entre le passé et le présent est une distraction. Cela est dû au fait que la distribution actuelle est faible et inintéressante. Ce film n'est pas un film brut et il ne capte une grande humeur. Il ne dit rien qui n'ait déjà été dit en mieux car c'est juste un désordre décevant...
Bien que la dureté du film reste parfois trop évasive, elle se ressent dans un style pressé, proche de celui de Larry Clark, que l’on ne ressent que dans la jeunesse, et non dans l’interprétation de Robert Downey Jr, qui n’est absolument pas le héros de ce film. Non, ce film est celui de Shia Laboeuf, indéniablement, et il y livre une performance remarquable, tout comme la bande de jeunes, que l’on ne peut s’empêcher d’admirer dans leur amitié, leur mentalité et leurs problèmes de quartiers.
Très ennuyeux, la jeunesse dans queens, quartier pauvre, la drogue, le sexe, s'en sortir...
Très bon film intimiste sur le retour d'un écrivain sur les lieux de son adolescence. Le scénario, fait de nombreux flashback, est intéressant et les acteurs sont tous très bons! Vraiment loin des film hollywoodiens, le film joue tout sur les rapports entre les personnes dans les cartiers modestes de New York!
J'ai apprécié de voir Robert Downey.Jr dans un genre où je ne le connaissais pas. Comme toujours, il est parfait! Mais n'oublions pas non plus Shia Labeouf qui incarne l'acteur plus jeune et qui s'en sort à mon avis avec les honneurs. "Il était une fois dans le Queens" raconte une histoire simple, sans surplus de violence, d'amour ou de mésentendement. Juste simple et c'est ça qui est agréable, pour une fois que nous pouvons nous divertir en visionnant un drame sans avoir à supporter les immanquables aspects des vieux feuilletons. Emouvant, sans fausses notes. Très bien.
Intrigue qui pourrait être intéressante mais un peu trop long pour être savourer.
Interprétation plutôt pas mal des acteurs cependant.
Interprétation plutôt pas mal des acteurs cependant.
Réellement décevant, ce film démarre bien (ndlr: un auteur qui raconte dans un livre sa jeunesse et les gens qui l'y ont marqués) mais le film qui est assez court (1h30) souffre de lenteurs, les flashbacks ne remontent pas le niveau du film qui reste plat tout le long.
A la fin, on se demande ce que l'on a retenu du film, malheureusement pas grand chose!
A la fin, on se demande ce que l'on a retenu du film, malheureusement pas grand chose!
L'innocence de la jeunesse du queens ou pas representée dans les quartiers moyens.. Personnages emblematiques, passant du passé au présent
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