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    L'Indien
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    2,4
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    4 critiques spectateurs

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    Plume231
    Plume231

    3 933 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juin 2013
    Les bonnes intentions, ici soutenir le combat des indiens dans notre époque contemporaine, c'est bien mais cela ne donne pas forcément de bons résultats. De plus Carol Reed, qui a eu son sommet lors de l'Après-guerre avec des grandes œuvres comme "Le Troisième Homme" ou encore "Huit heures de sursis" mais qui avait bien perdu du talent depuis, n'était certainement pas le meilleur choix pour réaliser un film sur ce sujet et qui soit moins impersonnel ; un cinéaste plus américain (car il est anglais !!!), plus au fait du sujet aurait nettement été mieux. Ce qui aurait été mieux aussi c'est qu'il y ait un bon scénario, pas du genre à hésiter sans cesse entre drame et comédie sans vraiment se décider, qui met moins d'une heure à démarrer (quoique qu'après c'est pas captivant non plus c'est dire que le scénario n'est vraiment pas terrible !!!). Reste Anthony Quinn, de tous les plans, qui fait un grand numéro et cabotine à l'excès ; pour les fans de l'acteur éventuellement, autrement...
    AMCHI
    AMCHI

    5 915 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    L'Indien aurait pu être un de ses bons films contestataires typiques des années 70 mais Carol Reed se vautre complétement ; ce film voulant dénoncer les conditions miséreuses des Amérindiens a du mal à nous captiver, on se dirait dans un mauvais téléfilm ne parvenant jamais à se saisir de son sujet. Anthony Quinn joue un Indien révolté, il cabotine mais donne de la force à ce film raté qui comporte quelques moments pas déplaisants.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2016
    Avant-dernier film du réalisateur du Troisième homme. Plutôt que de tourner un pamphlet pour évoquer la misérable existence des indiens parqués aujourd'hui dans des réserves, Reed choisit le genre picaresque, tout aussi efficace. Porté par un Anthony Quinn rabelaisien, le film est une vraie réussite.
    india007
    india007

    28 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 juin 2010
    Après une enfance difficile mais heureuse dans les bidonvilles de Los Angeles (dans lesquels un stupide accident l'obligera à subir une opération de la langue), Anthony Quinn suit des cours de diction auprès de Katherine Hamill qui enseigne aussi l'art dramatique. Il prend goût à la comédie, répond à une annonce passée par Mae West et devient son partenaire sur scène dans Clean beds 1933 et tourne dans plusieurs séries B. En 1937, il devient le mari de Katherine DeMille, fille adoptive du grand cinéaste de l'époque Cecil B. DeMille. Son physique Latino lui permet d'intégrer l'équipe B de la Paramount cette même année 1937 et, pendant 3 ans, de tourner une vingtaine de films alimentaires. Se battant contre les stéréotypes, Anthony Quinn décide de s'engager avec la Century Fox en 1942. Ce départ lui ouvre des seconds rôles dans des films importants du studio. Les clichés hollywoodiens ont la dent dure et le talent de Quinn n'est pas encore reconnu, les rôles d'indiens, de mexicains et d'étrangers le lassent. Dés 1945 il devient un Free-Agent c'est-à-dire qu'il n'appartient à aucun Studio et il peut ainsi jouer des films plus ambitieux.
    Dés lors sa carrière s'intensifie, il s'installe à New York avec sa famille. Après quelques pièces à Broadway, Elia Kazan l'invite à intégrer l'Actors Studio. Il reprend le rôle de Stanley Kowalsky à Marlon Brando dans Un tramway nommé Désir pour la tournée américaine, Brando étant occupé par sa carrière cinématographique. Le tournant de la carrière d'Anthony Quinn survient en 1953. Elia Kazan décide de réunir ses deux meilleurs acteurs pour tourner Viva Zapata!. Le film est important pour Anthony Quinn car son père participa à cet épisode de l'histoire mexicaine. D'ailleurs l'interprétation des deux élèves de l'Actor studio est remarquable. Ce film valut à Quinn son premier Oscar du meilleur second rôle et il devint une grande Star. Dès lors il enchaîne tous les genres de films. Il tourne près de 6 films par an, ses envies de liberté l'orientent vers l'Europe où les réalisateurs n'hésitent pas à lui donner des rôles à la mesure de son talent. Avec La Strada il devient une star internationale, avec qui les productions européennes voient un bel avenir. Son second Oscar pour La Vie passionnée de Vincent van Gogh assied définitivement son statut.
    Il alterne chefs-d'œuvre (Lawrence d'Arabie) et films commerciaux. L'année 1963 (durant laquelle il divorce de Katherine DeMille) fut une année sombre pour l'acteur, il doit faire face à des problèmes familiaux, la révélation par la presse de ses nombreuses relations et la naissance d'un enfant qu'il eut avec sa maitresse. Vint le chef d'œuvre Zorba le Grec d'excellentes critiques , huit nominations aux Oscars et la confirmation qu'il peut continuer à tourner à l'étranger. La soif de vivre et de profiter de chaque instant de Zorba est la même que celle d'Anthony Quinn.
    Acteur aux 250 films, Anthony Quinn met un terme à sa carrière cinématographique pour se consacrer à la peinture et à la sculpture. Il expose ses créations au Cnit à Paris, en mai 1990. Anthony Quinn participe également à plusieurs documentaires, sur Martin Luther King (King : a film record. Montgomery to Memphis, 1970, de Joseph L. Mankiewicz et Sidney Lumet) et sur les problèmes d'intégration des Hispano-Américains (The Voice of La Raza, 1972, de William Greaves). Il publie son autobiographie en 1972, The Original sin.
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